11 septembre 2011




A mon amour et sa compagne


Les douceurs d’une après-midi Sarde

L’après-midi s’annonçait lourde sous le soleil de Sardaigne. Il n’y avait pas un brin de vent et même l’eau de la piscine ne suffisait pas pour se refroidir.

Bilitis prit congé de Caroline et de ses amis pour aller s’isoler dans la chambre. Elle préférait de loin la douce fraîcheur de la chambre que la chaleur étouffante du bord de la piscine.

Une fois dans la chambre, elle ferma un peu les volets, histoire de conserver le peu de fraîcheur qui restait dans la pièce et s’allongea de tout son long sur le lit, sans même quitter son bikini.

Elle s’endormit ainsi, sur le ventre, une jambe légèrement repliée.

Elle passait des vacances de rêve avec Caroline, des vacances entre la piscine, le bateau, la plongée et les douces mains de sa compagne. Cette dernière arrivait toujours à la surprendre et c’est ce qu’elle aimait en elle. Elles avaient failli provoquer un attentat à la pudeur un soir alors qu’elles s’étaient un peu abandonnées dans la piscine. Alors que Caroline commençait à faire descendre le bas de son bikini, elles se sentirent observé. Le petit garçon du propriétaire était campé là, sur l’autre bord de la piscine, les yeux écarquillés. Avait-il vu le geste de Caroline ? Il fallait le surveiller celui là.

Bilitis fut tirée de son sommeil par une douce caresse. Elle sentait des doigts monter et descendre le long de sa jambe. Ces doigts effleuraient le bas de son maillot, passaient sur l’autre jambe et redescendaient.

Elle sentait la chair de poule envahir son corps. Les doigts finirent par glisser sur le bas de son maillot, sur son entrecuisse. Elle tressaillait et gémissait de plaisir. Cette douceur, cette lenteur, ce ne pouvait qu’être que Caroline.

Elle glissa un œil derrière elle et découvrit son amante tout concentrée à sa caresse. Elle avança et commença à faire glisser sa langue sur les hanches de sa compagne. Bilitis frissonnait.

Elle se retourna pour faire face à son amante. Caroline fit glisser sa langue sur le ventre de Bilitis, montant, descendant, léchant son maillot, la peau au bord de celui-ci, l’aisne. Elle ouvrit la bouche et la posa sur son pubis et souffla. Bilitis gémit.

Elle remonta, s’attarda sur le nombril, le creux de ses seins, glissa sur son torse. Doucement elles se bécotèrent avant que leurs bouches s’unirent en un délicieux baiser. Bilitis aspira la langue de sa compagne et le suça délicatement.

Caroline abandonna la bouche de Bilitis et alla poser la sienne sur la poitrine de son amie. Elle leur fit le même traitement que sur le pubis un peu plus tôt. Elle souffla à travers le tissu.

Bilitis frissonna à nouveau. Elle attira le visage de son amie et elle l’embrassa à nouveau.

Caroline aida Bilitis à se redresser sur son séant. Elles s’embrassaient toujours pendant que Caroline entreprenait le dégrafage du haut du bikini de Bilitis.

Bilitis se rallongea. Caroline profita de la superbe vue des seins nus de Bilitis. Elle caressait les mamelons, faisait le tour, flattait les tétons. Elle se penchant vers eux et lécha les tétons avant de les gober l’un après l’autre. Elle les suça, les lécha, les aspira, les mordilla.

Bilitis adorait ce traitement et Caroline le savait très bien. Elle pouvait la faire jouir rien qu’avec le traitement qu’elle prodiguait à la poitrine. Bilitis gémissait de plus en plus. Son corps tanguait sous les assauts du plaisir. Sa poitrine luisait de salive et ses tétons bandaient comme de petit pénis. Elle avait les yeux fermés et faisait passer sa langue sur ses lèvres. Des vagues de plaisir montaient à l’assaut de son ventre.

Pour Caroline, il était temps de faire refroidir sa compagne.

Elle s’empara d’un glaçon dans le bol qu’elle avait apporté. Elle le fit glisser entre les seins de Bilitis qui gémit de plus belle. Elle creusa son ventre lorsque le glaçon glissa sur celui-ci.

Caroline remonta le glaçon et le glissa sur les seins, les tétons. Elle joua longuement avec son amie avant de le laisser sur son nombril. Elle se pencha et le prit dans sa bouche. Le gardant dans la bouche, elle alla le passer à nouveau sur les seins. C’était à la fois chaud et froid. Les tétons bandaient de plus en plus sous le traitement de Caroline.

Elle alla alors déposer le glaçon dans la bouche de Bilitis. Elles s’embrassèrent se passant et repassant le glaçon. C’était divin.

Caroline reprit le glaçon et alla le glisser dans le creux du ventre de Bilitis. Elle le fit passer le long du maillot de bain et glissa celui-ci-dessous. Bilitis se cambra.

Une fois le glaçon fondu, Caroline débarrassa sa compagne de son maillot.

Elle s’installa confortablement entre les cuisses de son amante. Elle glissa un oreiller sous les fesses de Bilitis. Elle caressa longuement de ses doigts, de ses ongles de sa bouche l’intérieur des cuisses. Elle pouvait voir le délicat rejet sur les lèvres de son amie. Ses narines se repaissaient des effluves poivrés de la belle.

Le bassin de Bilitis tanguait. La bouche salvatrice de Caroline se posa sur ses lèvres. Elle émit un petit cri de satisfaction. Elle jouit légèrement.

Caroline sourit. Elle regarda sa compagne et avec un sourire malicieux, elle entama son repas.

Sa langue glissa sur le pubis de sa compagne avant de s’attaquer aux lèvres juteuses. Elle fit passait délicatement sa langue, cueillant le divin nectar sur le plus beau des pistils.

Caroline s’accrocha aux hanches de la belle pour ne pas perdre le contact tant Bilitis était agitée. Bilitis caressait les cheveux de son amie. Elle n’avait pas besoin de dire grand-chose tant elles se connaissaient toutes les deux.

Caroline écarta les lèvres de son amies et lécha l’intérieur de la fleur, mélange de liquide blanc et de couleur pourpre.

Elle se régalait. Son amie gémissait e plus en plus. Son corps tanguait sous les vagues du plaisir. Bilitis sentait le bout du nez de son amie s’écraser sur son clitoris. A chaque fois, une décharge électrique envahissait son corps.

La garce finit par s’occuper de son petit bouton.

Il ne fallut pas longtemps avant que Bilitis ne jouisse à nouveau.


Elle comptait reprendre un peu de force et s’occuper de Caroline mais c’était mal la connaître.

Caroline fit redresser Bilitis contre le coussin de la tête de lit. Elle lui attacha les poignets à l’aide de deux étoffes de soie et posa un masque de sommeil sur les yeux de son amie.

Elle était à nouveau très excitée.

Caroline caressa ses bras, ses seins et embrassa tendrement son amie.

Elle reprit alors un autre glaçon et laissa l’eau se répandre sur le corps nu de son amie en le serrant dans ses mains. Torture douce et très agréable. Un peu d’eau coula sur son menton. Elle ouvrit la bouche pour en recueillirent un peu.

La garce fit à nouveau glisser le glaçon sur ses seins, son ventre, dans sa bouche. Elle sentait qu’elle mouillait à nouveau.

L’eau glissait le long de son ventre, disparaissait dans les poils pubiens, pour ressortir plus bas et se mêler à sa liqueur. Bilitis s’ouvrait encore plus tant la chaleur entre ses cuisses était violente.

Comme si Caroline avait compris, elle fit glisser le glaçon sur les lèvres de son amie. Bilitis cria, mélange de plaisir et de douleur du au glaçon.

La garce faisait aller et venir le glaçon sur ses lèvres. Bilitis se pinçait les lèvres, elle jouissait intérieurement. De temps en temps, Caroline abandonnait les lèvres afin de faire passer le glaçon sur l’intérieur des cuisses de son amie, mais elle y retournait sans vergogne.

Elle alla alors embrasser son amie. Bilitis dévora la bouche de Caroline, suçant sa langue comme une folle. Caroline alla ensuite lécher les seins de Bilitis.

Le glaçon finit par disparaître. C’est alors que Caroline caressa les lèvres de son amante.

Elle écarta les lèvres juteuses et glissa un doigt puis deux doigt dans l’antre brûlant. Le corps de Bilitis se tendit.

La garce doigta son amie. Elle monta lécher les seins, le ventre, la bouche. Elle s’attaqua au clitoris, qui pointait hors de son capuchon.

Elle s’acharna dessus. Bilitis jouissait à gorge déployée.

On orgasme d’une rare puissance l’emporta.

Caroline calma le feu du plaisir avec sa bouche sur la fleur écarlate de son amie. Elle déposa ses doigts gluants dans la bouche de sa victime. Celle-ci les suça avec gourmandise.







Bouche, langue sur le ventre, les seins, le cou. Bouche, sur la bouche. Baiser, long, furieux, langoureux. Orgasme, étoile, mars, vénus, ho oui vénus, notre mère… Je jouisssssssssssssss


Je vous embrasse tendrement mes amours



ROMANE

Qu'est-ce que tu nous manque ma Bilitis, ma Dominique.

1 commentaire:

Titia d'or a dit…

Bilitis... de si beaux souvenirs ...
j'avais 15 ans environ, je crois ...

Bizous ...