25 décembre 2017

21 décembre 2017

Sortir


Les soirées sont fraîches, voir glaciale. Mais comment résister. Bon un pull à même la peau complétera l'ensemble.

16 décembre 2017

Une fille de Mme Kerouragan


...Le galop céda au trot, puis au pas. Les montures hennirent et s’immobilisèrent à une
cinquantaine de mètres de l’endroit où je me trouvais. Les deux femmes mirent pied à
terre. L’une était blonde, l’autre rousse. Leurs longs cheveux étaient comme d’épaisses
crinières qui flottaient en tout sens autour d’elles et habillaient leur nudité insolite et
provocante. Très belles et parfaitement minces, elles arboraient des silhouettes
éminemment féminines, malgré leur allure de petits soldats. La rousse devait être
l’intendante. Quant à la blonde, ce ne pouvait être que la comtesse en personne. Mais je
repoussai cette supposition, estimant incongru qu’une dame de cette qualité montât nue à
cheval.
Intriguée, je les observai encore, prenant bien garde de retenir mon souffle. La blonde
flatta les naseaux de sa monture, proféra quelques paroles dont je ne compris pas le
sens, mais qui provoquèrent la mise à genoux immédiate de la rousse, puis sa
prosternation et son aplatissement à même le sol. Dans cette posture, elle offrit
ostensiblement son postérieur à la blonde qui, s’agenouillant à son tour, posa dessus ses
deux mains.
Je ne compris pas immédiatement le sens de ce curieux rituel, mais il devint clair qu’il
s’agissait d’un jeu érotique. Durant de longues minutes, la blonde regarda le fessier de sa
compagne qui faisait preuve d’une extraordinaire complaisance dans l’exhibition. Avec un
doigt, elle toucha la vulve offerte. Le fait que ce jeu se passât en plein air, et de surcroît,
entre femmes, me troubla et me charma au plus haut point.
A l’évidence, la blonde exerçait un tel ascendant sur la rousse qu’elle ne pouvait être que
la comtesse. Je la regardai agir, sûre d’elle-même, sans me lasser de contempler son
anatomie superbe. Elle avait l’air d’une bimbo, je veux dire d’une femme-femme,
terriblement excessive, terriblement explosive, avec plus de blondeur, de seins, de bouche
et de cul qu’une femme ordinaire…
A la fin, quand la comtesse-bimbo eut terminé l’inspection du cul de la rousse, elle se
remit debout et intima l’ordre à sa compagne de redresser son buste. Alors, elle se saisit
d’un de ses poignets, l’attacha à une corde fixée sur un arbre voisin. Elle en fit autant avec
les autres membres, immobilisant ainsi la jeune femme et l’écartelant entre deux arbres.
Puis elle s’empara d’un fouet accroché sur l’un des troncs mais, contre toute attente, ne
flagella point sa victime consentante, préférant jeter le fouet à terre et se caresser.
Malgré la distance, je constatai que ses seins étaient magnifiquement épanouis. Elle les
palpa doucement, d’un mouvement symétrique entre ses doigts, avant de parvenir à son
sexe. Sans attendre, elle se masturba face à la fille qui la regardait en silence,
complètement réduite à l’impuissance. A ce moment, il me revint à l’esprit le souvenir de la
vieille grange, avec Alice…
La comtesse-bimbo cessa et se rapprocha de sa compagne. Brusquement, collant sa
main dans l’entrejambe écartelé, elle le frotta avec énergie. La prisonnière, toujours aussi
muette, se trémoussa violemment, ce qui jeta un beau désordre dans sa poitrine. La
bimbo s’agenouilla pour lécher le sexe qui s’offrait à elle. Excité, tout le corps de la
prisonnière se raidit. Mais, le jeu cessa aussi vite, la bimbo décidant de se retirer. Elle
proféra quelques paroles dont je ne compris pas le sens, enfourcha sa monture, et
s’éloigna, tenant le cheval de sa compagne par sa bride...
Entre chiennes et louves