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ATTENTION : CECI EST UN SITE POUR ADULTE. Si tu n'as pas l'âge légal, tu es prié(e) de fermer la fenêtre. Je suis une femme sexuellement libre. J'aime lire et écrire des histoires érotiques, regarder les films d'Andrew Blake, faire de la voile, porter de la lingerie fine, faire l'amour avec des femmes.
21 juillet 2015
19 juillet 2015
Un samedi soir sur la terre
Ce fut une semaine bien calme
après le départ de Anne la cousine de Marie. Comment Marie a-t-elle pu me cacher
une cousine aussi sexy et aussi câline ?
Elle m’envoie des emails enflammés
depuis son départ. Elle est mariée et aime énormément son mari, mais elle s’accorde
de petites aventures extraconjugales et surtout avec des femmes.
Bref, son départ a laissé un
petit vide. On en a profité pour se ressourcer un peu Marie et moi.
Ce week-end elle est partie dans
sa famille. J’ai passé mon samedi à lire les récits de mon amie Ophélie. J’ai
passé mon samedi à me caresser sans aller jusqu’à la jouissance.
Vers 23 heures, j’ai décidé de
sortir me promener autour du petit lac que j’affectionne depuis longtemps. J’ai
pris mon sac, fourré quelques objets pour ma petite promenade, passé une paire
de cuissarde, un chemiser et une petite jupe légère. C’est tout.
J’ai garé ma voiture sur le
chemin qui mène au lac. J’ai fait le chemin à pied. Je le connais par cœur maintenant
et je ne trébuche plus comme les première fois.
Arrivée près du lac, j’ai posé
mon sac, retiré mes quelque vêtements et mes cuissardes. J’étais nue, offerte à
la nuit, au courant d’air. J’étais bien, en paix.
Je me suis approchée de l’eau et
y suis entrée doucement. Elle était fraîche. Ma main est descendue sur ma chatoune
glabre. J’étais encore humide de mes lectures et de la situation dans laquelle
je me trouvais. Je me caressais alors, doucement, mes doigts glissant entre mes
lèvres bien humides. J’avançais ensuite dans l’eau pour m’y baigner. Je nageais
alors quelque minute.
Plic-plic-plic faisaient les
gouttes de pluie alors que j’étais dans l’eau. Mes tétons bandaient sous la
fraîcheur d l’eau. Je ressortie, les pieds dans la vase. La pluie avait cessé.
Je me suis assise dans la pelouse
près de mes affaires et je me suis allongée en écartant bien les jambes. Ma
main retrouva sa place entre mes cuisses. Il ne fallut pas bien longtemps pour
que la sève perle à nouveau sur mes lèvres.
J’aime me gouter, gouter mon jus,
ma cyprine. Je me masturbais, écoutant les bruits de la nuit autour de moi. J’avais
deux doigts dans ma grotte. Je me pinçais les seins de mon autre main. J’étais
bien, heureuse de vivre, de jouir.
Je plongeais dans mon sac à la
recherche de l’œuf vibrant que j’avais pris. Après l’avoir bien préparé avec ma
salive, je le glissais en moi et mis en route l’objet. Il fit son travail de sape
dans ma vulve. Je jouis en silence pur ne pas effrayer les animaux autour de
moi. Je fermais les yeux pour reprendre mes esprits.
Je pris alors le jolie cadeau que
nous avait fait Anne : un rosebuds avec du crin de cheval. Je Le préparais
comme l’œuf plus tôt et le glissais dans mes fesses. Je marchais alors pour que
mon cul se fasse à sa présence. Cela faisait bizarre de sentir le crin de
cheval sur mes cuisses.
Je mis mes cuissardes et partis
faire le tour de lac. Un peu fofolle, j’enlaçais les arbres, me frottant sur
eux comme pour y laisser mon odeur. Il en avait un avec une protubérance juste
où il fallait. Je me frottais plus longuement dessus, mon plaisir revenant de façon
plus impérieuse. Je me détachais de l’arbre avant de jouir prenant note de sa
situation pour la prochaine fois.
Le rosebuds me remplissait bien l’anus.
Je devais quand même contracter mes muscles pour qu’il ne s’échappe pas de son réceptacle.
Je me promenais ainsi, profitant de la nuit imaginant le monde qu’il y aurait
demain avec moi nue parmi eux.
Je me grattais le bouton de temps
en temps. Ma chatte coulait encore et encore. J’ai passé la journée avec une
chatte coulante. Elle n’a pas le rhume pourtant.
Au bout d’une demi-heure, j’étais
de retour près de mes affaires. L’oeuf était posé dessus.
Je me suis agenouillée et j’ai
tendu mes fesses vers le ciel, les étoiles. J’ai glissais ma main sur mes
lèvres et je me suis masturbée, je me suis branlée en imaginant la bouche de
Marie, de Anne sur ma chatte. J’avais envie d’une bouche, là maintenant. J’avais
envie de main sur mon corps, des mains caressantes, brutales aussi. J’avais
envie d’une bonne fessée. J’avais beau me taper sur les fesses, cela n’était
pas pareil. Mes doigts allaient et venaient dans ma vulve chaude, dégoulinante.
Je sentais ma cyprine couler entre mes cuisses.
Je m’arrêtais un instant pour
reprendre.
Mes seins frottaient sur la
pelouse, mes tétons bandaient. Une bouche, je veux une bouche qui me tète, qui
m’inondes les lolos de salive. Je pensais à Ophélie, Marianne qui avait animé
mes lectures de la journée. J’accélérais le rythme pour à nouveau jouir mais
pas en silence cette fois.
Je m’écroulais, la respiration
rapide, le cœur à 100 à l’heure. Oh que j’étais bien.
J’ai dû m’assoupir un instant. Je
me suis levée, les jambes un peu cotonneuses. J’ai repris mes affaires et suis
retournée à la voiture. Je me suis alors rhabillée pour rentrer.
Le rosebuds était toujours en
moi. La queue dépassait légèrement le bas de ma jupe. Et si…
Je marchais dans le centre de la
ville, croisant quelques personnes, la queue du rosebuds dépassant de ma jupe.
Les gens ont-ils fait attention. Je ne sais pas, mais j’y ai pris beaucoup de
plaisir.
Une fois la porte de l’appartement
fermé, j’entendis gratter. Il y avait Anne derrière. Elle portait ce somptueux
déshabillé que Marie et moi lui avions offert. Elle entra dans l’appartement.
Je remarquais une excroissance sur son bas ventre. Alors qu’elle se collait à
moi pour un baiser fulgurant, je glissais ma main et constatait qu’elle avait
un godemiché.
Que faisait Anne ici à plus de
mille lieux de Paris. Je ne me posais pas la question trop longtemps découvrant
à nouveau son corps sous mes doigts.
Elle me plaqua contre le mur de l’entrée,
souleva ma jambe et glissa le gode dans mes chairs toujours liquéfiées. Comme
un homme, elle me prit ainsi.
Mon chemisier valsa et sa bouche
gourmande dévora ma poitrine. Enfin une bouche sur moi. Je gémissais. Je virais
son déshabillée pour mieux la dévorer à mon tour.
Je finis par la repousser pour me
rendre au salon. Je me suis agenouillée sur le canapé, pointant mes fesses dans
sa direction. J’ai soulevé ma jupe pour lui offrir mes fesses et lui montrer comme
je portais bien son cadeau.
Elle s’approcha et m’embrocha à
nouveau comme une chienne.
Je perdis la notion du temps. Je
pense que je l’ai perdu dès mon retour chez nous.
Je me suis réveillée ce matin,
nue, un coussin entre les cuisses, le rosebuds gisant à côté de moi. Il y avait
aussi un godemiché, encore remplit de mes humeurs. J’avais rêvé. J’avais rêvé d’Anne.
Je me suis levée pour aller
prendre une bonne douche. Mais, mais qui a bien pu me faire un suçon sur ma
poitrine…
04 juillet 2015
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