Je me soumets... je suis à toi... je suis tienne
ATTENTION : CECI EST UN SITE POUR ADULTE. Si tu n'as pas l'âge légal, tu es prié(e) de fermer la fenêtre. Je suis une femme sexuellement libre. J'aime lire et écrire des histoires érotiques, regarder les films d'Andrew Blake, faire de la voile, porter de la lingerie fine, faire l'amour avec des femmes.
06 octobre 2013
01 septembre 2013
Ophélie la barbare
Passage de son blog
...
Piquée au vif par sa présence, mais très certainement aussi pour le provoquer, loin de lui montrer ma gêne, je revins vers Apolline. Antoine écarquilla de grands yeux ébahis. Sous son nez, à sa barbe, nous reprîmes nos aventures en ouvrant une nouvelle page, une page pleine de caresses réciproques sur les seins et de bonnes sucettes vermeilles. Pendant ce temps, Antoine profita de mon état second et d'une brève vacance d'Apolline pour s'installer derrière moi et tenter de patiner mes roploplos.
— Laisse-moi tranquille, lui lançai-je, me retournant un peu sèchement, tu peux regarder, mais je ne veux pas que tu me touches! Il n'y a qu'Apolline qui a le droit!
— Mais... fit-il, décontenancé.
Il cessa aussitôt. Son regard devint brusquement mauvais.
— Branle-toi plutôt.
— T'es vraiment qu'une salope! répliqua-t-il en poussant de grands yeux furibards.
Néanmoins, il saisit l'occasion, ouvrit sa braguette.
— Maintenant, c'est fait, lui dis-je: je n'aime plus les hommes, tu le vois! Regarde ce que je préfère: de beaux nénés que je peux prendre à pleines mains et sucer autant que je le désire, ainsi qu'une belle petite chatte très douce, très câline, à l'image de la mienne, montée sur des ressorts!
A ces mots, Apolline et moi nous installâmes tête-bêche en position de double minette. J'eus conscience alors, grâce à nos formes, d'offrir à Antoine de merveilleuses arabesques. C'était la traduction plastique la plus pure de l'individualisme triomphant. Médusé tout autant qu'excité, mon amant se branla. Mais, au bout de quelques minutes, il eut l'air tellement énervé, qu'il se leva et alla se réfugier dans ma chambre, sans avoir joui. Tout entières à notre plaisir, nous ne fîmes aucun commentaire quant à son départ, préférant suivre une autre direction et nous exciter avec nos langues...
A un moment, désireuse de varier les plaisirs, je demandai à Apolline de bien vouloir me pénétrer.
— Mais Antoine? me répondit-elle, hésitante, il est dans la chambre!
— Et alors? Qu'est-ce que ça peut faire? Je préfère que ce soit toi!
Ma petite chérie eut l'air embêtée, comme si la présence d'Antoine, autrement dit du mâle, donc du légitime, lui interdisait de me baiser.
Je me levai et allai chercher l'objet de la Poste. L'ayant installé devant son pubis et ainsi métamorphosé en ange, je lui demandai de me suivre devant le plus grand miroir du salon. Là, nous admirâmes le merveilleux couple que nous formions. Derrière nous, d'autres miroirs renvoyaient nos petits derrières. Cela nous amusa (Comme vous le voyez, cher lecteur, j'avais fait installer plusieurs miroirs dans mon salon).
— C'est pratique, les miroirs, on peut se voir sous tous les angles!
— Narcisse! Dit-elle
— Ils nous donnent la conscience du néant, dont seuls l'art et l'amour peuvent espérer triompher. A propos, tu sais à quand remonte la fabrication du verre?
Evidemment, elle n'en savait rien (je venais tout juste de l'apprendre en lisant un article). Je lui assénai:
— La plus ancienne pièce de verre retrouvée aurait été fabriquée sous le règne du pharaon Aménophis Ier, c'était mille cinq cent ans avant Jésus-Christ!
— Et comment a-t-on fait pour le découvrir?
— Ca reste assez obscur, vois-tu! Ce serait le hasard! Les marins d'un navire égyptien qui avaient fait naufrage sur une plage de Phénicie, auraient utilisé deux blocs du natron qu'ils transportaient, en guise de pierre pour supporter leur chaudron. La chaleur du feu les aurait combinés avec le sable de la plage, et ça aurait produit du verre!
— C'est de la silice?
— Ouais! C'est pourquoi le verre est si lisse! Mais ce n'est que plus tard, avant Jésus-Christ, je crois, que les Syriens le soufflent! Et au premier siècle de notre ère que les Romains le développent et inventent le premier miroir!
— Miroir... Miroir... murmura Polly. Quelle diabolique invention! Voir ses apparences! Quand je pense qu'anorexique, je ne voulais jamais me voir, me regarder, je voulais disparaître, me fondre dans la nature, dans les murs, devenir transparente! J'avais horreur des miroirs, tu te rends compte? Pour rien au monde, je ne me serais regardée dans un miroir!
— T'as bien changé, mon petit ange! Maintenant que je célèbre ta beauté, tu aimes te regarder! Pas vrai?
— C'est vrai! J'ai confiance en moi et j'adore me regarder... C'est grâce à toi, Ophélie...
Debout, regardant notre image dans les miroirs, je me vis l'embrasser, lui baiser les seins, recommencer à les lui sucer, puis écarter suffisamment mes cuisses pour que, dans cette même position, elle pût commencer à introduire son ornement en moi. Je lui échappai, me jetai à plat ventre sur le lit où elle ne tarda pas à venir me rejoindre, pour s'introduire de nouveau, prolixe... Cette fois, mon petit ange opéra une série de va-et-vient qui commencèrent à me faire miauler, à me faire trémousser l'arrière-train. Il se retira. J'en profitai pour me retourner, lui présenter le côté face. De ce côté, mon petit ange retrouva immédiatement le trou et s'enfila de nouveau dedans. Nous jouâmes ainsi longtemps, moi à lui échapper en changeant de position, elle (lui) à me retrouver. Inexorablement, le petit ange m'enfilait et m'enfilait et m'enfilait encore et encore... J'étais sous lui, salope, tranquillement salope, à me tordre sous ses coups donnés en douceur, mais aussi avec violence, parfois, comme ceux du bélier, habitée, consciente de la présence de l'universel dans ce singulier, du monde dans la conscience, jetant sans cesse des coups d'œil furtifs dans mes miroirs, histoire de me voir, de me regarder jouir, de la voir en quête d'auréoles et d'ailes de victoire, sans même chercher à démêler la complexité de nos enfilades qui me paraissaient complètement truquées, disloquées, orientées en spirales autour de ce foutu gode omniprésent qui me ramonait, me ramonait, me ramonait, quand soudain, Antoine entra.
— J'en étais sûr, hurla-t-il, t'es vraiment une garce, Ophélie! Avec moi, tu refuses, alors qu'avec elle... C'est incroyable!
Il était livide, il bafouillait, il ne savait quoi dire, ses lèvres blêmes tremblaient, écumaient...
— M'en veux pas, m'excusai-je, me retirant de dessous mon ange, mais je préfère avec Apolline!
— Avec ça! hurla-t-il, désignant le gode en latex fixé sur le devant de ma petite femme qui, honteuse, alla se cacher dans la salle de bain. N'avez pas honte de faire ça toutes les deux? Hein? N'avez pas honte? Z'êtes vraiment que des salopes! Des gouines, des vicieuses! C'est incroyable!
— Avec quoi veux-tu que nous le fassions?
— Cette question? lança, les bras au ciel, mon pauvre amant défait, t'es vraiment une tarée, ma parole, Ophélie! C'est une femme, vraiment qu'il te faut pour te faire défoncer la chatte? Hein? Une vraie bite ne te convient pas? T'en préfère une de pacotille, une de nana naturellement, une de moins que rien, c'est tellement plus simple! C'est tellement plus dans l'ordre de la nature!
— Je m'en fous de l'ordre de la nature, lui répondis-je calmement, le regardant droit dans les yeux, mais tu as dit juste, c'est une femme que je veux! Oui, une femme, une femme, une femme! Je veux une femme, tu entends? Je veux une femme, une jolie femme, avec de beaux seins, de belles cuisses, de belles fesses, une peau très douce, très fine, une peau d'ange, oui je veux une femme!
— J'te comprends vraiment pas, Ophélie! Arrête de crier! T'es malade, ma parole! T'es vraiment malade! Vraiment malade! On a plus rien à faire ensemble!
— J'croyais que t'aimais ça, me voir faire la gouine avec une femme?
— Vous caresser, oui, mais ça non, ça me dégoûte! Je ne peux pas le supporter!
— Dis plutôt que t'es jaloux, que t'es atteint dans ton orgueil de mâle!
...
31 août 2013
Perle des Caraïbes
Histoires écrite à quatre mains avec ma petite fleur des îles. Son texte est en italique.
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Tu es
allongée sur la plage, offrant ton corps aux rayons du soleil.
Je me suis installée devant toi, de sorte que j'ai une merveilleuse vue sur ton
entre cuisse.
Tu as remarqué ma présence et tu joues avec moi, ouvrant, fermant tes
cuisses, attisant ainsi mon désir.
Je regarde à
droite, je regarde à gauche. On est presque seule sur cette plage. Sous les
cocotiers, on entend l’extinction des barbecues et le départ des voitures.
Le soleil est
un peu moins mordant.
Je crois que
l'on est vraiment seule maintenant.
Tu te lèves, me
regardes derrière tes lunette de soleil et te lèves.
Lentement,
calculant bien tes mouvements, tu dégrafes le haut de ton maillot.
Tu m'offres la
vu de ta superbe poitrine....
Tu te diriges
alors vers l'eau. Avant d'y entrer, tu me regardes à nouveau, sans te
retourner, et tires sur la ficelle du bas de ton maillot. Ta croupe, tes fesses
de vénus apparaissent. Tu lances vers moi le bout de tissus et tu entres dans
l'eau.
Je mouille dans
mon maillot.
Je te laisse
seule dans l'eau préférant te regarder..
Tu sors enfin
de l'onde. Je peux admirer ton mont de vénus, sur lequel de mignon petit
poilichon se battent en duel. L'eau de mer s'y accroche.
J'ai la gorge
sèche
Tu retournes
sur ta serviette sans venir quérir le bas de ton maillot.
Tu t’allonges
et m'offres une merveilleuse vue sur tes lèvres.
Tu recommence
ton manège titillant mes sens
J'ai la gorge sèche.
Je vois les perles d'eau de mer sur ta toison. De fines gouttelettes glissent
sur tes seins.
Je n'en puis plus.
Je me lève et m'approche. Sans aucune gêne je repose ma serviette à tes pieds.
Je vois ton sourire. Tu ouvres tes cuisses et glissant une main sur ton sexe,
tu écartes tes lèvres à mes yeux.
C'est rose, et blanc de ton excitation. Tu mouilles tellement tu es fière de
ton manège.
Tu prends un peu de ta mouille et en dépose sur tes tétons qui bandent à
mourir.
J'ai soif...
Tu reposes ta main sur ta chatte. Un doigt glisse entre tes lèvres charnues. Tu
te caresses sans complexe. Tu m'offre ton désir, ton plaisir. En suis-je la
cause?
Tu penses à quoi derrière tes lunettes de soleil : à l'homme qui t'a rendu
heureuse cette nuit dans la chambre d’hôtel, à cette métropolitaine qui dormait
à côté et qui a été réveillée par tes douces mélopées de plaisir.
Un doigt glisse
dans tes chairs liquéfiées. Il ressort plein de liqueur.
Tu le tends
vers moi... Une invitation?
C'en est trop.
Je me faufile entre tes cuisses et gobe le doigt offert. Mmmmh douce saveur de
ton corps.
Alors que je
suce ce doigt si gentiment offert, un autre ressort. Je le suce tout aussi
avidement.
Je te goûte sur
tes doigts...
Je
mouille
Oui ! viens me sucer, me boire, me
faire jouir ! Fais moi oublier les ZOMS !
Tu continues à
m'offrir ta mouille sur tes doigts que tu plonges tour à tour dans ta grotte.
Je saisis alors
tes cuisses et les caresses en douceur. Ma bouche glisse sur la peau interne de
tes cuisses, déposant de petits baisers et de ma salive. Mes mains glissent sur
tes hanches. Tu te masturbes, deux doigts dans ta chatte.
Ma bouche se
pose alors sur ta main.
Je mouille.
Je la lèche...
Tu la retire me laissant sucer tes doigts au passage.
Ta langue
glisse sur tes lèvres. Tu es excitée et l'odeur de ton intimité me chavire.
Je te renifle,
te respire, m’imprègne de toi.
Tu gémis
doucement. Tu te tritures les tétons.
Je sors ma
langue et la glisse le bout sur tes lèvres gorgées de liqueur....
Mes mains
s'agrippent à tes hanches prêtes à contrôler les mouvements de ton bassin.
Je glisse ma
langue sur ta fleur, la découvrant, la goutant, J'y dépose de temps en temps un
petit baiser...
Continues ma douce, offre-moi ta
mouille, plonge-toi en moi, saisis mes cuisses, caresses les, glisse sur ma
peau, dépose des petits baisers, bois ma salive, glisse tes mains sur mes
hanches, masturbes toi, met moi tes doigts dans ma chatte, un, puis deux, puis
trois, oui ta main j’aime le fisting, mouille pour moi, lèche moi, suce mes
doigts,
Je suis excitée et je sens ton
odeur de femme, je hume ton intimité et je chavire.
Renifle moi, respire moi,
imprègnes-toi de moi. Gémis, tritures tes tétons, sors ta langue et glisse là
dans mon con gorgé de liqueur....
Agrippe mes hanches, contrôle mes mouvements,
touche ma fleur, découvre là, goûte là, continue toujours !
Tu dis des
mots, tu me demandes des choses, mais je reste concentrée.
Doucement, ne pas succomber trop vite à l'envie qui me brûle le creux du
ventre. Je pourrais me masturber mais je dois m'occuper de toi.
Je glisse ma langue sur les lèvres, écartant les plis, recueillant une douce
liqueur. C'est aussi bon que sur ces doigts.
Tu me hurles de te branler, de te doigter.
Pas encore.
Pas encore.
Ma chatte est pleine de mouille. Ce sera pour plus tard...
Je continue, malgré tes suppliques, de te caresser du bout de ma langue.
Viens m’aimer, viens me faire l’amour, viens
m’apprendre les gestes venus de nulle part, viens tout près de moi, viens me
toucher…
Je sais que tu as envie que je t’aime aussi,
mais sois patiente… je m’occuperai de toi tout à l’heure.
Non ! ne te masturbe pas encore… Je vois
que tu mouilles, que ta chatte est pleine de jus… égoïste je le suis et je veux
j’exige mon plaisir.
Viens ! Occupe-toi de moi, glisse ta
langue sur mes lèvres, écarte bien les plis, recueille ma douce liqueur. Oh que
c'est bon… je n’en peux plus !
Branles moi, mets tes doigts dans
tous mes trous.
Ma bouche passe
sur l'intérieur de ses cuisses. Son bassin commence à onduler et une douce
mélopée s'échappe de ses lèvres.
Ma caresse fait
son effet. Je pose une main sur l'un de ses seins. Je le caresse, prends son
tétons entre mes doigts, le malaxe, tire dessus, le pince. Un long feulement
s'échappe de sa gorge.
J'en profite
pour poser plus franchement ma langue sur ses lèvres que j'écarte de mes
doigts.
Son pubis me
chatouille le bout du nez. Je la bois, la lèche.
J'ouvre la
bouche et la pose sur sa vulve. J'aspire, je lèche, je suce.
Son bassin
ondule de plus en plus.
J'abandonne son
sein pour me cramponner à elle.
Ces cuisses,
d'abord douces, me compriment la tête.
Ma langue
trouve l'entrée de sa grotte. Elle s'y glisse tel un serpent à la recherche de
la chaleur.
Je recule pour
la regarder. Elle me supplie de continuer. Sa chatte est couverte de liqueur et
de salive.
J'ai faim de
sexe.
Je retire mon
haut de maillot.
Je retourne à
mon repas.
Mais pourquoi j’aime autant ses
caresses : sa bouche passe sur l'intérieur de mes cuisses. J’ai envie de
chanter, j’ai envie de bouger, je veux danser…
Tout mon corps est en émoi… Mes seins
j’oubliais combien ils aimaient les caresses… Oh oui ta main est douce !
Oui ! Caresse moi les seins, pince mes tétons, malaxe les.
Tu fais bien l’amour ! Continue !
N’arrête jamais… j’aime tellement ta langue sur mes lèvres… j’aime tes
doigts. Tout-à-l ’heure, tu voudras bien honorer mon anus… Soudain je pense à
mes poils trop longs et m’inquiète qu’ils ne soient un repoussoir… Mais j’ai
tellement envie… je sens son nez sur mon pubis garni… je coule comme jamais…
oui bois moi, lèche mon con, ouvre ta bouche pour prendre toute ma vulve,
aspire moi, lèche moi partout, suce moi.
Tiens moi très fort… j’ai peur d’être toute
seule à jouir… j’ai peur de la violence de mon corps quand je m’envole. J’ai
peur de la puissance de mes cuisses qui vont se refermer au moment de mon
orgasme… Je veux te protéger de moi, pour que tu restes éternellement mon
amante… Tu me baise comme je n’ai jamais été baisée. Personne ne m’a jamais
emmenée où tu m’emmène… Continue encore, laisse-moi me cramponner à toi !
D’où te viens cette science de l’amour, cette technique, cette énergie ?
Je vais jouir ma belle, je vais te quitter et
jouir dans mon ciel à moi. Je vais partir comme je ne suis jamais partie… Tu
sens au fond de moi ces spasmes, ces soubresauts, cette violence qui sourde. Je
suis folle quand je jouis, je ne sais plus où je suis, je fais n’importe quoi…
Tiens-moi pendant que je décolle….
AH ! .
Et pendant qu’elle avait la tête entre mes
jambes, je cru voir au loin Raoul qui m’avait toute la nuit dernière si bien
baisée.
Il semblait désemparé de voir comment je me
laissais sucer par cette si joli femme venue d’ailleurs.
Je lui fis signe d’approcher et prenant la
tête de mon amante entre mes deux mains j’emmenai son visage en face du mien…
Et les yeux dans les yeux je lui ai parlé. Je parlais aussi pour mon amant qui
s’approchait doucement de nous.
Tu as
découvert de nouvelles lèvres à lécher, de nouveaux goûts sous ta langue, goût
de sueur, goût de sel, goût réelle de femme créole, le goût de fleur
des îles.
Tu m’as bu à t’en saouler.
Laisse-moi t’offrir un autre plaisir !
Non ! Laisse-moi faire ! Laisse toi faire ! Je t’offre mon
amant… tu sens ses mains sur tes fesses ! Accepte-les ! Ne bouge
pas ! Il va t’écarter tout doucement ! Il va te sucer comme toi tu
m’as sucé.
Je sens ton bassin qui bouge, qui
accélère ! J’entends tes gémissements. Je sens que tu apprécies cette
langue qui te fouille.
Ho ma belle inconnue, je sens que tu aimes te
faire lécher, sucer.
Oui ! Frotte ton pubis sur le
mien ! Excite-toi encore plus.
Maintenant il va te prendre tendrement,
doucement, profondément… Tu sens ce gland velouté qui cherche ta vulve… Il est
gros mais tu sauras le prendre en toi… Tu verras le plaisir qu’il donne… tu
sens cette douce caresse et maintenant accepte cet hommage, cette verge longue
et vibrante… trop longue pour toi… je ne crois pas. Embrasse-moi pendant qu’il
s’installe en toi… Tu sens ses couilles qui te touchent… Bravo ma belle tu as
tout pris… déguste le ! Bouge ! Serre-le très fort : il aime
cela et te rendra au centuple tes caresses. Voilà ma belle ! Comme tu es
douce…
Je bois tes
parole, je ne comprends pas ce que tu me dis, mais je suis si bien là dans tes
bras.
Nos lèvres se touchent enfin. Ta langue est délicieuse. Tu te goûtes dans ma
bouche.
Je sens la présence d'un intrus.
Dans mon dos, je découvre mon voisin de chambre. Il n'a pas du rater grand chose
de notre étreinte vu la bosse qui déforme son short.
Que dit-elle? Non je ne veux pas me faire baiser par lui...
Elle me parle, m'apaise. Je frémis en sentant ses mains sur mes fesses. Cela
fait si longtemps qu'un zom ne m'a touché. Je sens mon maillot quitter mes
hanches.
Une bouche, une langue se pose sur ma fleur. J'avais oublié cette sensation
désagréable de la barbe sur mes chairs fragiles.
Je ferme les yeux. J'imagine ma belle créole derrière moi. Je fais abstraction
du zom. C'est sa bouche, sa langue qui me fouille.
Oui je gémis, mais c'est toi qui me fais gémir ma belle fleur des iles.
Ton parfum corporel m’enivre. Tu veux qu'il me baise. Soit, je le fais pour toi
mais dans ma tête, c'est toi qui va me baiser. Lui il ne sera qu'un substitue.
Je frémis en sentant sa bite se présenter face à ma vulve. Je cherche le
secoure dans tes yeux.
Il me pénètre. Je reste au fond de tes yeux. Je ne suis qu'avec toi.
Je prends tes seins dans mes mains les caresses, les triture. Je mets de la
salive sur mes doigts et descend jouer avec tes tétons dur comme de la pierre.
Son bas ventre heurte mes fesses. Il est en moi, tout en moi. Il a un chibre
bien long
Il commence un long va et vient entre mes chairs.
Que ne ferais-je pas pour ma belle amante créole...
Je dois
avouer qu'il me baise bien. Elle sait bien choisir ses amants ma belle créole.
Je ahane dans sa bouche. Elle me parle, de fit des choses qui m'excite encore
plus et qui me fait accepter cet homme entre mes chairs.
Je sens qu'il va venir. Il jouit sur mes fesses rependant sa crème dessus.
Je ne suis pas encore accoutumée au décalage horaire. Je sombre dans un doux
sommeil dans les bras de ma belle amante.
Je me réveille dans mon lit. Je suis nue. Je trouve qu'il bouge beaucoup mon
lit.
Je tourne la tête et découvre ma belle amante, à genoux, ce faisant honorer par
l'homme de la plage. Mmmm, j'aime déjà son insatiabilité. Même dans la
pénombre, je vois les gouttes de sueur sur ses seins.
Ses yeux s'ouvrent et elle voit que je la regarde. Son sourire me fait fondre.
Je le découvre de plus près. Il fait trop sombre pour que je voie la couleur de
ses yeux. Je suis certaine que j'en aurais tout le loisir plus tard.
Je m'approche de son visage. Je sors ma langue et la glisse sur sa bouche. Elle
la prend au passage entre ses lèvres et la suce. Elle gémit et la reprend. Mes
lèvres se posent sur les siennes.
Je redécouvre sa bouche, son odeur, je mouille.
Ma main glisse sur ma chatte et je glisse deux doigts en elle. Je me branle
comme une sauvage. Son amant veut me caresser. Je le repousse. C'est entre elle
et moi...
Oui ma belle
! J'attendais ton réveille ! Donne-moi le temps de faire jouir mon Zom comme tu
dis et je m'occupe de toi. Regarde-nous ! Regarde moi, regarde ma vulve comme
elle est belle avec cette verge envahissante, Regarde comme se suis inondée. Laisse-moi
le sortir entièrement pour que tu voies ce que tu as accepté de prendre toi. Tu
vois comme elle est belle cette verge ! Oh je la sens qui vibre il va
jouir ! Je ferme les yeux et j'accepte cet hommage !
06 août 2013
Exhibition nocturne
Ho ma douce Ophélie, quelle merveilleuse aventure.
Je viens encore de me caresser dans mon lit avant de venir te raconter mon aventure.
Je me suis rendue près des étangs vers minuit.
J'avais le cœur qui battait la chamade et j'étais déjà bien humide en arrivant.
J'ai passé un chemisier, un petit string blanc et une mini-jupe. J'avais mis un sweat par dessus, peur de prendre froid.
Arrivée
à destination, j'arrêtais la voiture et coupais les phares. J'attendis
un moment que mes yeux s’habitue à la pénombre. Je sentais la pointe de
mes seins qui bandait sous le chemisier. Je cru que mon cœur allait
sortir de ma poitrine. Je ne risquais rien, mais j'étais paralysée. Je
fermais les yeux, cherchant à reprendre le
contrôle.
Soudain
la porte de la voiture s'ouvrit. Je vis une main tendu vers moi. Je la
pris et sortis de la voiture. Au bout de cette main ce tenait une
magnifique blonde, nue, souriante.
- Courage me dit-elle.
Elle me poussa contre mon véhicule et se colla à moi. Mes mains étaient sur ses boites à plaisir.
- Ophé..
Je
n’eus pas le temps de finir ton prénom que ta bouche était sur la
mienne. Doux baiser, mélange de langues. Tu frottait ton bas ventre sur
le mien.
Ta
bouche me quitta et toujours me tenant par la main, on avança sur le
chemin menant vers les étangs. Tu me parlais, m'encourageais, me
calmais.
Je
retirais mon sweat et le posais sur un banc. Tu me félicitais. D'une
main moins assurée, je dégrafais mon chemisier. J'hésitais à l'ouvrir.
Tu m'incitais à continuer. Je ne voulais pas te décevoir. Ta bouche sur
ma joue m'encouragea.Le chemisier rejoignit mon sweat.
J'étais
seins nue. Tu m'applaudis. Je fais du topless à la plage et c'est
bizarre que dans un lieu différent on a plus de réticence. Je bombais
mon torse fière.
La lune, mon amie, n'était pas là pour me caresser.
On reprit le chemin le long de l'étang.
- Ta jupe maintenant.
Là
c'était encore plus dure. J'avais beau me dire que je ne risquais rien,
je restais encore hésitante.Tu lâcha ma main et les glissa sur ma
hanche. Tu me caressais le haut de mes
fesses.
- Allez ma chérie, la nuit attend plus de toi. J'attends plus de toi.
Je posais mes doigts sur la fermeture éclair.
- Oui, voilà.
Ma main descendit. La jupe tenait encore sur mes hanches. Je marchais encore à tes côté, ta main me caressant encore.
Soudain, comme on le fait avec un enfant qui fait son premier tour de roue sans les stabilisateurs, tu me poussas devant toi.
- Montres moi...
Je pris ma jupe et la fit descendre.
- Ouiiii, bravo.
Je me baissais pour la ramasser, cambrant mes fesses vers toi, te les offrant. Je me tournais alors vers toi, triomphante.
Il n'y avait personne.
J'étais
en string ficelle blanc, la jupe au bout de ma main, seule... enfin
presque seule. Tu m'as guidé sans me brusquer. Merci ma Ophélie coquine.
J'ai posé ma jupe et je me suis promenée. Le temps était très agréable. Je
goutais l'instant présent. J'étais bien. Je mouillais. J'étais bien.
Mon string? Ben je le gardais me sentant encore plus désirable ainsi.
Je
finis par m'adosser à un arbre et je le suis caressée à travers mon
string. J'ai jouis en silence. Je ne voulais pas déranger ce silence.
J'étais l'actrice des oiseaux nocturnes.
J'ai repris mon chemin, toujours excitée, toujours sur le fil du plaisir. Je suis arrivée près d'un parcours de
santé. Je regardais les agrès en bois cherchant ce que je pouvais bien en tirer.
j'en
vis un qui me plu. C'était une série de haie. Je m'installais à
califourchon sur l'une d'elle. La chance de la débutante, un nœud était
situé bien comme il faut.
Je fis aller et venir mon bassin, me frottant suavement dessus. Je ne laissais pas mes seins libres.
Je fermais les yeux et t'imaginais faisant la même chose te ton côté. Je voyais la photo de
aux armes citoyennes... aux charmes citoyennes.
Je
gémissais, moins silencieuse cette fois. Je jouis une , deux ou trois
fois, je ne sais plus. Je n'arrivais pas à m'arrêter malgré la rudesse
du bois.
Je
repris mes esprits doucement et me rendis compte de la situation. Mais
j'étais assez loin de mes affaires. Je voulu cacher mes seins, mais face
à qui. Tu passas encore dans ma tête.
Je quittais l'agrès qui m'avait temps fait jouir.
Je voulais que tu sois encore plus fière de moi.
J'ai
retiré mon string poisseux. Je fis ma Ophélie. Je le laissais sur la
haie, mon amante de la nuit, imaginant le joggeur ou la joggeuse
découvrant mon mignon petit string accroché là. Peut-être le prendra
t'elle et le portera à son tour.
Je
retournais vers ma voiture, nue, le vente caressant mon corps. Je me
serais bien baignée, mais je trouvais l'eau un peu froide et je ne
connaissais
pas l'état sanitaire de cette eau.
Sur le chemin je recueillais mes affaires.
Devant
la voiture, toujours nue, je remis mon sweat. Je ne remis pas ma jupe
et rentrais chez moi, anxieuse de ne pas tomber sur un contrôle de
police. Mon coeur s'emballa en en voyant une . Je refermais les pan du
sweat sur ma poitrine. Je crus la voir freiner et accelerer sen prenant
une autre route.
Venait-il me contrôler? Je pris des détours pour rentrer
chez moi.
Tu sais quoi ma belle Ophélie, j'ai pris l’ascenseur vêtu de mon sweat.
C'était divin, agréable.
Merci, merci, merci. J'ai encore jouis sous la douche.
Merci de ton aide... J'avais oublié comme cela pouvait être agréable
30 juillet 2013
Une nuit, un train
...
Haletante et formidablement excitée, je perçus rapidement qu'il n'y avait personne sur le quai numéro 1, où je me trouvais, ni non plus sur le numéro 2 où était garé le train. Ainsi, fidèle à mes petites manies, j'écartai mon manteau, rien que pour le plaisir de recommencer à commettre ce qui était pour moi un délicieux délit. Tout en marchant, je caressai mes seins, me délectai de ce contact tendre et doux en ce lieu froid, minéral et métallique, comme si, de l'avoir déjà fait amplement à Sées, n'était pas… assez. Je me rendais compte, dans l'incapacité où j'étais de pouvoir m'arrêter, que j'étais vraiment insatiable. Sur quelques mètres, sous la partie encore couverte de la gare, je les malaxai, les tripotai, martyrisai de nouveau leurs petits bouts, en même temps que la sensation de mal faire, en ce lieu étrangement silencieux, où erraient quelques pauvres humains égarés, sans doute amochés par la vie, m'était tout à la fois horrible et délicieuse...
...
Lassée par toutes ces horreurs, je m'affalai à quatre pattes sur la banquette, le cul bien orienté vers la fenêtre. Dans cette position, j'attendis encore de longues minutes, une main entre mes cuisses, me plaisant à penser que quelqu'un pouvait entrer dans le compartiment de l'autre train et me voir. C'était effectivement un risque, mais je voulais ce risque, le trouvais excitant. Au fur et à mesure que les minutes passèrent, ma tête s'écroula sur la moleskine, et mon cul devint le plus haut sommet de ma personne.
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Extrait de l'histoire de Conan la Barbare
Haletante et formidablement excitée, je perçus rapidement qu'il n'y avait personne sur le quai numéro 1, où je me trouvais, ni non plus sur le numéro 2 où était garé le train. Ainsi, fidèle à mes petites manies, j'écartai mon manteau, rien que pour le plaisir de recommencer à commettre ce qui était pour moi un délicieux délit. Tout en marchant, je caressai mes seins, me délectai de ce contact tendre et doux en ce lieu froid, minéral et métallique, comme si, de l'avoir déjà fait amplement à Sées, n'était pas… assez. Je me rendais compte, dans l'incapacité où j'étais de pouvoir m'arrêter, que j'étais vraiment insatiable. Sur quelques mètres, sous la partie encore couverte de la gare, je les malaxai, les tripotai, martyrisai de nouveau leurs petits bouts, en même temps que la sensation de mal faire, en ce lieu étrangement silencieux, où erraient quelques pauvres humains égarés, sans doute amochés par la vie, m'était tout à la fois horrible et délicieuse...
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Lassée par toutes ces horreurs, je m'affalai à quatre pattes sur la banquette, le cul bien orienté vers la fenêtre. Dans cette position, j'attendis encore de longues minutes, une main entre mes cuisses, me plaisant à penser que quelqu'un pouvait entrer dans le compartiment de l'autre train et me voir. C'était effectivement un risque, mais je voulais ce risque, le trouvais excitant. Au fur et à mesure que les minutes passèrent, ma tête s'écroula sur la moleskine, et mon cul devint le plus haut sommet de ma personne.
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Extrait de l'histoire de Conan la Barbare
06 juillet 2013
Rencontre
Dans la nuit, ta voix
Je l'écoute et suis surprise
De mon émotion !
Tu me troubles, Amie !
Tout mon corps vibre de tes mots !
Et Je rêve de toi !
Je rêve de tes mains !
M'offrant les plus belles caresses !
Le silence est là !
Je rêve de ta bouche !
M'offrant les plus chauds baisers !
Le désir est là !
Je rêve de ton con
M'offrant tout son jus, salé
Je succombe alors !
Caty
23 mars 2013
Quand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins, à bicyclette
Ce texte n'est pas de moi mais d'une amie. On espère qu'il vous plaira.
Bises Mélanie.
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Il faisait chaud, mais pas la canicule.
Il y avait toujours une légère brise marine sur l'ile de Noirmoutier, rendant la chaleur plus supportable.
- Dépêche-toi Mélanie ! me lança Laurie.
Laurie est une fille toujours en mouvement, mademoiselle je m’occupe de tout, sans arrêt à l'ouest.
Elle
m'avait invité à passer les deux premières semaines d'aout, en
compagnie de ses parents et de son frère, de cinq ans son ainé, dans
cette agréable petite maison blanche, si caractéristique de l'ile.
- Allez Mélanie ! Presse ! Si tu veux que l'on profite de la marée haute, avant le départ de mon frère.
Nous n'avions que peu de temps, car Laurie voulait être de retour avant le départ de son frère, pour lui dire au revoir.
Je me dépêchais d’enfiler mon maillot de bain une pièce et de passer une petite robe de plage.
Nous enfourchâmes nos vélos, la serviette sous le bras, et zou..... Direction la petite plage du Vieil.
Nous
adorions ce petit village les pieds dans l'eau, ses petites ruelles
parsemées de roses trémières, qui leurs donnaient en charme
incomparable.
Elle
n’était qu'à deux ou trois kilomètres de la maison de vacances, petite
distance à vélo, mais assez conséquente quand ma vieille monture de
prêt, toute rouillée, était un calvaire à faire avancer.
Laurie enleva son maillot de bain pendant que je la protégeais des regards avec son drap de bain.
Quand
ce fut venu mon tour, nue comme vers derrière ma serviette, je
m’aperçus que j'avais oublié de prendre une petite culotte, et bien sûr
mon maillot de bain, trempé, était souillé de sable.
- Tu vas devoir rentre cul nu, me dit Laurie en rigolant.
Après tout je n'avais que cette solution, en faisant attention de ne pas trop me dévoiler aux regards indiscrets.
Dés que je fus assise sur la selle je compris rapidement que les quatre kilomètres du retour seraient particuliers.
En effet, la selle de cette vieille bicyclette était très étroite, comme celle des vélos de courses.
En
avançant un peu dessus, elle écartait mes fesses en venant écraser mon
petit trou sensation pas si désagréable, mais assez impudique si
quelques promeneurs avaient pu voir.
Quelles énormes sensations.
Je n'entendais plus Laurie, qui n’arrêtais jamais de jacasser, lui répondant par des petits "oui" très brefs.
Voyant que je trainais, elle accéléra pour ne pas rater le départ de son frère, me laissant loin derrière.
Du
coup, j'adorais ce vélo, pensant à ces femmes qui pratiquent
l’équitation uniquement pour les sensations jubilatoires du trot enlevé.
J’étais dans un autre univers, celui du plaisir, à moitié nue, entrain d’être masturbée sans le vouloir.
Je
sentais mes mamelons gonflés, mes tétons dressés et durs comme du bois,
qui à chaque secousses essayaient de déchirer ma robe.
Une onde de plaisirs commençait a envahir mon ventre, qui, me faisait de plus en plus mal.
Je glissais sur cette selle d'avant en arrière, lubrifiée par ma mouille.
Oui ! Je voulais jouir !!!
Sans descendre du vélo, à peine m’être introduit deux doigts dans ma grotte secrète, des spasmes envahirent tout mon corps.
J'avais un orgasme sur ma bicyclette, calée derrière cet abri bus.
Je n'avais pas honte, plus rien n'existait autour de moi.
Je me sentais belle, féminine, érotique........
26 février 2013
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