Histoires écrite à quatre mains avec ma petite fleur des îles. Son texte est en italique.
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Tu es
allongée sur la plage, offrant ton corps aux rayons du soleil.
Je me suis installée devant toi, de sorte que j'ai une merveilleuse vue sur ton
entre cuisse.
Tu as remarqué ma présence et tu joues avec moi, ouvrant, fermant tes
cuisses, attisant ainsi mon désir.
Je regarde à
droite, je regarde à gauche. On est presque seule sur cette plage. Sous les
cocotiers, on entend l’extinction des barbecues et le départ des voitures.
Le soleil est
un peu moins mordant.
Je crois que
l'on est vraiment seule maintenant.
Tu te lèves, me
regardes derrière tes lunette de soleil et te lèves.
Lentement,
calculant bien tes mouvements, tu dégrafes le haut de ton maillot.
Tu m'offres la
vu de ta superbe poitrine....
Tu te diriges
alors vers l'eau. Avant d'y entrer, tu me regardes à nouveau, sans te
retourner, et tires sur la ficelle du bas de ton maillot. Ta croupe, tes fesses
de vénus apparaissent. Tu lances vers moi le bout de tissus et tu entres dans
l'eau.
Je mouille dans
mon maillot.
Je te laisse
seule dans l'eau préférant te regarder..
Tu sors enfin
de l'onde. Je peux admirer ton mont de vénus, sur lequel de mignon petit
poilichon se battent en duel. L'eau de mer s'y accroche.
J'ai la gorge
sèche
Tu retournes
sur ta serviette sans venir quérir le bas de ton maillot.
Tu t’allonges
et m'offres une merveilleuse vue sur tes lèvres.
Tu recommence
ton manège titillant mes sens
J'ai la gorge sèche.
Je vois les perles d'eau de mer sur ta toison. De fines gouttelettes glissent
sur tes seins.
Je n'en puis plus.
Je me lève et m'approche. Sans aucune gêne je repose ma serviette à tes pieds.
Je vois ton sourire. Tu ouvres tes cuisses et glissant une main sur ton sexe,
tu écartes tes lèvres à mes yeux.
C'est rose, et blanc de ton excitation. Tu mouilles tellement tu es fière de
ton manège.
Tu prends un peu de ta mouille et en dépose sur tes tétons qui bandent à
mourir.
J'ai soif...
Tu reposes ta main sur ta chatte. Un doigt glisse entre tes lèvres charnues. Tu
te caresses sans complexe. Tu m'offre ton désir, ton plaisir. En suis-je la
cause?
Tu penses à quoi derrière tes lunettes de soleil : à l'homme qui t'a rendu
heureuse cette nuit dans la chambre d’hôtel, à cette métropolitaine qui dormait
à côté et qui a été réveillée par tes douces mélopées de plaisir.
Un doigt glisse
dans tes chairs liquéfiées. Il ressort plein de liqueur.
Tu le tends
vers moi... Une invitation?
C'en est trop.
Je me faufile entre tes cuisses et gobe le doigt offert. Mmmmh douce saveur de
ton corps.
Alors que je
suce ce doigt si gentiment offert, un autre ressort. Je le suce tout aussi
avidement.
Je te goûte sur
tes doigts...
Je
mouille
Oui ! viens me sucer, me boire, me
faire jouir ! Fais moi oublier les ZOMS !
Tu continues à
m'offrir ta mouille sur tes doigts que tu plonges tour à tour dans ta grotte.
Je saisis alors
tes cuisses et les caresses en douceur. Ma bouche glisse sur la peau interne de
tes cuisses, déposant de petits baisers et de ma salive. Mes mains glissent sur
tes hanches. Tu te masturbes, deux doigts dans ta chatte.
Ma bouche se
pose alors sur ta main.
Je mouille.
Je la lèche...
Tu la retire me laissant sucer tes doigts au passage.
Ta langue
glisse sur tes lèvres. Tu es excitée et l'odeur de ton intimité me chavire.
Je te renifle,
te respire, m’imprègne de toi.
Tu gémis
doucement. Tu te tritures les tétons.
Je sors ma
langue et la glisse le bout sur tes lèvres gorgées de liqueur....
Mes mains
s'agrippent à tes hanches prêtes à contrôler les mouvements de ton bassin.
Je glisse ma
langue sur ta fleur, la découvrant, la goutant, J'y dépose de temps en temps un
petit baiser...
Continues ma douce, offre-moi ta
mouille, plonge-toi en moi, saisis mes cuisses, caresses les, glisse sur ma
peau, dépose des petits baisers, bois ma salive, glisse tes mains sur mes
hanches, masturbes toi, met moi tes doigts dans ma chatte, un, puis deux, puis
trois, oui ta main j’aime le fisting, mouille pour moi, lèche moi, suce mes
doigts,
Je suis excitée et je sens ton
odeur de femme, je hume ton intimité et je chavire.
Renifle moi, respire moi,
imprègnes-toi de moi. Gémis, tritures tes tétons, sors ta langue et glisse là
dans mon con gorgé de liqueur....
Agrippe mes hanches, contrôle mes mouvements,
touche ma fleur, découvre là, goûte là, continue toujours !
Tu dis des
mots, tu me demandes des choses, mais je reste concentrée.
Doucement, ne pas succomber trop vite à l'envie qui me brûle le creux du
ventre. Je pourrais me masturber mais je dois m'occuper de toi.
Je glisse ma langue sur les lèvres, écartant les plis, recueillant une douce
liqueur. C'est aussi bon que sur ces doigts.
Tu me hurles de te branler, de te doigter.
Pas encore.
Pas encore.
Ma chatte est pleine de mouille. Ce sera pour plus tard...
Je continue, malgré tes suppliques, de te caresser du bout de ma langue.
Viens m’aimer, viens me faire l’amour, viens
m’apprendre les gestes venus de nulle part, viens tout près de moi, viens me
toucher…
Je sais que tu as envie que je t’aime aussi,
mais sois patiente… je m’occuperai de toi tout à l’heure.
Non ! ne te masturbe pas encore… Je vois
que tu mouilles, que ta chatte est pleine de jus… égoïste je le suis et je veux
j’exige mon plaisir.
Viens ! Occupe-toi de moi, glisse ta
langue sur mes lèvres, écarte bien les plis, recueille ma douce liqueur. Oh que
c'est bon… je n’en peux plus !
Branles moi, mets tes doigts dans
tous mes trous.
Ma bouche passe
sur l'intérieur de ses cuisses. Son bassin commence à onduler et une douce
mélopée s'échappe de ses lèvres.
Ma caresse fait
son effet. Je pose une main sur l'un de ses seins. Je le caresse, prends son
tétons entre mes doigts, le malaxe, tire dessus, le pince. Un long feulement
s'échappe de sa gorge.
J'en profite
pour poser plus franchement ma langue sur ses lèvres que j'écarte de mes
doigts.
Son pubis me
chatouille le bout du nez. Je la bois, la lèche.
J'ouvre la
bouche et la pose sur sa vulve. J'aspire, je lèche, je suce.
Son bassin
ondule de plus en plus.
J'abandonne son
sein pour me cramponner à elle.
Ces cuisses,
d'abord douces, me compriment la tête.
Ma langue
trouve l'entrée de sa grotte. Elle s'y glisse tel un serpent à la recherche de
la chaleur.
Je recule pour
la regarder. Elle me supplie de continuer. Sa chatte est couverte de liqueur et
de salive.
J'ai faim de
sexe.
Je retire mon
haut de maillot.
Je retourne à
mon repas.
Mais pourquoi j’aime autant ses
caresses : sa bouche passe sur l'intérieur de mes cuisses. J’ai envie de
chanter, j’ai envie de bouger, je veux danser…
Tout mon corps est en émoi… Mes seins
j’oubliais combien ils aimaient les caresses… Oh oui ta main est douce !
Oui ! Caresse moi les seins, pince mes tétons, malaxe les.
Tu fais bien l’amour ! Continue !
N’arrête jamais… j’aime tellement ta langue sur mes lèvres… j’aime tes
doigts. Tout-à-l ’heure, tu voudras bien honorer mon anus… Soudain je pense à
mes poils trop longs et m’inquiète qu’ils ne soient un repoussoir… Mais j’ai
tellement envie… je sens son nez sur mon pubis garni… je coule comme jamais…
oui bois moi, lèche mon con, ouvre ta bouche pour prendre toute ma vulve,
aspire moi, lèche moi partout, suce moi.
Tiens moi très fort… j’ai peur d’être toute
seule à jouir… j’ai peur de la violence de mon corps quand je m’envole. J’ai
peur de la puissance de mes cuisses qui vont se refermer au moment de mon
orgasme… Je veux te protéger de moi, pour que tu restes éternellement mon
amante… Tu me baise comme je n’ai jamais été baisée. Personne ne m’a jamais
emmenée où tu m’emmène… Continue encore, laisse-moi me cramponner à toi !
D’où te viens cette science de l’amour, cette technique, cette énergie ?
Je vais jouir ma belle, je vais te quitter et
jouir dans mon ciel à moi. Je vais partir comme je ne suis jamais partie… Tu
sens au fond de moi ces spasmes, ces soubresauts, cette violence qui sourde. Je
suis folle quand je jouis, je ne sais plus où je suis, je fais n’importe quoi…
Tiens-moi pendant que je décolle….
AH ! .
Et pendant qu’elle avait la tête entre mes
jambes, je cru voir au loin Raoul qui m’avait toute la nuit dernière si bien
baisée.
Il semblait désemparé de voir comment je me
laissais sucer par cette si joli femme venue d’ailleurs.
Je lui fis signe d’approcher et prenant la
tête de mon amante entre mes deux mains j’emmenai son visage en face du mien…
Et les yeux dans les yeux je lui ai parlé. Je parlais aussi pour mon amant qui
s’approchait doucement de nous.
Tu as
découvert de nouvelles lèvres à lécher, de nouveaux goûts sous ta langue, goût
de sueur, goût de sel, goût réelle de femme créole, le goût de fleur
des îles.
Tu m’as bu à t’en saouler.
Laisse-moi t’offrir un autre plaisir !
Non ! Laisse-moi faire ! Laisse toi faire ! Je t’offre mon
amant… tu sens ses mains sur tes fesses ! Accepte-les ! Ne bouge
pas ! Il va t’écarter tout doucement ! Il va te sucer comme toi tu
m’as sucé.
Je sens ton bassin qui bouge, qui
accélère ! J’entends tes gémissements. Je sens que tu apprécies cette
langue qui te fouille.
Ho ma belle inconnue, je sens que tu aimes te
faire lécher, sucer.
Oui ! Frotte ton pubis sur le
mien ! Excite-toi encore plus.
Maintenant il va te prendre tendrement,
doucement, profondément… Tu sens ce gland velouté qui cherche ta vulve… Il est
gros mais tu sauras le prendre en toi… Tu verras le plaisir qu’il donne… tu
sens cette douce caresse et maintenant accepte cet hommage, cette verge longue
et vibrante… trop longue pour toi… je ne crois pas. Embrasse-moi pendant qu’il
s’installe en toi… Tu sens ses couilles qui te touchent… Bravo ma belle tu as
tout pris… déguste le ! Bouge ! Serre-le très fort : il aime
cela et te rendra au centuple tes caresses. Voilà ma belle ! Comme tu es
douce…
Je bois tes
parole, je ne comprends pas ce que tu me dis, mais je suis si bien là dans tes
bras.
Nos lèvres se touchent enfin. Ta langue est délicieuse. Tu te goûtes dans ma
bouche.
Je sens la présence d'un intrus.
Dans mon dos, je découvre mon voisin de chambre. Il n'a pas du rater grand chose
de notre étreinte vu la bosse qui déforme son short.
Que dit-elle? Non je ne veux pas me faire baiser par lui...
Elle me parle, m'apaise. Je frémis en sentant ses mains sur mes fesses. Cela
fait si longtemps qu'un zom ne m'a touché. Je sens mon maillot quitter mes
hanches.
Une bouche, une langue se pose sur ma fleur. J'avais oublié cette sensation
désagréable de la barbe sur mes chairs fragiles.
Je ferme les yeux. J'imagine ma belle créole derrière moi. Je fais abstraction
du zom. C'est sa bouche, sa langue qui me fouille.
Oui je gémis, mais c'est toi qui me fais gémir ma belle fleur des iles.
Ton parfum corporel m’enivre. Tu veux qu'il me baise. Soit, je le fais pour toi
mais dans ma tête, c'est toi qui va me baiser. Lui il ne sera qu'un substitue.
Je frémis en sentant sa bite se présenter face à ma vulve. Je cherche le
secoure dans tes yeux.
Il me pénètre. Je reste au fond de tes yeux. Je ne suis qu'avec toi.
Je prends tes seins dans mes mains les caresses, les triture. Je mets de la
salive sur mes doigts et descend jouer avec tes tétons dur comme de la pierre.
Son bas ventre heurte mes fesses. Il est en moi, tout en moi. Il a un chibre
bien long
Il commence un long va et vient entre mes chairs.
Que ne ferais-je pas pour ma belle amante créole...
Je dois
avouer qu'il me baise bien. Elle sait bien choisir ses amants ma belle créole.
Je ahane dans sa bouche. Elle me parle, de fit des choses qui m'excite encore
plus et qui me fait accepter cet homme entre mes chairs.
Je sens qu'il va venir. Il jouit sur mes fesses rependant sa crème dessus.
Je ne suis pas encore accoutumée au décalage horaire. Je sombre dans un doux
sommeil dans les bras de ma belle amante.
Je me réveille dans mon lit. Je suis nue. Je trouve qu'il bouge beaucoup mon
lit.
Je tourne la tête et découvre ma belle amante, à genoux, ce faisant honorer par
l'homme de la plage. Mmmm, j'aime déjà son insatiabilité. Même dans la
pénombre, je vois les gouttes de sueur sur ses seins.
Ses yeux s'ouvrent et elle voit que je la regarde. Son sourire me fait fondre.
Je le découvre de plus près. Il fait trop sombre pour que je voie la couleur de
ses yeux. Je suis certaine que j'en aurais tout le loisir plus tard.
Je m'approche de son visage. Je sors ma langue et la glisse sur sa bouche. Elle
la prend au passage entre ses lèvres et la suce. Elle gémit et la reprend. Mes
lèvres se posent sur les siennes.
Je redécouvre sa bouche, son odeur, je mouille.
Ma main glisse sur ma chatte et je glisse deux doigts en elle. Je me branle
comme une sauvage. Son amant veut me caresser. Je le repousse. C'est entre elle
et moi...
Oui ma belle
! J'attendais ton réveille ! Donne-moi le temps de faire jouir mon Zom comme tu
dis et je m'occupe de toi. Regarde-nous ! Regarde moi, regarde ma vulve comme
elle est belle avec cette verge envahissante, Regarde comme se suis inondée. Laisse-moi
le sortir entièrement pour que tu voies ce que tu as accepté de prendre toi. Tu
vois comme elle est belle cette verge ! Oh je la sens qui vibre il va
jouir ! Je ferme les yeux et j'accepte cet hommage !