21 juillet 2015

19 juillet 2015

Un samedi soir sur la terre



Ce fut une semaine bien calme après le départ de Anne la cousine de Marie. Comment Marie a-t-elle pu me cacher une cousine aussi sexy et aussi câline ?

Elle m’envoie des emails enflammés depuis son départ. Elle est mariée et aime énormément son mari, mais elle s’accorde de petites aventures extraconjugales et surtout avec des femmes.

Bref, son départ a laissé un petit vide. On en a profité pour se ressourcer un peu Marie et moi.

Ce week-end elle est partie dans sa famille. J’ai passé mon samedi à lire les récits de mon amie Ophélie. J’ai passé mon samedi à me caresser sans aller jusqu’à la jouissance.

Vers 23 heures, j’ai décidé de sortir me promener autour du petit lac que j’affectionne depuis longtemps. J’ai pris mon sac, fourré quelques objets pour ma petite promenade, passé une paire de cuissarde, un chemiser et une petite jupe légère. C’est tout.

J’ai garé ma voiture sur le chemin qui mène au lac. J’ai fait le chemin à pied. Je le connais par cœur maintenant et je ne trébuche plus comme les première fois.


Arrivée près du lac, j’ai posé mon sac, retiré mes quelque vêtements et mes cuissardes. J’étais nue, offerte à la nuit, au courant d’air. J’étais bien, en paix.

Je me suis approchée de l’eau et y suis entrée doucement. Elle était fraîche. Ma main est descendue sur ma chatoune glabre. J’étais encore humide de mes lectures et de la situation dans laquelle je me trouvais. Je me caressais alors, doucement, mes doigts glissant entre mes lèvres bien humides. J’avançais ensuite dans l’eau pour m’y baigner. Je nageais alors quelque minute.

Plic-plic-plic faisaient les gouttes de pluie alors que j’étais dans l’eau. Mes tétons bandaient sous la fraîcheur d l’eau. Je ressortie, les pieds dans la vase. La pluie avait cessé.

Je me suis assise dans la pelouse près de mes affaires et je me suis allongée en écartant bien les jambes. Ma main retrouva sa place entre mes cuisses. Il ne fallut pas bien longtemps pour que la sève perle à nouveau sur mes lèvres.

J’aime me gouter, gouter mon jus, ma cyprine. Je me masturbais, écoutant les bruits de la nuit autour de moi. J’avais deux doigts dans ma grotte. Je me pinçais les seins de mon autre main. J’étais bien, heureuse de vivre, de jouir.


Je plongeais dans mon sac à la recherche de l’œuf vibrant que j’avais pris. Après l’avoir bien préparé avec ma salive, je le glissais en moi et mis en route l’objet. Il fit son travail de sape dans ma vulve. Je jouis en silence pur ne pas effrayer les animaux autour de moi. Je fermais les yeux pour reprendre mes esprits.

Je pris alors le jolie cadeau que nous avait fait Anne : un rosebuds avec du crin de cheval. Je Le préparais comme l’œuf plus tôt et le glissais dans mes fesses. Je marchais alors pour que mon cul se fasse à sa présence. Cela faisait bizarre de sentir le crin de cheval sur mes cuisses.

Je mis mes cuissardes et partis faire le tour de lac. Un peu fofolle, j’enlaçais les arbres, me frottant sur eux comme pour y laisser mon odeur. Il en avait un avec une protubérance juste où il fallait. Je me frottais plus longuement dessus, mon plaisir revenant de façon plus impérieuse. Je me détachais de l’arbre avant de jouir prenant note de sa situation pour la prochaine fois.

Le rosebuds me remplissait bien l’anus. Je devais quand même contracter mes muscles pour qu’il ne s’échappe pas de son réceptacle. Je me promenais ainsi, profitant de la nuit imaginant le monde qu’il y aurait demain avec moi nue parmi eux.

Je me grattais le bouton de temps en temps. Ma chatte coulait encore et encore. J’ai passé la journée avec une chatte coulante. Elle n’a pas le rhume pourtant.

Au bout d’une demi-heure, j’étais de retour près de mes affaires. L’oeuf était posé dessus.

Je me suis agenouillée et j’ai tendu mes fesses vers le ciel, les étoiles. J’ai glissais ma main sur mes lèvres et je me suis masturbée, je me suis branlée en imaginant la bouche de Marie, de Anne sur ma chatte. J’avais envie d’une bouche, là maintenant. J’avais envie de main sur mon corps, des mains caressantes, brutales aussi. J’avais envie d’une bonne fessée. J’avais beau me taper sur les fesses, cela n’était pas pareil. Mes doigts allaient et venaient dans ma vulve chaude, dégoulinante. Je sentais ma cyprine couler entre mes cuisses.

Je m’arrêtais un instant pour reprendre.

Mes seins frottaient sur la pelouse, mes tétons bandaient. Une bouche, je veux une bouche qui me tète, qui m’inondes les lolos de salive. Je pensais à Ophélie, Marianne qui avait animé mes lectures de la journée. J’accélérais le rythme pour à nouveau jouir mais pas en silence cette fois.

Je m’écroulais, la respiration rapide, le cœur à 100 à l’heure. Oh que j’étais bien.

J’ai dû m’assoupir un instant. Je me suis levée, les jambes un peu cotonneuses. J’ai repris mes affaires et suis retournée à la voiture. Je me suis alors rhabillée pour rentrer.

Le rosebuds était toujours en moi. La queue dépassait légèrement le bas de ma jupe. Et si…

Je marchais dans le centre de la ville, croisant quelques personnes, la queue du rosebuds dépassant de ma jupe. Les gens ont-ils fait attention. Je ne sais pas, mais j’y ai pris beaucoup de plaisir.

Une fois la porte de l’appartement fermé, j’entendis gratter. Il y avait Anne derrière. Elle portait ce somptueux déshabillé que Marie et moi lui avions offert. Elle entra dans l’appartement. Je remarquais une excroissance sur son bas ventre. Alors qu’elle se collait à moi pour un baiser fulgurant, je glissais ma main et constatait qu’elle avait un godemiché.

Que faisait Anne ici à plus de mille lieux de Paris. Je ne me posais pas la question trop longtemps découvrant à nouveau son corps sous mes doigts.

Elle me plaqua contre le mur de l’entrée, souleva ma jambe et glissa le gode dans mes chairs toujours liquéfiées. Comme un homme, elle me prit ainsi.


Mon chemisier valsa et sa bouche gourmande dévora ma poitrine. Enfin une bouche sur moi. Je gémissais. Je virais son déshabillée pour mieux la dévorer à mon tour.

Je finis par la repousser pour me rendre au salon. Je me suis agenouillée sur le canapé, pointant mes fesses dans sa direction. J’ai soulevé ma jupe pour lui offrir mes fesses et lui montrer comme je portais bien son cadeau.

Elle s’approcha et m’embrocha à nouveau comme une chienne.

Je perdis la notion du temps. Je pense que je l’ai perdu dès mon retour chez nous.

Je me suis réveillée ce matin, nue, un coussin entre les cuisses, le rosebuds gisant à côté de moi. Il y avait aussi un godemiché, encore remplit de mes humeurs. J’avais rêvé. J’avais rêvé d’Anne.

Je me suis levée pour aller prendre une bonne douche. Mais, mais qui a bien pu me faire un suçon sur ma poitrine…

04 juillet 2015