ATTENTION : CECI EST UN SITE POUR ADULTE. Si tu n'as pas l'âge légal, tu es prié(e) de fermer la fenêtre. Je suis une femme sexuellement libre. J'aime lire et écrire des histoires érotiques, regarder les films d'Andrew Blake, faire de la voile, porter de la lingerie fine, faire l'amour avec des femmes.
25 mai 2019
12 mai 2019
La Palmyre
Cette histoire a été écrite par une amie. Je l'ai un peu corrigé.
Ce n'est pas habituel que je publie une histoire hétéro, mais j'apprécie beaucoup cette personne. Alors j'ai accepté de la publier.
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Le temps est
radieux en cet après-midi de début de printemps. Il fait beau. Il fait chaud.
Ma mère
adepte du naturisme me demande si je veux bien l'accompagner à la Palmyre, sur
sa plage favorite.
Je sais bien
que ce lieu est assez libertin, mais bon, sans hésitation je lui répondis oui.
Une petite
demi-heure de route et nous voilà traversant la forêt qui donne accès à la
plage. Les draps de plage sont vite installés et ma mère commence à se dévêtir.
Je suis toujours
surprise de redécouvrir sa magnifique poitrine. Malgré ses 47 ans ses gros
seins se tiennent très haut, lourds et arrogants.
Elle a juste
pris un léger petit ventre rebondi mais cela n’abime en rien sa jolie
silhouette. Elle retire son tanga. Son sexe complètement épilé laisse voir deux
langues fines de chair dépasser de sa vulve.
Je connais
trop bien son corps. Elle est assez nature et se promène régulièrement nue dans
la maison, mais la voir nue, ici, sur la plage, devant tout le monde, la rend
encore plus belle à mes yeux.
Je ne suis pas
encore déshabillée alors qu'une envie pressante se manifeste. L’eau est encore
trop froide en cette saison. Je me dirige donc vers les bois pour me soulager.
Accroupie en
train d’uriner dans une clairière, j'entends des craquements de bois. Je devine
immédiatement que quelqu’un s’approche.
Vêtue d’un
chemisier clair et d’une jupe courte, je me reculotte en catastrophe sans que
je n'eus terminé ce quoi j’étais en train de faire et cours me cacher derrière
un gros arbre.
Ma culotte
mouillée me gêne. Je préfère carrément la retirer et la pose à mes pieds.
C’est un
jeune homme à vélo. Il avance sur le chemin et finit par stopper au niveau d’un
sous-bois. Il pose sa bicyclette le long d’un buisson et balaye du regard les
alentours.
Il déplie
une natte et s’allonge dessus, épuisé.
Le jeune
homme se relève et observe les environs pour s’assurer que l’endroit est
vraiment désert.
Ne voyant
personne, il retire ses chaussures, son tee-shirt, son short et son slip. Il
est maintenant complètement nu, pas un poil, ni sur sa poitrine, ni sur son
ventre, ni sous ses bras, ni sur son sexe.
La chaleur
bienfaisante chauffe le sexe du garçon et le fait gonfler. Il prend alors sa
verge en main et la place vers le haut en la décalottant à fond.
Toujours
derrière mon arbre, j'observe ce qui se passe. Je ne bouge pas au risque
de me faire remarquer. Pour compliquer un peu plus la situation, je viens
de marcher sur ma culotte, qui est donc maintenant pleine de terre. Il n’est
donc plus question de la remettre. Avec ma jupe courte, pas de culotte, un vent
chaud qui souffle par moments et vient me chatouiller ma vulve encore humide et
la vision de ce sexe en érection et bien décalotté m'excite.
Je sens le
bout de mes seins durcir sous mon chemiser. Je ne peux m’empêcher de glisser ma
main sous le tissu et pincer mes tétons en érections.
J'espère
bien qu’il va se masturber. D’ailleurs, je ne cesse de répéter à voix basse «
Vas-y, branles toi, branles toi… ».
Mais il n’en
est rien, tout au plus se caresse-t-il la verge de temps en temps, mais rien de
plus.
Il reste
comme cela à bronzer, le sexe allongé vers le haut, indécent !
Ne tenant
plus, j'écarte les jambes remontant un peu ma courte jupe et commence à me
caresser la fente. Mes lèvres sont lisses mais j'ai gardé une partie de ma
toison blonde sur mon mont de Vénus. Mes poils sont coupés court et forment un
petit triangle qui descend jusqu’à la naissance de mes lèvres cachant mon petit
bouton qui maintenant se retrouve complètement décapuchonné.
Rapidement mes
caresses se font plus rapides, le désir monte et je m’introduis deux doigts
dans la vulve tout en massant mon clitoris bourgeonnant.
De plus en
plus excitée, je mate avec envie le jeune homme tout en me masturbant énergiquement.
Avant de
jouir et pour ne pas me faire repérer je décide alors à sortir discrètement de
ma cachette abandonnant ma culotte souillée derrière l'arbre. Un peu plus loin,
je jouis la bouche collée sur mon avant-bras
De retour
sur la plage, ma mère inquiète me demande ce qu’il s’est passé. Je lui explique
que j'ais pissé sur ma culotte et l'ais abandonné dans la forêt.
Juste en
monokini je me pose à côté de ma mère, ne risquant pas de lui faire de
l'ombre avec ma petite poitrine aux gros tétons.
Tout à coup,
en face de nous arrive un jeune homme. Je le reconnais de suite. C’est le jeune
homme du bois.
Il est
toujours nu, le sexe en demi érection tenant dans sa main ma culotte
abandonnée.
Il jauge ma
mère et son sexe commence à grossir et à s’allonger. Il me regarde alors
- -
Je crois que
vous avez perdu ceci mademoiselle"
Je récupère
ma culotte, rouge comme une pivoine.
Ma mère avec
un sourire aux lèvres lui dit :
-
- Je ne sais
pas comment vous remercier jeune homme"
A ma grande
surprise, je la vois ouvrir ses cuisses pour offrir une jolie vision sur son
intimité et sa vulve bien ourlée.
Il la jauge
à nouveau puis regarde vers les bois d’où il est sorti.
Mais mère
n’est pas née de la dernière pluie. Elle se lève, prend sa serviette qu’elle
noue autour de la taille et précède le jeune homme vers les bois.
Je les
regarde s’éloigner mais au bout de quelque minute, je ne tiens plus et part sur
leur pas.
Je les
retrouve près de l’endroit où il s’était allongé plus tôt.
Ma mère a
posé sa serviette sur le sol et s’est allongée jambe écartée offrant à nouveau
son intimité à la vue du jeune homme. Celui-ci se masturbe enfin.
Elle le
regarde tout en glissant une main sur ses lèvres pour les écarter.
Ensuite elle
se redresse, s’assied en tailleur et lui fait signe d’approcher. Elle lui parle
mais d’où je suis, je n’entends rien.
Elle prend
alors la hampe du jeune homme d’une main et ses bourses de l’autre.
En voyant
cela, je me rappelais d’un soir, entendant mon père gémir, m’être dirigée vers
la chambre de mes parents. Je fus alors surprise de voir ma mère dans la même
position caresser le sexe de mon père, le branler et ensuite lui prodiguer une
sublime fellation. J’étais déjà assez grande pour supporter cette vision et
Dominique m’enseignait des choses encore plus salaces.
Son visage s’approche
dangereusement du pénis en érection. Elle ne va quand même pas le sucer. Sa
langue sort, glisse sur le méat pour descendre le long de la hampe. Elle ne le
prend pas dans sa bouche. Non elle se contente de le masturber, de lui cajoler
les bourses et de glisser sans langue sur le dard.
Un jet de
sperme jaillit de son pénis pour aller s’écraser sur la poitrine de ma mère.
Elle est ravie et sourit au jeune homme tout en lui dégorgeant encore le
poireau.
Elle étale
alors le sperme sur sa poitrine.
Le jeune
homme, gentleman, lui donne un mouchoir pour s’essuyer.
Alors
qu’elle se lève, je retourne rapidement sur la plage, le sexe tout humide.
Ma mère
s’installe près de moi
- -
Comment l’as-tu
remercié lui dis-je perfide
- -
Je pense
qu’il se souviendra de moi encore longtemps dit-elle en souriant
Au creux de
sa poitrine, je vis une goutte de sperme qui avait échappé au nettoyage. J’eu
une envie folle d’aller la récupérer sur le bout de ma langue.
Ma mère vit
mon regard, découvrit la goutte et la retira.
Sa vulve
semblait plus humide que tout à l’heure.
05 mai 2019
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