Il y a longtemps que je devais faire du rangement
dans le grenier. Je ne jette rien, au grand dame de ma mère. Je lui interdis de
toucher à quoique ce soit dans le grenier.
Il y a quelque jour, je suis montée au grenier et
j’ai ouvert une à une mes malles. J’ai replongé dans le passé.
Il y avait, mélangé, mes cahiers d’école, mes
magazines préférés, mes petites culottes en coton, puis mes premières petites
culottes plus affriolantes. Je retrouvais des sous-vêtements que j’avais
complètement oublié, parce que plus à la mode : culotte fendue plein de
froufrou, etc… Faudrait que je penses à elles lors d’une prochaine soirée
déguisé.
Enfin bref, parmi tout ce fatras, je retrouvais mon
journal intime. Lui aussi je l’avais oublié.
J’oubliais le rangement pour le lire. J’y avais
écrit mes fantasmes, mes rencontres, mes aventures.
En lisant mes fantasmes d’adolescente, je
souriais devant la légèreté des histoires et le manque de repère. Je souriais
aussi me rappelant que les femmes étaient fières d’arborer un pubis luxuriant
contrairement à maintenant.
Je racontais mon trouble lorsque je vis mon
premier film porno à la télévision sur une chaîne payante et surtout celui
d’avoir vu deux femmes faire l’amour.
La vision de ces deux femmes ne me quitta plus.
On m’avait toujours dit qu’un couple était constitué d’un homme et d’une femme
et de voir que deux femmes pouvaient aussi se procurer du plaisir… Je regardais
mes copines sortir avec des mecs, mais moi je n’éprouvais pas grand-chose pour
eux. Je n’avais pas non plus de l’attirance pour mes copines non plus. J’étais
dans un no man’s land, au milieu de tout cela ne sachant pas où aller.
Je restais aussi jusque l’âge de seize, ne
sachant pas où aller, mais attendant toujours les scènes d’amour entre femmes
dans les films pornos.
Ma mère avait une amie, Agnès, qui vivait seule
depuis toujours. On disait des choses sur ses mœurs, des choses tabous et
jamais en ma présence. Elle restait pourtant une grande amie de ma mère.
C’était une femme sportive, toujours en voyage à faire du trecking et une
surtout une belle femme.
Cette femme, et oui, cette femme fut le
déclencheur de ma sexualité. Cette femme vouait sa vie au culte de Sapho. Je ne
me suis jamais posée la question si ma mère et elle …
Dans mon journal, j’avais noté le jour où il
s’était passé quelque chose entre nous. Je vous rapporte mon histoire avec la
maturité que j’ai aujourd’hui.
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Le dernier lundi des vacances d’été, Maman
m’annonça, en partant travailler, qu’Agnès passerait la maison afin de
profiter des derniers rayons chaud du soleil dans le jardin.
Sans le moindre arrière pensé, j’installais les
matelas sur les bains de soleil dans le jardin.
Après un bref coup de sonnette, une belle
apparition blonde s’avança dans le hall. Elle déposa sur mes joues deux bises
chaleureuses.
– Bonjour, Romane. Je ne vais pas t’ennuyer le
moins du monde, tu sais. Juste un bout de jardin et un rayon de soleil. »
La vue des deux bains de soleil sembla lui faire
plaisir.
– Comme c’est gentil de me tenir compagnie ! Je
suis sûre que nous avons des tas de choses à nous raconter. »
Elle me regarda plus intensément qu’à l’habitude.
– Je n’avais jamais remarqué que tu étais si
jolie. » Je rougis. « Ne soit pas timide. » Elle me prit par
l’épaule « Allons vite au soleil. »
Elle ôta délicatement ses chaussures et posa sa
robe rouge sur une chaise. Son bikini me permit de contempler son opulente
maturité. La tonicité évidente de son corps sportif s’enveloppait du charme
moelleux de la quarantaine, qu’elle portait dans un troublant épanouissement.
Elle s’agenouilla près du matelas pour déposer
ses diverses affaires. Je pus alors admirer sa cambrure, l’érection arrogante
de sa poitrine généreuse mais ferme.
Je me sentis petite, mal foutu.
Elle sortit de son sac un tube d’Ambre solaire. A
cette époque, on prenait de l’huile pour rôtir au soleil et non se protéger.
Elle me sourit. Je ne savais que dire. Cette
femme me troublait au plus haut point. Elle dut s’en rendre compte.
– Qu’attends tu ! » me dit-elle d’une voix
soudain plus rauque, « Ôtes tes vêtements que je vois comment tu es faîtes
? »
Je retirais ma robe. Ses yeux brillèrent.
– Hummmm ! Tu dois faire des envieuses sur les
plages. »
Elle tâta d’un doigt mes cuisses et mon ventre.
Je frémis.
– C’est vraiment beau un jeune corps. Tu es très
appétissante ma petite Romane. »
Ce compliment me toucha beaucoup.
Elle s’enduisit le corps de sa crème brune.
Était-ce dû au soleil ? Je sentais des montés de chaleur qui envahissait mon
corps par longues vagues. C’était nouveau pour moi.
Elle se massait m’observant de ses grands yeux de
miel, les paupières un peu plissées à cause du soleil. Un malin plaisir se
devinait dans ce regard.
Toujours à genoux, elle se retourna et me
présenta son dos.
– Peux- tu me passer un de crème, ma chérie
? »
J’approchais. Mes doigts glissèrent timidement
sur ses épaules. Sa peau, bien bronzée, était douce et chaude.
– Descends un peu, s’il te plait. »
J’arrivais au sillon de sa colonne vertébrale.
Sous mes caresses, car il s’agissait bien de cela, elle se cambrait avec de
légers tressaillements. Je ne me reconnaissais plus. Je me laissais aller à mon
instinct.
– Oh! Mais tu me donnes un tas de frissons, tu
sais ! »
J’enduisais maintenant ses reins et les massais.
Elle ondulait à chacun de mes gestes.
– Un peu plus bas… »
J’arrivais à la lisière du maillot. J’avais de
plus en plus chaud. Elle se retourna.
– Cela te dérange si je retire mon
maillot. »
Je regardais autour de moi comme si je découvrais
que l’on était à l’abri du moindre regard. De plus, j’avais déjà bronzé nue.
– Heu, non… »
– Vois- tu, j’ai horreur des marques blanches sur
le corps. »
Elle se leva et fit glisser le slip le long de
ses cuisses, dévoilant un somptueux postérieur d’une rondeur irréprochable.
Ma main était encore tendue, enduite d’Ambre
solaire. Elle resta debout, me présentant ses globes affolants, qui luisaient
sous le soleil.
Choisissant le silence, elle tendit à mes doigts
fébriles ses courbures fabuleuses.
Attirée, irrésistiblement, ma main déposa sur ses
fesses quelque gouttes de crème et ma paume glissa bientôt, câline, sur la
douce peau caramel.
Agnès se déhanchait d’une fesse sur l’autre,
visiblement satisfaite. Sa voix se fit plus impérieuse :
– J’aime… Continue ! »
Je passais fiévreusement d’une fesse à l’autre.
Mes tempes bouillaient, frappaient fort sous le soleil triomphant. Je me
sentais prise d’un désir tumultueux. La belle croupe ondulait sous ma main, se
tortillait à proximité de mon visage en sueur. Ce n’était pas un film. C’était
moi avec une superbe blonde. J’étais maintenant dans le film.
Les cuisses de la belle s’écartèrent.
Je faufilais mes doigts en dessous pour caresser
leur face interne.
– Remonte ! » dit elle
J’hésitai. Au-dessus de ma menotte, son ardente
féminité prenait somptueusement naissance.
– Remonte, t’ai-je dit ! »
Je ne pouvais reculer. Mon pouce et mon index se
risquèrent vers la luxuriante toison d’or qui s’offrait, impudique, à leur
exploration. L’entrecuisse moussu s’écarta davantage.
La tiède liqueur odorante dont il regorgeait, se
répandit sur le bout de mes doigts. Que de découverte. Le passage était large,
lubrifié à merveille.
Ma main investit bientôt le chaud et accueillant
repli. J’y allais à l’instinct priant que cela dure longtemps.
Agnès haletait, remuait doucement, telle une
vague, râlait quelques encouragements, dont je n’avais nul besoin.
Je pétrissais à pleins doigts le bourrelets
charnus et juteux de ses grandes lèvres ouvertes.
Mes doigts émerveillés s’infiltraient aisément
dans le canal bouillant.
– Ouiii! Ooooh continue, petite diablesse !
Masse-moi bien ! »
Et ma main entière s’enfonça sur cette vulve
effervescente. Bientôt je la malaxais de tout mon ardeur qui était grande. Son
odeur suave m’emplissait les narines et m’invitait à y porter la bouche.
J’étais ivre de son odeur.
Agnès était cambrée, les paumes lascivement
posées sur ses cuisses écartées, le menton tourné et les yeux sur mes doigts.
– Ta bouche ! Je veux ta bouche ! »
Je n’hésitais pas cette fois. Je plongeais mon
visage dans cette chair onctueuse.
Je léchais, suçais, buvais, avalais,… Elle rugissait
comme une lionne. Ma frénésie m’emportait. Ma pudeur s’envolait. Après avoir
bien pourléché sa fentine, mes désirs grimpèrent vers son anneau sombre et
étroit. Une pression furtive du doigt m’apprit que cette fleur secrète était
élastique au-delà de tout souhait.
J’y enfilais un majeur.
La réaction fut immédiate. Ma langue titilla
quelque secondes le pertuis plissé.
Agnès se redressa alors, se resserra. Elle
descendit à mon niveau et m’allongea tendrement sur le matelas.
– Ma coquine, ma cérébrale, ma vicieuse. Comme je
t’aime déjà ! »
Elle semblait au comble de l’excitation. Ses
lèvres se pressaient sur mon nombril. Je sentais ma culotte totalement imbibée
d’un liquide révélateur. Sa bouche cheminait vers ma vulve inondée.
Dans la lumière aveuglante, accablée par la
chaleur, j’entrevoyais son visage se penchant entre mes cuisses.
Elle extirpa mon slip avec ses dents et
m’emboucha sans ménagement. J’avais droit à ma première bouche.
Je gémis sous le violent et profond baiser. Ma
dégustatrice m’agrippa le bassin , renversa mes jambes contre mon buste, où mon
pauvre cœur battait la chamade, coinça ma tête entre ses cuisses serrées,
m’interdisant ainsi tout mouvement, étouffant mes cris sous sa chair bronzée,
et me rendit, mais avec ô combien plus de fougue et d’expérience, tous les
plaisirs que je lui avais prodigués.
Elle me dévora avec un appétit sans pareil,
allant furieusement de l’un à l’autre de mes deux virginaux orifices.
Ses doigts effilés et sa langue dardée savaient
provoquer des fulgurances de plaisir que je n’avais jamais soupçonnées.
J’offrais ainsi de bonne grâce, mon petit cul aux profondes percées de sa
langue experte.
Pendant plus de 20 minutes, elle se délecta
goulûment de mes parties les plus charnues et les plus secrètes, au mépris de
mes plus violent orgasmes, qu’elle me faisait accumuler de force. Je hurlais
dans ses chairs.
Se relevant enfin, les cheveux sur le visage, les
lèvres béantes, elle se retourna à quatre pattes, cambrée, les seins lourds, me
rappelant à nouveau l’image altière d’un beau fauve.
Je m’aplatis sur le matelas.
Quelle nouvelle perversion allait-elle faire subir
à la proie de ses désirs ? Elle dandina sur mon corps, devant mes yeux, me
montrant avec obscénité chaque morceau de sa peau et de ses deux seins. Ceux-ci
passèrent plusieurs fois devant mes lèvres.
Elle alla ensuite chercher quelque chose,
fébrilement, dans son sac de plage. Elle en sortit un objet long et blanc. Une
cousine très délurée, m’avait déjà fait voir cette objet sur des photos
cochonnes échangées avec sa correspondante Allemande.
Je découvrais l’existence bien réel d’un
godemiché.
– Chérie ! Fixe-toi vite ça ! »
Je saisis l’engin qu’elle m’aida à mettre en
place vu mon manque d’expérience. Je me sentais bizarre affublée d’un sexe
mâle.
Elle se retourna et agita sa croupe somptueuse,
comme dans un geste de franche invite. Elle s’écarta elle-même les fesses.
Ses doigts indiquèrent nettement la direction à
emprunter.
M’enhardissant, j’osais auparavant assouvir mon
premier désir : déposer un fervent baiser dans la profonde séparation de ses
fesses superbes. Ma langue se fourra facilement dans son petit orifice que je
lubrifiais de mon mieux avant l’intromission.
Elle me laissa faire, appréciant mes vicieux
progrès.
Je m’approchais alors avec précaution. Elle guida
elle-même mon diabolique engin entre ses fesses écarquillées. J’attrapais ses
hanches et la pénétrais attentivement.
Dès qu’elle se sentit saillie, elle fit un bond,
râla, rugit.
Je me délectais de ce jeu pervers. Sentir cette
bête d’amour sodomisée par mes soins et par un godemiché interposé, me comblais
d’aise.
J’apprenais vite. D’un geste lent, régulier et
profond, je l’introduisais chaque fois un peu plus.
Au bout d’une minute, l’engin démentiel pénétrait
entièrement et glissait de mieux en mieux entre les parois lubrifiées au
maximum et goulues. Elle poussait des cris hystériques.
J’accélérais, appuyais. Elle délirait.
Je l’emmanchais jusqu’à la garde.
Elle hurlait de plaisir, la garce.
Comme je continuais à un rythme frénétique, elle
déversa des mots crus, d’une voix rauque, animale. Durant de longs instants, je
la sodomisais à fond.
Elle finit par rouler sur le côté m’entraînant
sur la pelouse avec elle.
Mon « épée » jaillit de sa fleur
défoncée. Elle me sauta dessus, suça longuement mon pénis artificiel, puis vint
empaler son vagin en furie sur sa virile grosseur.
Je n’avais pas fini mon histoire dans le journal,
peut- être trop occupé à me caresser. Je me souviens portant encore de la
suite.
Cela a encore duré une bonne vingtaine de minute
avant qu’elle ne rende grâce. J’avais aussi joui en la regardant prendre son
pied.
Elle me dévora le visage et la bouche de baisers
en guise de remerciement. On avait oublié le soleil, préférant jouir de nos
corps.
Agnès fut mon initiatrice. Elle m’apprit beaucoup
de choses et me fit vaincre ma timidité. Je n’ai plus peur de montrer mes charmes.
2 commentaires:
Et bien l'amie de maman n'avait pas froid aux yeux.
Je trouve que tu as su faire tout de suite les bons gestes,
est-ce que c'est parce que tu es femme, toi même, ou
est-ce les films qui t'ont incitée aux premières caresses ?
Cela dit ton texte à travers tes souvenirs de ta première fois,
est des plus excitants. Merci, Romane, pour ce partage.
Au fait, qu'est devenue ton initiatrice Agnès ?
Il y a eu sûrement plusieurs fois.
Oui il y a eu beaucoup d'autre fois. Elle m'a apprit tout ce que je sais.
Malheureusement, elle est décédée dans un accident de voiture.
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