07 janvier 2006


Boules de Geisha

Mon expérience (Illustration : Olivia de Berardinis)

Voici donc l’histoire de Romane et de ses deux boules coquines.
Je suis entrée avant-hier soir de mon travail, légèrement excitée par ce que j’allais faire dans la soirée.
Je me suis connectée sur le site afin d’envoyer un message à Soleil au sujet de son texte sur « exhib sur autoroute ».
Je me suis ensuite déshabillée. Ma petite culotte portait les traces de mon émoi. J’ai mis un déshabillée, petite chose que j’aime porter avant de me donner du plaisir, petite chose légère et facile à ouvrir et sortis mes boule de Geisha de leur boite, petites boules blanches m’ayant déjà procuré beaucoup de plaisir à maintes occasions.

Une petite parenthèse sur les boules de Geisha. Une amie m’a, un jour, montré les siennes. Elle était semble à celle que l’on utilise pour se déstresser en les manipulant. Il doit y avoir une petite bille à l’intérieur montée sur ressort. Je m’imaginais l’effet qu’elle devait procurer. Dommage, elle n’a pas voulu me les prêter prétextant qu’il s’agissait d’un objet perso et intime. La sal… Je n’ai pas réussi à en trouver de semblable.

Revenons à nous.
J’ai augmenté la température ambiante dans la salle de bain, mis quelques bougies pour que ce soit plus romantique et une musique douce.
J’ai ensuite relu l’histoire de Soleil et de Victoria afin d’être encore un peu plus en condition, une main sur la souris et l’autre allant et venant sur mes lèvres déjà bien juteuses. Je suis aussi nue qu’une jeune fille de 12 ans.
J’ai alors pris mes boules et me les suis introduites doucement. Je me suis encore un peu caressée avant de me rendre dans la salle de bain.
Malheureusement, je n’ai pas comme notre amie Victoria des buses pour bain bouillonnant. Je dois me contenter du robinet et du pommeau de douche.
Au début, ce fut un peu acrobatique. Mon idée était de mettre ma petite chatte directement sous le robinet. Un conseil, ne pas fermer la bonde sinon on boit la tasse.
Me voici donc, couchée dans le fond de la baignoire, les jambes posées sur le mur de chaque côté du robinet. C’est très inconfortable et le plaisir est néant.
Heureusement que j’ai un pommeau de douche à plusieurs jets. Je l’utilise régulièrement pour me masser toutes les parcelles de la peau.
Je fermais cette fois la bonde et commençais à me masser à l’aide du jet de douche. La situation précédente n’avait quand même pas fait fondre mon désir. Mes tétons se mirent à durcirent au fur et à mesure que mon excitation grimpait. La douche d’une main et l’autre main sur mes seins. Je fermais les yeux, me laissant emporter par un doux plaisir.
Je fis descendre le jet sur mon ventre, mon pubis et enfin sur mes lèvres intimes. Mon dieu, c’était divin.

Mes petites coquines furent prises de mouvements rapides et désordonnés en moi. Je pinçais mes lèvres, gémissais doucement. J’abandonnais alors mes seins pour aller me caresser plus intimement. Je fis monter et descendre le jet le long de ma fleur. Je sentis cette boule caractéristique grossir au creux de mon ventre, de mes reins. Elle vint rejoindre mes deux coquines qui continuaient leurs sarabandes. J’ai jouis dans mon bain.
Il était temps. L’eau menaçait de déborder.
Je suis sortie de la baignoire encore toute excitée.
Je me séchais rapidement pour me retrouver à quatre pattes sur le lit. Je frottais suavement mon pubis en fusion sur un coussin. Une vraie chienne en chaleur. Je me masturbais à nouveau avec vivacité et je jouis encore et encore.
Je m’allongeais enfin, les sens calmés. Je finis par tirer sur le cordon pour extraire mes deux vicieuses. Elles étaient luisantes de mes liqueurs. Je les gobais l’une après l’autre pour les nettoyer.
Voilà mon expérience mes loulous.
Merci Victoria de m’avoir fait découvrir cela.

2 commentaires:

Cindy a dit…

Hum! C'est boules, que de plaisirs ont en retire. Tu me ramènes a de doux souvenirs.

Anonyme a dit…

quelle chance vous avez!!!!!de pouvoir avoir de multiples orgasmes.