Ce texte n'est pas de moi mais d'une amie. On espère qu'il vous plaira.
Bises Mélanie.
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Il faisait chaud, mais pas la canicule.
Il y avait toujours une légère brise marine sur l'ile de Noirmoutier, rendant la chaleur plus supportable.
- Dépêche-toi Mélanie ! me lança Laurie.
Laurie est une fille toujours en mouvement, mademoiselle je m’occupe de tout, sans arrêt à l'ouest.
Elle
m'avait invité à passer les deux premières semaines d'aout, en
compagnie de ses parents et de son frère, de cinq ans son ainé, dans
cette agréable petite maison blanche, si caractéristique de l'ile.
- Allez Mélanie ! Presse ! Si tu veux que l'on profite de la marée haute, avant le départ de mon frère.
Nous n'avions que peu de temps, car Laurie voulait être de retour avant le départ de son frère, pour lui dire au revoir.
Je me dépêchais d’enfiler mon maillot de bain une pièce et de passer une petite robe de plage.
Nous enfourchâmes nos vélos, la serviette sous le bras, et zou..... Direction la petite plage du Vieil.
Nous
adorions ce petit village les pieds dans l'eau, ses petites ruelles
parsemées de roses trémières, qui leurs donnaient en charme
incomparable.
Elle
n’était qu'à deux ou trois kilomètres de la maison de vacances, petite
distance à vélo, mais assez conséquente quand ma vieille monture de
prêt, toute rouillée, était un calvaire à faire avancer.
Laurie enleva son maillot de bain pendant que je la protégeais des regards avec son drap de bain.
Quand
ce fut venu mon tour, nue comme vers derrière ma serviette, je
m’aperçus que j'avais oublié de prendre une petite culotte, et bien sûr
mon maillot de bain, trempé, était souillé de sable.
- Tu vas devoir rentre cul nu, me dit Laurie en rigolant.
Après tout je n'avais que cette solution, en faisant attention de ne pas trop me dévoiler aux regards indiscrets.
Dés que je fus assise sur la selle je compris rapidement que les quatre kilomètres du retour seraient particuliers.
En effet, la selle de cette vieille bicyclette était très étroite, comme celle des vélos de courses.
En
avançant un peu dessus, elle écartait mes fesses en venant écraser mon
petit trou sensation pas si désagréable, mais assez impudique si
quelques promeneurs avaient pu voir.
Quelles énormes sensations.
Je n'entendais plus Laurie, qui n’arrêtais jamais de jacasser, lui répondant par des petits "oui" très brefs.
Voyant que je trainais, elle accéléra pour ne pas rater le départ de son frère, me laissant loin derrière.
Du
coup, j'adorais ce vélo, pensant à ces femmes qui pratiquent
l’équitation uniquement pour les sensations jubilatoires du trot enlevé.
J’étais dans un autre univers, celui du plaisir, à moitié nue, entrain d’être masturbée sans le vouloir.
Je
sentais mes mamelons gonflés, mes tétons dressés et durs comme du bois,
qui à chaque secousses essayaient de déchirer ma robe.
Une onde de plaisirs commençait a envahir mon ventre, qui, me faisait de plus en plus mal.
Je glissais sur cette selle d'avant en arrière, lubrifiée par ma mouille.
Oui ! Je voulais jouir !!!
Sans descendre du vélo, à peine m’être introduit deux doigts dans ma grotte secrète, des spasmes envahirent tout mon corps.
J'avais un orgasme sur ma bicyclette, calée derrière cet abri bus.
Je n'avais pas honte, plus rien n'existait autour de moi.
Je me sentais belle, féminine, érotique........