31 août 2013

Perle des Caraïbes

Histoires écrite à quatre mains avec ma petite fleur des îles. Son texte est en italique.

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Tu es allongée sur la plage, offrant ton corps aux rayons du soleil.
Je me suis installée devant toi, de sorte que j'ai une merveilleuse vue sur ton entre cuisse.

Tu as remarqué ma présence et tu joues avec moi, ouvrant, fermant tes cuisses, attisant ainsi mon désir.
Je regarde à droite, je regarde à gauche. On est presque seule sur cette plage. Sous les cocotiers, on entend l’extinction des barbecues et le départ des voitures.
Le soleil est un peu moins mordant.
Je crois que l'on est vraiment seule maintenant.

Tu te lèves, me regardes derrière tes lunette de soleil et te lèves. 

Lentement, calculant bien tes mouvements, tu dégrafes le haut de ton maillot.
Tu m'offres la vu de ta superbe poitrine....

Tu te diriges alors vers l'eau. Avant d'y entrer, tu me regardes à nouveau, sans te retourner, et tires sur la ficelle du bas de ton maillot. Ta croupe, tes fesses de vénus apparaissent. Tu lances vers moi le bout de tissus et tu entres dans l'eau.
Je mouille dans mon maillot.
Je te laisse seule dans l'eau préférant te regarder..
Tu sors enfin de l'onde. Je peux admirer ton mont de vénus, sur lequel de mignon petit poilichon se battent en duel. L'eau de mer s'y accroche.
J'ai la gorge sèche
Tu retournes sur ta serviette sans venir quérir le bas de ton maillot.
Tu t’allonges et m'offres une merveilleuse vue sur tes lèvres.
Tu recommence ton manège titillant mes sens


J'ai la gorge sèche.
Je vois les perles d'eau de mer sur ta toison. De fines gouttelettes glissent sur tes seins.
Je n'en puis plus.
Je me lève et m'approche. Sans aucune gêne je repose ma serviette à tes pieds.
Je vois ton sourire. Tu ouvres tes cuisses et glissant une main sur ton sexe, tu écartes tes lèvres à mes yeux.
C'est rose, et blanc de ton excitation. Tu mouilles tellement tu es fière de ton manège.
Tu prends un peu de ta mouille et en dépose sur tes tétons qui bandent à mourir.

J'ai soif...
Tu reposes ta main sur ta chatte. Un doigt glisse entre tes lèvres charnues. Tu te caresses sans complexe. Tu m'offre ton désir, ton plaisir. En suis-je la cause?
Tu penses à quoi derrière tes lunettes de soleil : à l'homme qui t'a rendu heureuse cette nuit dans la chambre d’hôtel, à cette métropolitaine qui dormait à côté et qui a été réveillée par tes douces mélopées de plaisir.
Un doigt glisse dans tes chairs liquéfiées. Il ressort plein de liqueur.
Tu le tends vers moi... Une invitation?

C'en est trop. Je me faufile entre tes cuisses et gobe le doigt offert. Mmmmh douce saveur de ton corps.
Alors que je suce ce doigt si gentiment offert, un autre ressort. Je le suce tout aussi avidement.
Je te goûte sur tes doigts...
Je mouille


Oui ! viens me sucer, me boire, me faire jouir ! Fais moi oublier les ZOMS !

Tu continues à m'offrir ta mouille sur tes doigts que tu plonges tour à tour dans ta grotte.
Je saisis alors tes cuisses et les caresses en douceur. Ma bouche glisse sur la peau interne de tes cuisses, déposant de petits baisers et de ma salive. Mes mains glissent sur tes hanches. Tu te masturbes, deux doigts dans ta chatte.
Ma bouche se pose alors sur ta main. 


Je mouille.
Je la lèche... Tu la retire me laissant sucer tes doigts au passage.
Ta langue glisse sur tes lèvres. Tu es excitée et l'odeur de ton intimité me chavire.
Je te renifle, te respire, m’imprègne de toi.
Tu gémis doucement. Tu te tritures les tétons.
Je sors ma langue et la glisse le bout sur tes lèvres gorgées de liqueur....
Mes mains s'agrippent à tes hanches prêtes à contrôler les mouvements de ton bassin.
Je glisse ma langue sur ta fleur, la découvrant, la goutant, J'y dépose de temps en temps un petit baiser...

Continues ma douce, offre-moi ta mouille, plonge-toi en moi, saisis mes cuisses, caresses les, glisse sur ma peau, dépose des petits baisers, bois ma salive, glisse tes mains sur mes hanches, masturbes toi, met moi tes doigts dans ma chatte, un, puis deux, puis trois, oui ta main j’aime le fisting, mouille pour moi, lèche moi, suce mes doigts,
Je suis excitée et je sens ton odeur de femme, je hume ton intimité et je chavire.
Renifle moi, respire moi, imprègnes-toi de moi. Gémis, tritures tes tétons, sors ta langue et glisse là dans mon con gorgé de liqueur....

Agrippe mes hanches, contrôle mes mouvements, touche ma fleur, découvre là, goûte là, continue toujours !

Tu dis des mots, tu me demandes des choses, mais je reste concentrée.
Doucement, ne pas succomber trop vite à l'envie qui me brûle le creux du ventre. Je pourrais me masturber mais je dois m'occuper de toi.
Je glisse ma langue sur les lèvres, écartant les plis, recueillant une douce liqueur. C'est aussi bon que sur ces doigts.
Tu me hurles de te branler, de te doigter.
Pas encore.
Pas encore.
Ma chatte est pleine de mouille. Ce sera pour plus tard...
Je continue, malgré tes suppliques, de te caresser du bout de ma langue.


Viens m’aimer, viens me faire l’amour, viens m’apprendre les gestes venus de nulle part, viens tout près de moi, viens me toucher…
Je sais que tu as envie que je t’aime aussi, mais sois patiente… je m’occuperai de toi tout à l’heure.
Non ! ne te masturbe pas encore… Je vois que tu mouilles, que ta chatte est pleine de jus… égoïste je le suis et je veux j’exige mon plaisir.
Viens ! Occupe-toi de moi, glisse ta langue sur mes lèvres, écarte bien les plis, recueille ma douce liqueur. Oh que c'est bon… je n’en peux plus !
Branles moi, mets tes doigts dans tous mes trous.
Ma bouche passe sur l'intérieur de ses cuisses. Son bassin commence à onduler et une douce mélopée s'échappe de ses lèvres.
Ma caresse fait son effet. Je pose une main sur l'un de ses seins. Je le caresse, prends son tétons entre mes doigts, le malaxe, tire dessus, le pince. Un long feulement s'échappe de sa gorge.
J'en profite pour poser plus franchement ma langue sur ses lèvres que j'écarte de mes doigts.
Son pubis me chatouille le bout du nez. Je la bois, la lèche.
J'ouvre la bouche et la pose sur sa vulve. J'aspire, je lèche, je suce.
Son bassin ondule de plus en plus. 


J'abandonne son sein pour me cramponner à elle. 


Ces cuisses, d'abord douces, me compriment la tête.
Ma langue trouve l'entrée de sa grotte. Elle s'y glisse tel un serpent à la recherche de la chaleur.
Je recule pour la regarder. Elle me supplie de continuer. Sa chatte est couverte de liqueur et de salive.
J'ai faim de sexe.
Je retire mon haut de maillot.
Je retourne à mon repas.

Mais pourquoi j’aime autant ses caresses : sa bouche passe sur l'intérieur de mes cuisses. J’ai envie de chanter, j’ai envie de bouger, je veux danser…
Tout mon corps est en émoi… Mes seins j’oubliais combien ils aimaient les caresses… Oh oui ta main est douce ! Oui ! Caresse moi les seins, pince mes tétons, malaxe les.
Tu fais bien l’amour ! Continue ! N’arrête jamais… j’aime tellement  ta langue sur mes lèvres… j’aime tes doigts. Tout-à-l ’heure, tu voudras bien honorer mon anus… Soudain je pense à mes poils trop longs et m’inquiète qu’ils ne soient un repoussoir… Mais j’ai tellement envie… je sens son nez sur mon pubis garni… je coule comme jamais… oui bois moi, lèche mon con, ouvre ta bouche pour prendre toute ma vulve, aspire moi, lèche moi partout, suce moi.
Tiens moi très fort… j’ai peur d’être toute seule à jouir… j’ai peur de la violence de mon corps quand je m’envole. J’ai peur de la puissance de mes cuisses qui vont se refermer au moment de mon orgasme… Je veux te protéger de moi, pour que tu restes éternellement mon amante… Tu me baise comme je n’ai jamais été baisée. Personne ne m’a jamais emmenée où tu m’emmène… Continue encore, laisse-moi me cramponner à toi ! D’où te viens cette science de l’amour, cette technique, cette énergie ?
Je vais jouir ma belle, je vais te quitter et jouir dans mon ciel à moi. Je vais partir comme je ne suis jamais partie… Tu sens au fond de moi ces spasmes, ces soubresauts, cette violence qui sourde. Je suis folle quand je jouis, je ne sais plus où je suis, je fais n’importe quoi… Tiens-moi pendant que je décolle….
AH !  . 

Et pendant qu’elle avait la tête entre mes jambes, je cru voir au loin Raoul qui m’avait toute la nuit dernière si bien baisée.
Il semblait désemparé de voir comment je me laissais sucer par cette si joli femme venue d’ailleurs.
Je lui fis signe d’approcher et prenant la tête de mon amante entre mes deux mains j’emmenai son visage en face du mien… Et les yeux dans les yeux je lui ai parlé. Je parlais aussi pour mon amant qui s’approchait doucement de nous.
Tu as découvert de nouvelles lèvres à lécher, de nouveaux goûts sous ta langue, goût de sueur, goût de sel, goût réelle de femme créole, le goût de fleur des îles.
Tu m’as bu à t’en saouler.
Laisse-moi t’offrir un autre plaisir ! Non ! Laisse-moi faire ! Laisse toi faire ! Je t’offre mon amant… tu sens ses mains sur tes fesses ! Accepte-les ! Ne bouge pas ! Il va t’écarter tout doucement ! Il va te sucer comme toi tu m’as sucé.
Je sens ton bassin qui bouge, qui accélère ! J’entends tes gémissements. Je sens que tu apprécies cette langue qui te fouille.
Ho ma belle inconnue, je sens que tu aimes te faire lécher, sucer.
Oui ! Frotte ton pubis sur le mien ! Excite-toi encore plus.
Maintenant il va te prendre tendrement, doucement, profondément… Tu sens ce gland velouté qui cherche ta vulve… Il est gros mais tu sauras le prendre en toi… Tu verras le plaisir qu’il donne… tu sens cette douce caresse et maintenant accepte cet hommage, cette verge longue et vibrante… trop longue pour toi… je ne crois pas. Embrasse-moi pendant qu’il s’installe en toi… Tu sens ses couilles qui te touchent… Bravo ma belle tu as tout pris… déguste le ! Bouge ! Serre-le très fort : il aime cela et te rendra au centuple tes caresses. Voilà ma belle ! Comme tu es douce…

Je bois tes parole, je ne comprends pas ce que tu me dis, mais je suis si bien là dans tes bras.
Nos lèvres se touchent enfin. Ta langue est délicieuse. Tu te goûtes dans ma bouche.
Je sens la présence d'un intrus.
Dans mon dos, je découvre mon voisin de chambre. Il n'a pas du rater grand chose de notre étreinte vu la bosse qui déforme son short.
Que dit-elle? Non je ne veux pas me faire baiser par lui...

Elle me parle, m'apaise. Je frémis en sentant ses mains sur mes fesses. Cela fait si longtemps qu'un zom ne m'a touché. Je sens mon maillot quitter mes hanches.
Une bouche, une langue se pose sur ma fleur. J'avais oublié cette sensation désagréable de la barbe sur mes chairs fragiles.
Je ferme les yeux. J'imagine ma belle créole derrière moi. Je fais abstraction du zom. C'est sa bouche, sa langue qui me fouille.
Oui je gémis, mais c'est toi qui me fais gémir ma belle fleur des iles.
Ton parfum corporel m’enivre. Tu veux qu'il me baise. Soit, je le fais pour toi mais dans ma tête, c'est toi qui va me baiser. Lui il ne sera qu'un substitue.
Je frémis en sentant sa bite se présenter face à ma vulve. Je cherche le secoure dans tes yeux.
Il me pénètre. Je reste au fond de tes yeux. Je ne suis qu'avec toi. 
Je prends tes seins dans mes mains les caresses, les triture. Je mets de la salive sur mes doigts et descend jouer avec tes tétons dur comme de la pierre.
Son bas ventre heurte mes fesses. Il est en moi, tout en moi. Il a un chibre bien long 
Il commence un long va et vient entre mes chairs.

Que ne ferais-je pas pour ma belle amante créole...

Je dois avouer qu'il me baise bien. Elle sait bien choisir ses amants ma belle créole.
Je ahane dans sa bouche. Elle me parle, de fit des choses qui m'excite encore plus et qui me fait accepter cet homme entre mes chairs.
Je sens qu'il va venir. Il jouit sur mes fesses rependant sa crème dessus.
Je ne suis pas encore accoutumée au décalage horaire. Je sombre dans un doux sommeil dans les bras de ma belle amante.

Je me réveille dans mon lit. Je suis nue. Je trouve qu'il bouge beaucoup mon lit.
Je tourne la tête et découvre ma belle amante, à genoux, ce faisant honorer par l'homme de la plage. Mmmm, j'aime déjà son insatiabilité. Même dans la pénombre, je vois les gouttes de sueur sur ses seins.

Ses yeux s'ouvrent et elle voit que je la regarde. Son sourire me fait fondre. Je le découvre de plus près. Il fait trop sombre pour que je voie la couleur de ses yeux. Je suis certaine que j'en aurais tout le loisir plus tard.

Je m'approche de son visage. Je sors ma langue et la glisse sur sa bouche. Elle la prend au passage entre ses lèvres et la suce. Elle gémit et la reprend. Mes lèvres se posent sur les siennes.

Je redécouvre sa bouche, son odeur, je mouille.

Ma main glisse sur ma chatte et je glisse deux doigts en elle. Je me branle comme une sauvage. Son amant veut me caresser. Je le repousse. C'est entre elle et moi...


Oui ma belle ! J'attendais ton réveille ! Donne-moi le temps de faire jouir mon Zom comme tu dis et je m'occupe de toi. Regarde-nous ! Regarde moi, regarde ma vulve comme elle est belle avec cette verge envahissante, Regarde comme se suis inondée. Laisse-moi le sortir entièrement pour que tu voies ce que tu as accepté de prendre toi. Tu vois comme elle est belle cette verge ! Oh je la sens qui vibre il va jouir ! Je ferme les yeux et j'accepte  cet hommage !

06 août 2013

Exhibition nocturne

Ho ma douce Ophélie, quelle merveilleuse aventure.
Je viens encore de me caresser dans mon lit avant de venir te raconter mon aventure.
Je me suis rendue près des étangs vers minuit.
J'avais le cœur qui battait la chamade et j'étais déjà bien humide en arrivant.
J'ai passé un chemisier, un petit string blanc et une mini-jupe. J'avais mis un sweat par dessus, peur de prendre froid.

Arrivée à destination, j'arrêtais la voiture et coupais les phares. J'attendis un moment que mes yeux s’habitue à la pénombre. Je sentais la pointe de mes seins qui bandait sous le chemisier. Je cru que mon cœur allait sortir de ma poitrine. Je ne risquais rien, mais j'étais paralysée. Je fermais les yeux, cherchant à reprendre le contrôle.

Soudain la porte de la voiture s'ouvrit. Je vis une main tendu vers moi. Je la pris et sortis de la voiture. Au bout de cette main ce tenait une magnifique blonde, nue, souriante.
- Courage me dit-elle.
Elle avait une magnifique poitrine. Je reconnaissais ma belle blonde.


Elle me poussa contre mon véhicule et se colla à moi. Mes mains étaient sur ses boites à plaisir.
- Ophé..
Je n’eus pas le temps de finir ton prénom que ta bouche était sur la mienne. Doux baiser, mélange de langues. Tu frottait ton bas ventre sur le mien.
Ta bouche me quitta et toujours me tenant par la main, on avança sur le chemin menant vers les étangs. Tu me parlais, m'encourageais, me calmais.
Je retirais mon sweat et le posais sur un banc. Tu me félicitais. D'une main moins assurée, je dégrafais mon chemisier. J'hésitais à l'ouvrir. Tu m'incitais à continuer. Je ne voulais pas te décevoir. Ta bouche sur ma joue m'encouragea.Le chemisier rejoignit mon sweat. 

J'étais seins nue. Tu m'applaudis. Je fais du topless à la plage et c'est bizarre que dans un lieu différent on a plus de réticence. Je bombais mon torse fière.
La lune, mon amie, n'était pas là pour me caresser.
On reprit le chemin le long de l'étang.
- Ta jupe maintenant.
Là c'était encore plus dure. J'avais beau me dire que je ne risquais rien, je restais encore hésitante.Tu lâcha ma main et les glissa sur ma hanche. Tu me caressais le haut de mes fesses.
- Allez ma chérie, la nuit attend plus de toi. J'attends plus de toi.
Je posais mes doigts sur la fermeture éclair.
- Oui, voilà.
Ma main descendit. La jupe tenait encore sur mes hanches. Je marchais encore à tes côté, ta main me caressant encore.
Soudain, comme on le fait avec un enfant qui fait son premier tour de roue sans les stabilisateurs, tu me poussas devant toi.
- Montres moi...
Je pris ma jupe et la fit descendre.
- Ouiiii, bravo.
Je me baissais pour la ramasser, cambrant mes fesses vers toi, te les offrant. Je me tournais alors vers toi, triomphante.
Il n'y avait personne.
J'étais en string ficelle blanc, la jupe au bout de ma main, seule... enfin presque seule. Tu m'as guidé sans me brusquer. Merci ma Ophélie coquine.
J'ai posé ma jupe et je me suis promenée. Le temps était très agréable. Je goutais l'instant présent. J'étais bien. Je mouillais. J'étais bien. 

Mon string? Ben je le gardais me sentant encore plus désirable ainsi.
Je finis par m'adosser à un arbre et je le suis caressée à travers mon string. J'ai jouis en silence. Je ne voulais pas déranger ce silence. J'étais l'actrice des oiseaux nocturnes.
J'ai repris mon chemin, toujours excitée, toujours sur le fil du plaisir. Je suis arrivée près d'un parcours de santé. Je regardais les agrès en bois cherchant ce que je pouvais bien en tirer.
j'en vis un qui me plu. C'était une série de haie. Je m'installais à califourchon sur l'une d'elle. La chance de la débutante, un nœud était situé bien comme il faut.
Je fis aller et venir mon bassin, me frottant suavement dessus. Je ne laissais pas mes seins libres.
Je fermais les yeux et t'imaginais faisant la même chose te ton côté. Je voyais la photo de aux armes citoyennes... aux charmes citoyennes.

Je gémissais, moins silencieuse cette fois. Je jouis une , deux ou trois fois, je ne sais plus. Je n'arrivais pas à m'arrêter malgré la rudesse du bois.
Je repris mes esprits doucement et me rendis compte de la situation. Mais j'étais assez loin de mes affaires. Je voulu cacher mes seins, mais face à qui. Tu passas encore dans ma tête.
Je quittais l'agrès qui m'avait temps fait jouir. 

Je voulais que tu sois encore plus fière de moi.
J'ai retiré mon string poisseux. Je fis ma Ophélie. Je le laissais sur la haie, mon amante de la nuit, imaginant le joggeur ou la joggeuse découvrant mon mignon petit string accroché là. Peut-être le prendra t'elle et le portera à son tour.
Je retournais vers ma voiture, nue, le vente caressant mon corps. Je me serais bien baignée, mais je trouvais l'eau un peu froide et je ne connaissais pas l'état sanitaire de cette eau.
Sur le chemin je recueillais mes affaires. 

Devant la voiture, toujours nue, je remis mon sweat. Je ne remis pas ma jupe et rentrais chez moi, anxieuse de ne pas tomber sur un contrôle de police. Mon coeur s'emballa en en voyant une . Je refermais les pan du sweat sur ma poitrine. Je crus la voir freiner et accelerer sen prenant une autre route. 

Venait-il me contrôler? Je pris des détours pour rentrer chez moi.
Tu sais quoi ma belle Ophélie, j'ai pris l’ascenseur vêtu de mon sweat.
C'était divin, agréable.
Merci, merci, merci. J'ai encore jouis sous la douche.
Merci de ton aide... J'avais oublié comme cela pouvait être agréable