26 août 2014

Une rencontre furtive

Je venais d’attaquer mon plat du jour, lorsque je remarquais cette jolie blonde à quelque table de moi. Il faisait beau et je déjeunais en terrasse. 

Cette jeune femme était magnifique. Je ne pouvais m’empêcher de la regarder. Mon minou fut le premier à réagir. Une douce liqueur commença à couler.

Je constatais qu’elle portait des bas auto-fixant couleur chair. Comment peut-on porter des bas en cette saison ?

Je remontais mon regard vers son visage et zut… elle m’avait repéré.

Je détournais rapidement mon attention mais cela n’était jamais assez rapide. J’étais prise la main dans le sac.

Le dessert arriva et je n’avais toujours pas regardé dans sa direction mais l’envi me tiraillait les chairs.

Juste un coup d’œil, rapide. Elle me regardait tout sourire. Une gamine j’étais, une gamine. Je regardais alors mon gâteau sans trop le voir.

C’était trop fort, je regardais à nouveau.

Elle m’observait toujours souriante. Je la vis baisser les yeux comme pour m’inviter à regarder 
plus bas. Elle avait écarté sa jambe. La jupe qu’elle portait était suffisamment courte et étroite pour ne rien cacher dessous. Je vis ses lèvres, intime. La belle ne portait rien dessous. Elle referma sa jambe.

Son sourire était joviale, heureuse de sa surprise. Je le lui rendis. Je ne portais rien moi non plus, mais une femme si classe.

Je terminais mon dessert, la vision de son minou encore dans la tête. 

Je finissais mon café lorsque la belle se leva. Elle se dirigea vers moi, lunette de soleil sur le nez, sourire toujours éclatant. Mon cœur commençait à s’emballer. Je sentis un doigt glisser sur mon avant-bras. Dziiii.

Je me retournais et le regardais des pieds à la tête. Elle avait un jolie… postérieur.

Je payais sans attendre le retour de la monnaie et lui emboîtais le pas. C’était plus fort que moi.

Je ressentis un immense désespoir. Je l’avais perdu. Merde où était-elle passée ? Je n’ai pourtant pas perdu de temps.

J’avançais dans le square où elle s’était engouffrée. Passant près d’une cabane de jardinier, je sentis une main se poser sur mon épaule et me tirer en arrière. Je me retrouvais dans une petite cachette à l’abri des regards. Je me retrouvais face à elle. 

Son sourire si près me fit fondre encore plus. J’allais dire quelque chose mais elle se précipita sur mes lèvres. Une langue vorace s’engouffra dans ma bouche.

Ses mains glissèrent sous ma jupe et s’agrippèrent à mes fesses.

-          Tu es nue toi aussi salope dit-elle entre deux baisers

Ses mains me plaquèrent contre son bassin qu’elle commença à onduler. Ma belle était en plein délire sexuel et s’était communicatif.

Mes mains se posèrent sur sa poitrine, bien pleine. Elle rugit et retourna sur ma bouche. Elle était sensible de là. Bon à savoir. Je me mis à les malaxer à travers son chemiser et son soutien-gorge.

Je glissais une jambe entre les siennes. Elle se baissa. Je sentis sa chatte toute tremper se poser sur ma peau. Un nouveau dziiii. Elle ondula du bassin, se frottant sur ma cuisse.

Ses lèves avaient quitté les mienne. Elle me dévorait le visage maintenant. Elle haletait. Je réussis à dégrafer son chemisier, et extraire un sein de son soutien-gorge. Je le gobais aussitôt. Je le léchais, le mâchouillais, le tétais avec violence.

Mon autre main glissa dans son dos, appuyant sur le creux de ses reins pour être plus en fusion avec moi. Je remontais sa jupe étroite, et glissais mes doigts dans le sillon de ses fesses. Je découvris un objet qui occupait le cul de madame. Elle était plugée d’un rosebud.

Mon doigt glissa autour de l’objet. Elle avait sa tête en arrière. Ses yeux étaient fermés. Sa bouche cherchait de l’air. Elle allait jouir bientôt.

Je pris le rosbud et le fit tourner dans son cul.

Je sentais qu’elle allait éclater dans mes bras. Je pris rapidement sa tête et collais ma main sur sa bouche pour qu’elle ne rameute pas le quartier.

Son corps fut parcouru de soubresauts. Ma main étouffa en partie ses cris de jouissance. Ma cuisse était pleine de sa mouille, mon entre cuisse pleine de la mienne. Je jouis moi aussi. C’était aussi divin qu’elle.

On resta là, enlacée un moment à reprendre nos esprits.

-          Pardon me dit-elle
-          Pardon ! Pourquoi ?
-          J’ai été égoïste.

Je pris son visage entre mes mains et l’embrassais plus sensuellement cette fois.

-          Non, j’ai aussi pris mon plaisir.
-          Oui mais quand même.

Je l’embrassais à nouveau pour lui chasser ces idées de la tête.

Je pris sa main et la glissais sous ma jupe. Elle me caressa la chatte doucement puis me pénétra doucement. 

-          Fait moi jouir alors

Elle me masturba en douceur, rien à voir avec notre étreinte précédente. Je jouis rapidement. Ce fut-elle qui me dévora la bouche.

Je regardais l’heure. Une heure que l’on était là.

-          Mercredi, je suis en retard dit-elle

Je l’aidais à se rhabiller. Elle reprit l’apparence d’une business woman, nue sous sa jupe et pluggé.
On devait se quitter.

-          C’est quoi ton prénom au fait ?
-          Nat et toi
-          Romane
-          A bientôt au bistrot

    Je lui fis un clin d’œil. Je la regardais s'éloigner. Elle se retourna une dernière fois et m'envoya un baiser.

    Elle avait vraiment un beau ... postérieur.

9 commentaires:

Ophélie Conan a dit…

J'aime beaucoup le dziiii... Ça me fait ça à moi aussi!

Romane BONY a dit…

Ha ce dziii. C'est si agréable

Romane BONY a dit…

Il parcourt notre échine

Anonyme a dit…

J'adore! Voilà un instant que je rêverais de vivre. ;-)

Vic.

Annelie a dit…

C'est quoi l'adresse du café? ;)

Romane BONY a dit…

Tenté Annelie ?
Ce bistrot est cher à mon cœur. Malheureusement, mon amante n'est plus revenue et mon cœur souffre.
Mais bon, je suis ouverte à d'autre rendez-vous ;)

Romane BONY a dit…

Comme les esprits se rencontrent. Je pensais justement à toi à mon réveil ce matin. Pas de nouvelles de Annelie depuis longtemps.
Je penserais plus souvent à toi comme ça j'aurais plus de nouvelles
Bisous

Annelie a dit…

;) le hasard fait bien les choses parfois :)

Anonyme a dit…

Des regards aimantés qui trahissent le désir.
Jolie histoire.
Mais pourquoi, ça ne tombe jamais sur moi de telles rencontres ?
Elle était peut-être bi.....