25 décembre 2019

10 juin 2019

25 mai 2019

MILF

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12 mai 2019

La Palmyre


Cette histoire a été écrite par une amie. Je l'ai un peu corrigé. 
Ce n'est pas habituel que je publie une histoire hétéro, mais j'apprécie beaucoup cette personne. Alors j'ai accepté de la publier.

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Le temps est radieux en cet après-midi de début de printemps. Il fait beau. Il fait chaud.
Ma mère adepte du naturisme me demande si je veux bien l'accompagner à la Palmyre, sur sa plage favorite.

Je sais bien que ce lieu est assez libertin, mais bon, sans hésitation je lui répondis oui.

Une petite demi-heure de route et nous voilà traversant la forêt qui donne accès à la plage. Les draps de plage sont vite installés et ma mère commence à se dévêtir.

Je suis toujours surprise de redécouvrir sa magnifique poitrine. Malgré ses 47 ans ses gros seins se tiennent très haut, lourds et arrogants.

Elle a juste pris un léger petit ventre rebondi mais cela n’abime en rien sa jolie silhouette. Elle retire son tanga. Son sexe complètement épilé laisse voir deux langues fines de chair dépasser de sa vulve.

Je connais trop bien son corps. Elle est assez nature et se promène régulièrement nue dans la maison, mais la voir nue, ici, sur la plage, devant tout le monde, la rend encore plus belle à mes yeux.

Je ne suis pas encore déshabillée alors qu'une envie pressante se manifeste. L’eau est encore trop froide en cette saison. Je me dirige donc vers les bois pour me soulager.

Accroupie en train d’uriner dans une clairière, j'entends des craquements de bois. Je devine immédiatement que quelqu’un s’approche.

Vêtue d’un chemisier clair et d’une jupe courte, je me reculotte en catastrophe sans que je n'eus terminé ce quoi j’étais en train de faire et cours me cacher derrière un gros arbre.

Ma culotte mouillée me gêne. Je préfère carrément la retirer et la pose à mes pieds. 

C’est un jeune homme à vélo. Il avance sur le chemin et finit par stopper au niveau d’un sous-bois. Il pose sa bicyclette le long d’un buisson et balaye du regard les alentours.

Il déplie une natte et s’allonge dessus, épuisé.

Le jeune homme se relève et observe les environs pour s’assurer que l’endroit est vraiment désert.

Ne voyant personne, il retire ses chaussures, son tee-shirt, son short et son slip. Il est maintenant complètement nu, pas un poil, ni sur sa poitrine, ni sur son ventre, ni sous ses bras, ni sur son sexe.

La chaleur bienfaisante chauffe le sexe du garçon et le fait gonfler. Il prend alors sa verge en main et la place vers le haut en la décalottant à fond. 

Toujours derrière mon arbre, j'observe ce qui se passe. Je ne bouge pas  au risque de me faire remarquer.  Pour compliquer un peu plus la situation, je viens de marcher sur ma culotte, qui est donc maintenant pleine de terre. Il n’est donc plus question de la remettre. Avec ma jupe courte, pas de culotte, un vent chaud qui souffle par moments et vient me chatouiller ma vulve encore humide et la vision de ce sexe en érection et bien décalotté m'excite.

Je sens le bout de mes seins durcir sous mon chemiser. Je ne peux m’empêcher de glisser ma main sous le tissu et pincer mes tétons en érections.

J'espère bien qu’il va se masturber. D’ailleurs, je ne cesse de répéter à voix basse « Vas-y, branles toi, branles toi… ».

Mais il n’en est rien, tout au plus se caresse-t-il la verge de temps en temps, mais rien de plus.

Il reste comme cela à bronzer, le sexe allongé vers le haut, indécent ! 

Ne tenant plus, j'écarte les jambes remontant un peu ma courte jupe et commence à me caresser la fente. Mes lèvres sont lisses mais j'ai gardé une partie de ma toison blonde sur mon mont de Vénus. Mes poils sont coupés court et forment un petit triangle qui descend jusqu’à la naissance de mes lèvres cachant mon petit bouton qui maintenant se retrouve complètement décapuchonné.

Rapidement mes caresses se font plus rapides, le désir monte et je m’introduis deux doigts dans la vulve tout en massant mon clitoris bourgeonnant.

De plus en plus excitée, je mate avec envie le jeune homme tout en me masturbant énergiquement.
  
Avant de jouir et pour ne pas me faire repérer je décide alors à sortir discrètement de ma cachette abandonnant ma culotte souillée derrière l'arbre. Un peu plus loin, je jouis la bouche collée sur mon avant-bras

De retour sur la plage, ma mère inquiète me demande ce qu’il s’est passé. Je lui explique que j'ais pissé sur ma culotte et l'ais abandonné dans la forêt.

Juste en monokini je me pose à côté de ma mère, ne risquant pas de lui faire de l'ombre avec ma petite poitrine aux gros tétons.

Tout à coup, en face de nous arrive un jeune homme. Je le reconnais de suite. C’est le jeune homme du bois.

Il est toujours nu, le sexe en demi érection tenant dans sa main ma culotte abandonnée.

Il jauge ma mère et son sexe commence à grossir et à s’allonger. Il me regarde alors

-         - Je crois que vous avez perdu ceci mademoiselle"

Je récupère ma culotte, rouge comme une pivoine.

Ma mère avec un sourire aux lèvres lui dit :

-          - Je ne sais pas comment vous remercier jeune homme"

A ma grande surprise, je la vois ouvrir ses cuisses pour offrir une jolie vision sur son intimité et sa vulve bien ourlée.

Il la jauge à nouveau puis regarde vers les bois d’où il est sorti.

Mais mère n’est pas née de la dernière pluie. Elle se lève, prend sa serviette qu’elle noue autour de la taille et précède le jeune homme vers les bois.

Je les regarde s’éloigner mais au bout de quelque minute, je ne tiens plus et part sur leur pas.

Je les retrouve près de l’endroit où il s’était allongé plus tôt.

Ma mère a posé sa serviette sur le sol et s’est allongée jambe écartée offrant à nouveau son intimité à la vue du jeune homme. Celui-ci se masturbe enfin.

Elle le regarde tout en glissant une main sur ses lèvres pour les écarter.

Ensuite elle se redresse, s’assied en tailleur et lui fait signe d’approcher. Elle lui parle mais d’où je suis, je n’entends rien.

Elle prend alors la hampe du jeune homme d’une main et ses bourses de l’autre.

En voyant cela, je me rappelais d’un soir, entendant mon père gémir, m’être dirigée vers la chambre de mes parents. Je fus alors surprise de voir ma mère dans la même position caresser le sexe de mon père, le branler et ensuite lui prodiguer une sublime fellation. J’étais déjà assez grande pour supporter cette vision et Dominique m’enseignait des choses encore plus salaces.

Son visage s’approche dangereusement du pénis en érection. Elle ne va quand même pas le sucer. Sa langue sort, glisse sur le méat pour descendre le long de la hampe. Elle ne le prend pas dans sa bouche. Non elle se contente de le masturber, de lui cajoler les bourses et de glisser sans langue sur le dard.

Un jet de sperme jaillit de son pénis pour aller s’écraser sur la poitrine de ma mère. Elle est ravie et sourit au jeune homme tout en lui dégorgeant encore le poireau.

Elle étale alors le sperme sur sa poitrine.

Le jeune homme, gentleman, lui donne un mouchoir pour s’essuyer.

Alors qu’elle se lève, je retourne rapidement sur la plage, le sexe tout humide.

Ma mère s’installe près de moi

-        -  Comment l’as-tu remercié lui dis-je perfide
-         - Je pense qu’il se souviendra de moi encore longtemps dit-elle en souriant

Au creux de sa poitrine, je vis une goutte de sperme qui avait échappé au nettoyage. J’eu une envie folle d’aller la récupérer sur le bout de ma langue.

Ma mère vit mon regard, découvrit la goutte et la retira.

Sa vulve semblait plus humide que tout à l’heure.


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