06 juin 2009




Mystèrieux rendez-vous






Je me rendis à l'adresse que tu m'avais envoyée. Je me traitais de folle.

Mise à part nos échanges de E-Mail, je ne connaissais rien de toi. Enfin si, je savais que tu aimais les godemichés, les femmes, que tu étais aussi nue qu'une jeune fille de 10 ans, que tu étais très chaude. Et pourtant, j'avais accepté de te rencontrer pour une après-midi.

C'est le cœur battant que je sonnais à la porte. La porte s'ouvrit dévoilant une ravissante soubrette en guêpière, bas et tablier.

- Veuillez entrer mademoiselle! » dit la ravissante jeune fille.

- Merci. »

Elle referma la porte et me débarrassa de mon manteau. Elle sortit un bandeau noir de la poche de son tablier.

- Vous permettez? Madame m'a demandé de vous mettre cela. »

- Si Madame vous l'a demandé, je n'irais pas contre ses ordres. »

- Merci Mademoiselle! »

Elle passa derrière moi et me plaça le bandeau sur les yeux. Elle me prit alors la main et m'emmena je ne sais où dans cette grande maison. Elle sentit la tension qui m'habitait.

- Détendez vous Mademoiselle! Tout se passera bien. »

Je sentis que l'on entrait dans une pièce où crépitait un feu de cheminé. La chaleur de l'âtre me réconfortait légèrement.

- Vous permettez que je vous déshabille Mademoiselle. Madame m'a dit qu'elle vous désirez prête. »

- Soit, faites votre travail. »

La jeune fille me déshabilla. Elle ne me laissa que mon soutien-gorge, c'est d'ailleurs le seul sous-vêtement que j'avais mis se jour là. Elle me fit asseoir sur un canapé.

- Veuillez patienter, Madame ne tardera pas. »Je l'entendis partir et refermer une porte. Enfin, c'est ce que je crus. Qui m'aurait dit, il y a quelque jour, que j'attendrais, nue, une personne que je ne connaissais pas, dans une maison inconnue. Mes seins durcirent pourtant et ma fleur commença à s'humidifier. J'étais excitée par la situation. Je m'offrais sans contrainte. J'avais une furieuse envi de me caresser pour calmer la tension qui grimpait en moi.

- Il y a quelqu'un? » demandais je.

Pas de réponse et pourtant tu ne me quittais pas des yeux, observant mes réactions. Je croisais, décroisais mes jambes, me frottais légèrement sur le tissus du canapé. Mes lèvres devenaient de plus en plus humides.

- Ho ho, il y a quelqu'un? »

Toujours pas de réponse. Tant pis, je ne tenais plus. Tant pis si elle me trouve en train de me caresser.

Je m'allongeais sur le canapé, écartais les cuisses et me caressais. Ma main fut d'un grand soulagement. Je me caressais aussi la poitrine de l'autre main. Mes tétons étaient durs comme de la pierre. Je cueillais un peu de ma liqueur et me la portais dans la bouche.

Tu aimais ce que tu voyais. Tu retirais tes vêtements et te caressais à ton tour. On était à même pas un mètre l'une de l'autre, et on se caressait. Je gémissais me croyant seule. Je glissais deux doigts dans mes chairs et me masturbais. Tu ne tardas à m'imiter.

Tu finis par laisser échapper un gémissement. Je m'arrêtais.

- Il y a quelqu'un? »

- Oui, je suis là ma douce. Continue, tu es merveilleuse. J'aime te regarder te masturber. »

- Vous êtes là depuis longtemps? » fis je.

- Suffisamment, mais continue je t'en prie. »

Je me tus et repris ma caresse.

- Voilà, c'est bien ma douce. »

Tu te caressais encore un peu avant de te lever. Tu pris le godemiché ceinture qui traînait sur la table. Tu le portais à la bouche et l'humidifiais de ta salive. Le sentant suffisamment lubrifié, tu te le passais sans me quitter des yeux. L'engin était puissant, superbe, brillant.

Tu t'approchais alors de moi, pris la main qui s'enfonçait dans mes chairs liquéfiées et portais mes doigts poisseux à ta bouche.

- Hummm, quel divin nectar! » dis tu en suçant mes doigt avec gourmandise. « Tu as le goût que je pensais. »

Tu te délectais un peu puis tu me demandais de me m'agenouiller sur le canapé. Je m'exécutais, un genou sur le canapé t'offrant mes fesses.

Je tremblais lorsque tu passas ta langue gourmande sur mes chairs. Tes lèvres me gobèrent et tu me bouffas la chatte divinement. Je gémis. Ta bouche me quitta. Je gémis de désapprobation.

C'est alors que je sentis le puissant godemiché à l'entrée de ma grotte.

- Oh, oui. Baises moi! »

J'avançais mes fesses vers ton godemiché. Tu reculais.

- Oh, nonnnnn. Baises moi je t'en pris? »

- Demandes le moi encore plus gentiment. »

- Baises moi, déchires moi, ... »

- Je n'ai pas compris

- S'il te plaiiiiiiiit........ »


Tu fis alors glisser ton engin entre mes chairs bien humides. Tu te comportas comme l'aurait fait un homme. Tu me pris divinement en levrette, frappant régulièrement mes fesses. Je jouissais sous tes coups de boutoir. Ton sexe me remplissait merveilleusement le con.

Tu aimais cette domination que tu exerçais sur moi. Rien ne te remplissait plus de bonheur que de voir une femme jouir grâce à toi.

Je perdis la notion du temp. L'avantage, avec un godemiché, c'est qu'il ne se ramollit jamais. Il reste toujours dans le même état. Les deux partenaires peuvent jouir jusqu'à plus soif.

C'est au bout du troisième orgasme que je demandais grâce.

- Arrêtes, je t'en supplie. J'ai mal maintenant. »

Tu m'écoutais.

Je sentis, à mon grand soulagement, le pénis de latex quitter mes chairs. Tu me pris la main et me fit asseoir dans un fauteuil. Tu posais l'un de mes pieds sur l'accoudoir, m'ouvrant complètement à toi.

J'accueillis avec bonheur ta langue et ta bouche. Ton travail sur ma chatte, calma ma douleur et je jouis à nouveau. Tu étais une merveilleuse brouteuse de chatte. J'écartais moi même mes lèvre pour te faciliter le travail. Tu glissas deux doigts en moi, me masturba tout en titillant mon clitoris.

Je sentais le plaisir rouler dans mon ventre. Je criais mon bonheur. Je pris ta tête et la plaqua contre ma chatte.

- Je jouiiiiiiiis. Bouffes moi salope, manges moi, bois moi!!!!! »

Mon bas ventre était secoué de soubresauts pendant mon long et merveilleux orgasme. Tu me buvais de tout ton saoul.

Alors que je reprenais mes esprits, tu vins te blottir entre mes bras. Ta bouche se posa pour la première fois sur la mienne. On s'embrassa tendrement. Ta bouche était pleine de mon odeur. J'avais l'impression de me boire. Je ne sais pourquoi mais une fois notre tendre baiser terminé, je t'embrassais dans le cou et te fis un suçon. C'est bête, mais il y a longtemps que je n'avais fait cela. J'avais à nouveau 16 ans dans tes bras.

Je voulais te rendre le plaisir que tu m'avais donné. Je glissais alors à terre, retirais le godemiché qui ceignait toujours à ta taille. Je plongeais alors mes doigts dans la chair onctueuse de ton sexe. Ta chatte regorgeait de liqueur. Je posais ma bouche sur tes lèvres juteuses. Tu rugis. Je me mis à te brouter comme une folle, ivre de ton odeur, de ta merveilleuse chatte. Du bout du doigt, je caressais ton pubis aussi nu que celui d'une jeune fille de 10 ans. Je sentais ton clitoris sortir du repli de ses chairs et toucher le bout de mon nez. D'un tour de langue et sous un violent rugissement de ta part, je le dégageais complètement. A chaque fois que je le touchais de ma langue, j'avais droit à un rugissement de ta part. Je me mis à me masturber également.


Tu finis par avoir ton orgasme. Je te bus à mon tour. Je jouis également sous mes doigts. Je sombrais alors dans une douce torpeur.

Je sentis tes lèvres sur les miennes, venant cueillir dans ma bouche le divin nectar que tu avais produit.

Je ne sais combien de temps j'ais dormis. A mon réveil, j'étais habillée mais les yeux toujours bandé.

- Vous êtes réveillées Mademoiselle? »

- Je crois que oui. »

- Madame m'a demandé de vous raccompagner. »

- Elle est partie? »

- Je crois qu'elle s'est couchée. Elle était aussi fatiguée. »

Elle me prit la main et me ramena à la porte d'entrée. Elle me retira le bandeau.

- Merci! »

Elle prit mon manteau et m'aida à l'enfiler. Elle était ravissante, la petite soubrette. J'avais repris des forces et un petit tour avec elle ne m'aurait pas déplut.

- Vous salurez votre patronne de ma part? »

- Je n'y manquerai pas. »

Elle ouvrit la porte. La nuit était déjà tombée. Je regardais l'heure. 21 heures. Que le temps passe vite quand on est en de si bonne main.

Je me retournais pour saluer la ravissante soubrette. Cela se passa en un éclair alors qu'elle refermait la porte. Je remarquais, au creux de son cou, une marque, une marque que j'avais fait dans le feu de l'action. C'était un beau suçon.

La soubrette, toi, ne faisiez vous donc qu'une? Je restais là, me posant des questions. La lumière de la porte finit par s'éteindre. Je quittais alors le devant de la maison sentant un regard sur moi.

Tu retournas au salon, un sourire sur les lèvres. Tu te versas un bon verre de scotch, t'installas dans le fauteuil où nous étions toutes les deux auparavant. Tu bus deux gorgés avant de poser le verre sur la table basse. Tu relevas ensuite le bas de ta robe de soubrette, dégageant ton pubis nu. Tu fermas les yeux et te masturbas longuement.

A Gwen

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Magnifique récit qui laisse mon petit triangle bien humide.
Continue de nous faire rêver et saliver.
Tendres baisers.
Vicky