Ho ma douce Ophélie, quelle merveilleuse aventure.
Je viens encore de me caresser dans mon lit avant de venir te raconter mon aventure.
Je me suis rendue près des étangs vers minuit.
J'avais le cœur qui battait la chamade et j'étais déjà bien humide en arrivant.
J'ai passé un chemisier, un petit string blanc et une mini-jupe. J'avais mis un sweat par dessus, peur de prendre froid.
Arrivée
 à destination, j'arrêtais la voiture et coupais les phares. J'attendis 
un moment que mes yeux s’habitue à la pénombre. Je sentais la pointe de 
mes seins qui bandait sous le chemisier. Je cru que mon cœur allait 
sortir de ma poitrine. Je ne risquais rien, mais j'étais paralysée. Je 
fermais les yeux, cherchant à reprendre le
 contrôle.
Soudain
 la porte de la voiture s'ouvrit. Je vis une main tendu vers moi. Je la 
pris et sortis de la voiture. Au bout de cette main ce tenait une 
magnifique blonde, nue, souriante.
- Courage me dit-elle.
Elle me poussa contre mon véhicule et se colla à moi. Mes mains étaient sur ses boites à plaisir.
- Ophé..
Je
 n’eus pas le temps de finir ton prénom que ta bouche était sur la 
mienne. Doux baiser, mélange de langues. Tu frottait ton bas ventre sur 
le mien.
Ta
 bouche me quitta et toujours me tenant par la main, on avança sur le 
chemin menant vers les étangs. Tu me parlais, m'encourageais, me 
calmais.
Je
 retirais mon sweat et le posais sur un banc. Tu me félicitais. D'une 
main moins assurée, je dégrafais mon chemisier. J'hésitais à l'ouvrir. 
Tu m'incitais à continuer. Je ne voulais pas te décevoir. Ta bouche sur 
ma joue m'encouragea.Le chemisier rejoignit mon sweat. 
J'étais
 seins nue. Tu m'applaudis. Je fais du topless à la plage et c'est 
bizarre que dans un lieu différent on a plus de réticence. Je bombais 
mon torse fière.
La lune, mon amie, n'était pas là pour me caresser.
On reprit le chemin le long de l'étang.
- Ta jupe maintenant.
Là
 c'était encore plus dure. J'avais beau me dire que je ne risquais rien,
 je restais encore hésitante.Tu lâcha ma main et les glissa sur ma 
hanche. Tu me caressais le haut de mes
 fesses.
- Allez ma chérie, la nuit attend plus de toi. J'attends plus de toi.
Je posais mes doigts sur la fermeture éclair.
- Oui, voilà.
Ma main descendit. La jupe tenait encore sur mes hanches. Je marchais encore à tes côté, ta main me caressant encore.
Soudain, comme on le fait avec un enfant qui fait son premier tour de roue sans les stabilisateurs, tu me poussas devant toi.
- Montres moi...
Je pris ma jupe et la fit descendre.
- Ouiiii, bravo.
Je me baissais pour la ramasser, cambrant mes fesses vers toi, te les offrant. Je me tournais alors vers toi, triomphante.
Il n'y avait personne.
J'étais
 en string ficelle blanc, la jupe au bout de ma main, seule... enfin 
presque seule. Tu m'as guidé sans me brusquer. Merci ma Ophélie coquine.
J'ai posé ma jupe et je me suis promenée. Le temps était très agréable. Je
 goutais l'instant présent. J'étais bien. Je mouillais. J'étais bien. 
Mon string? Ben je le gardais me sentant encore plus désirable ainsi.
Je
 finis par m'adosser à un arbre et je le suis caressée à travers mon 
string. J'ai jouis en silence. Je ne voulais pas déranger ce silence. 
J'étais l'actrice des oiseaux nocturnes.
J'ai repris mon chemin, toujours excitée, toujours sur le fil du plaisir. Je suis arrivée près d'un parcours de
 santé. Je regardais les agrès en bois cherchant ce que je pouvais bien en tirer.
j'en
 vis un qui me plu. C'était une série de haie. Je m'installais à 
califourchon sur l'une d'elle. La chance de la débutante, un nœud était 
situé bien comme il faut.
Je fis aller et venir mon bassin, me frottant suavement dessus. Je ne laissais pas mes seins libres.
Je fermais les yeux et t'imaginais faisant la même chose te ton côté. Je voyais la photo de
 aux armes citoyennes... aux charmes citoyennes.
Je
 gémissais, moins silencieuse cette fois. Je jouis une , deux ou trois 
fois, je ne sais plus. Je n'arrivais pas à m'arrêter malgré la rudesse 
du bois.
Je
 repris mes esprits doucement et me rendis compte de la situation. Mais 
j'étais assez loin de mes affaires. Je voulu cacher mes seins, mais face
 à qui. Tu passas encore dans ma tête.
Je quittais l'agrès qui m'avait temps fait jouir. 
Je voulais que tu sois encore plus fière de moi.
J'ai
 retiré mon string poisseux. Je fis ma Ophélie. Je le laissais sur la 
haie, mon amante de la nuit, imaginant le joggeur ou la joggeuse 
découvrant mon mignon petit string accroché là. Peut-être le prendra 
t'elle et le portera à son tour.
Je
 retournais vers ma voiture, nue, le vente caressant mon corps. Je me 
serais bien baignée, mais je trouvais l'eau un peu froide et je ne 
connaissais
 pas l'état sanitaire de cette eau.
Sur le chemin je recueillais mes affaires. 
Devant
 la voiture, toujours nue, je remis mon sweat. Je ne remis pas ma jupe 
et rentrais chez moi, anxieuse de ne pas tomber sur un contrôle de 
police. Mon coeur s'emballa en en voyant une . Je refermais les pan du 
sweat sur ma poitrine. Je crus la voir freiner et accelerer sen prenant 
une autre route. 
Venait-il me contrôler? Je pris des détours pour rentrer
 chez moi.
Tu sais quoi ma belle Ophélie, j'ai pris l’ascenseur vêtu de mon sweat.
C'était divin, agréable.
Merci, merci, merci. J'ai encore jouis sous la douche.
Merci de ton aide... J'avais oublié comme cela pouvait être agréable

4 commentaires:
Tu es une coquine!
Bisous,
Ophélie
Et fière de l'être
Ça ne m'étonne pas!
Je comprends mieux ton commentaire sur roomantic, cette description est juste délicieuse de sensualité !
Merci Romane pour nous faire partager ces instants !
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