19 mars 2017

Etre une femme


Un vendredi soir sur la terre



Quand je suis rentrée vendredi soir, Marie était déjà arrivée. J'avais été faire quelques course.

Elle sirotait un scotch dans le fauteuil. Elle portait un déshabillé noir transparent. On pouvait voir les auréoles de ses seins au travers.

Alors que je la regardais, yeux dans les yeux, elle ouvrit le déshabillé, m'offrant sa nudité. Je me suis dit : putain qu'est ce qu'elle est classe.

 Elle portait un porte-jarretelle avec des bas noirs et de beaux escarpins.

Il ne manquait qu'un fume cigarette et cela aurait été encore plus classe.

 Je remarquais qu'elle avait passé un gode ceinture vu le phallus qui se dressait entre ses cuisses.

Je laissais mes courses, retirai mon manteau et tout en me dirigeant vers elle, toujours les yeux dans les siens, je retirais ma culotte.


Pas la peine de dire que cette vue magnifique me faisait mouiller comme une folle.

Arrivée près d'elle, je pris son verre de scotch de sa main, bu une gorgé et le déposait sur la table basse.

Je levais ma jupe sur mes hanches.

Heureusement je portais des bas auto-fixant.

Je passais mes genoux de chaque côté de ses cuisses et m’empalais sur le phallus en latex.

Ma bouche se posa sur la sienne et tandis que je l’embrassais je bougeais mon bassin pour que le phallus rentre bien en moi. Puis je commençais une lente et douce cavalcade.

Mon chemiser fut défait à la va vite et mon soutien-gorge disparut. Sa bouche dévorait mes seins, pinçant les tétons, les mordillant, m'arrachant des cris de douleurs.

Le pénis coulissait merveilleusement en moi. J'étais lubrifiée à souhait. J'eus mon orgasme assez rapidement en fin de compte mais il fut très intense.

Je l'avais prise dans mes bras sa tête entre mes seins. Ses mains me caressaient le dos. Je finis par me lever, les jambes flageolantes et m'agenouillais pour lécher le gode luisant de ma mouille, puis je posais ma tête sur l'une de ses cuisses en signe de soumission.

Elle me caressa les cheveux.

Elle réclama son verre, que je lui donnais. 

-        -   Les courses ne vont pas se ranger toute seules.

Je me levais pour aller les ranger. J’esquissais un geste pour faire descendre ma jupe et je fus arrêtée par un non catégorique.

J'ai passé ma soirée, la jupe sur les hanches, servant ma belle Marie.

Pendant le repas, je me suis assise sur ses genoux et je lui ai donné à manger, lui donnais à boire et lui essuyais la bouche.


Elle avait glissé deux doigts en moi et me masturbait.

Si je tremblais, j'avais droit un une petite claque sur la joue. J'en reçu quelques une.

Je l'ai ensuite déshabillé pour la coucher.

Je suis restée à genoux près d'elle, pendant qu'elle lisait. Je tournais les pages à sa demande, toujours cul nue. 

-        -  Tu peux te masturber me dit-elle. 

J'en avais trop envie.

Je me suis masturbée devant elle. L'orgasme fut encore plus puissant que le premier. 

Elle m'autorisa à me changer pour la rejoindre dans le lit. Je me suis blottie contre elle. Elle me caressait les cheveux, comme elle le ferait d'un chat.