01 juin 2009


DOCTORESSE

Cela fait deux ans que je me suis installée à mon compte dans une petite ville du sud de la France. J’eus 2 à 3 mois de difficile le temps de me faire une clientèle et le bouche à oreille aidant…

Je suis célibataire et je sais que les gens se demandent ce que peu bien faire une femme, la trentaine, seule dans une si petit village. Afin de ne pas faire jaser, je me rends quelques samedis en boite dans la ville la plus proche et là je trouve de quoi me satisfaire. Je ramène de temps en temps mes amants, le temps d’un week-end afin que mes patients et concitoyens ne se pose pas trop de question sur mes mœurs. Mais j’aime mon célibat. J’ai d’autre aventures et c’est ce que je vais vous raconter.

Pour les vacances estivales, je prends de jeunes infirmières, encore étudiantes, comme assistantes et secrétaires. Cette année là, j’avais pris une jeune fille ravissante, brune, le corps bien fait. Elle travaillait bien.

On sortait ensemble en boite de nuit le samedi soir et pour mon plus grand plaisir, on nous prenait pour deux sœurs jumelles bien que je sois blonde et que ma poitrine soit plus menu que la sienne. Elle claquait du doigt et elle avait plusieurs chevaliers servant à ses pieds. Elle semblait aimer le sexe et les cernes qu’elle arborait certain matin, me faisait deviner une nuit assez mouvementée. Je rentrais souvent sans elle. Je la taquinais toujours sur ses nuits agitées, mais dès que l’on se retrouvait dans mon cabinet, je redevenais la patronne.

Je m’adonnais de temps en temps au saphisme, si je trouvais la fille attirante. Cette fille me plaisait beaucoup, mais je ne savais comment faire pour goûter moi aussi à ces charmes.

Le contrat arrivait de plus en plus à son terme. Il y avait de moins en moins de patients parce que les vacances se terminaient. Elle allait bientôt partir et cela me chagrinait beaucoup.

Un jour, alors qu’il y avait un trou de deux heures, je l’appelais dans mon bureau.

- Marie ?

- Oui docteur !

- On a un trou de deux heures. Pouvez-vous venir me donner un coup de main afin de faire l’inventaire ?

- Pas de problème docteur !

Elle arriva dans le cabinet et on se mit on travail. La belle portait une paire de bas ce jour trouvant que le temps était frais. Moi j’étais en ébullition avec elle dans mon cabinet. Je regardais à la sauvette ses fesses et sa poitrine nue à travers l’échancrure de la blouse. De temps en temps, je profitais qu’elle regarde dans un placard en hauteur afin de me coller à son corps dans son dos. Elle fut surprise la première fois, mais après elle poussait le vice à dodeliner des fesses et à accentuer la pression sur mon bas ventre quand j’étais dans son dos.

On attaqua l’inventaire des tiroirs sous la table de consultation. Elle comptait les compresses, les flacons de désinfectant. Elle ouvrit alors le dernier tiroir et ce fut le silence. Je souris en sachant ce qu’elle avait découvert.

- Dans quelle catégorie dois-je rentrer ceci, docteur ? dit elle en montrant le godemiché ceinture qu’elle tenait en main.

- Ben dans les instruments thérapeutiques comme le bistouri.

- Ha bon. Instrument thérapeutique. Je le note.

Elle regardait un peu surprise l’objet.

- On vit dans une petit ville Marie, et certaine personnes éprouvent le besoin de discuter à parfois d’assouvir certain fantasme. Il y a des hétérosexuelles, comme des homosexuelles. En temps que docteur, je dois être à l’écoute, comme conseiller conjugal et parfois sexologue.

- Il vous arrive d’utiliser cet engin, docteur ?

- Comme la plupart des homosexuelles dans un si petite ville, préfère vivre caché, je leur fournis gadgets et autre pour épanouir leur existence. Celui-ci me permet de leur en faire la démonstration. Je leur indique comment le fixer à la taille et leur montre les différentes utilisations. Donc instrument thérapeutique ma chère Marie.

Je devinais sous son crâne le cinéma qu’elle pouvait se faire. Elle me regardait d’une autre façon. J’ouvris une autre armoire. Il y avait toute sorte de godemichés, de vibromasseurs et de boules chinoises. Je crus que ses yeux allaient lui quitter les orbites.

- Je suis un peu le sexe shop du village, Marie !

- Vous faîtes des démos de cela aussi !

- Bien entendu !

On continua l’inventaire, mais elle n’était plus à son travail.

- Merci Marie pour votre coup de main ! Madame Y ne devrait plus tarder !

- De rien docteur !

En quittant la pièce, je vis que les questions devaient se bousculer dans sa tête.

J’arrivais à la fin de mes consultations.

- Marie ?

- Oui docteur !

- Il doit rester madame F. Vous pouvez partir.

- Non docteur. Il y a une patiente de dernière minute. Vous la prenez ?

- Bien entendu ! Vous partirez après elle.

- Merci docteur.


A la fin de la séance de madame F, j’appelais mon assistante.

- Marie ?

- Oui docteur !

- Faites entrez la dernière patiente !

- Bien docteur.

- A demain Marie ?

- A demain docteur !

La porte s’ouvrit et Marie entra dans mon cabinet.

- Ben, Marie ! Ou est la patiente ?

- C’est moi docteur.

- Ha bon, et qu’elle est votre problème ?

Elle s’approcha du bureau et je me demandais où ce trouvait la jupe que j’avais remarqué durant l’inventaire. Elle s’assit dans le fauteuil me dévoilant sa jambe gainé de bas.

- Je ne sais pas ce que j’ai. Depuis que j’ai quitté votre bureau, dès que je pense à vous et que je vois l’engin dans votre tiroir de consultation, j’ai la gorge qui s’assèche, ma poitrine qui gonfle et mon sexe qui mouille.

Elle dit cela très sérieusement. Je ne vis aucune lueur de blague dans ses yeux. Je pris alors mon air de docteur.

- Ha bon ! C’est étonnant votre affaire. Avez-vous déjà eu ce symptôme auparavant ?

- Oui, mais je ne m’en étais pas inquiétée outre mesure.

- On va voir cela. Déshabillez-vous et assoyez-vous sur la table de consultation.

- Bien docteur.


Elle s’approcha de la table de consultation, retira sa blouse. Elle avait déjà retiré sa jupe. Elle apparut uniquement en bas et en tanga en dentelle orange. Elle était vraiment belle. Elle posa sa blouse sur une chaise et s’assit sur le bord de la table en me regardant. Sa poitrine était tendue à tout rompre.

Je m’approchais d’elle. Il émanait de son corps une chaleur animale.

- Ouvrez donc votre bouche et faîtes « A »

Elle s’exécutait et évidemment je ne voyais rien.

- Les muqueuses sont évidemment sèches. Vous avez quoi encore ?

- Mes seins ! Regardez-les, ils sont tout durs !

Je pris les tétons entre mes doigts. Elle gémit. Ils étaient durs comme du silex. Je les pinçais avant de calmer mon geste par une douce caresse de la paume de la main.

- Moui ! Et votre sexe devient humide ?

- Oui docteur !

Je descendis ma main vers son tanga.

- C’est le cas en ce moment ?

- Oui docteur !

- Voyons voir !

Lorsque j’atteins l’élastique de sa culotte, elle écarta légèrement les jambes afin de laisser ma main passer. Effectivement, je recueillis un peu de liqueur sur les tissus de sa culotte. Je mis ensuite mon doigt dans la bouche sans la quitter du regard.

- Hummm. Fis je. C’était divin. Je pense avoir un remède à votre problème.

- C’est vrai docteur !

Très bonne comédienne si elle rate ses études de médecine. Je posais mon stéthoscope.

- Détendez vous ! On va voir vos problème, un à un.

Je passais une main derrière sa tête et l’attirais doucement sur mes lèvres. Elles s’unirent et je glissais ma langue dans sa bouche. Elle ne fit aucune résistance, répondant plutôt énergiquement à mon baiser. Je quittais sa bouche et descendis vers sa poitrine turgescente.

Un à un, je léchais ses tétons et gobais ses mamelons. La belle gémissait sous ma caresse buccale. Elle posa sa main dans mon cou afin d’accentuer la pression de ma bouche sur ses seins.

- Arrêtez docteur ! Vous ne faites qu’empirez les choses.

Je quittais sa poitrine et descendis vers le nombril. Je pris son tanga et le fis glisser le long de ses jambes gainées de bas. Elle n’opposa aucune résistance. Sa toison était merveilleusement épilée à la forme de la marque du string qu’elle portait à la plage. Une fois débarrassée de sa culotte, elle écarta ses jambes afin de me laisser passer. Une odeur de cyprine envahit mes narines. J’écartais ses lèvres poisseuses et commençais à lécher l’intimité humide de la belle. Elle me tenait la tête et poussait des cris à chacun de mes coups de langue. Je glissais ma langue agile dans ses chairs, buvant ses liqueurs avec délice. Je me caressais la chatte à travers mon fuseau et mon string. Je mouillais abondamment.

Je quittais sa douce chatte et remontais l’embrasser, lui offrant le goût de ses liqueurs dans ma bouche. Ses beaux yeux me remerciaient de tant de plaisir.

- Alors docteur ! C’est grave ! dit-elle en respirant profondément.

- Non, ce n’est pas si grave. Mais …
J’enjambais sa cuisse et frottais langoureusement mon entrecuisse sur son bas.

- Mais ?

- Mais votre maladie est contagieuse.

- Ha bon !

- J’ai les mêmes symptômes que vous. J’ai moi aussi la poitrine qui est dure et mon sexe qui mouille. Regardez par vous même.

Elle dégrafa ma blouse qui rejoignit la sienne et mon soutif prit le même chemin. Je la bécotais pendant qu’elle me déshabillait. Sa bouche se mit à dévorer ma poitrine et je gémis à mon tour.

- As-tu pensé à fermer la porte du cabinet ?

- N’est crainte, j’ai tout bouclé. Notre maladie est confinée à présent.

- Alors soignons-la.

Je m’écartais d’elle, retirais mon fuseau et mon string. Je la laissais regarder mon pubis aussi nu qu’une jeune fille de douze ans. Je retournais entre ses bras. Nos bouches s’unirent en un baiser fougueux. Nos corps ondulaient l’un contre l’autre, mélangeant nos liqueurs intimes. Je retournais boire ses liqueurs avec avidité pendant que mes mains jouaient avec sa poitrine.

- Oh ce que c’est bon. Jamais je n’aurais cru cela si bon. gémissait-elle. Oh bouffe moi, mange moi, mord moi. Oh, ce que tu me fais bien brûler la chatte. Continue…

Elle jouit plusieurs fois dans ma bouche. Elle me repoussa doucement.

Je remontais tout en continuant à la peloter.

Sa main descendit et glissa sur mes lèvres intimes.

- Je vais voir si j’arrive à appliquer le bon traitement à mon tour. dit-elle en glissant entre moi et la table.

Sa bouche goba mon bouton et se mit à le reluire Je criais sous son ardente caresse.

- Ne me dit pas que tu fais cela pour la première fois ?

Sa bouche me quitta me donnant un petit répit.

- Si !

- Il faudra que tu penses à persévérer sur ce type de traitement. Tu es très douée.

- Merci ! dit-elle en souriant, le nez les lèvres blanches de mes liqueurs. Il faudra que j’y réfléchisse.

- D’accord, mais pour l’instant, continue à me soigner. Je suis très malade

- Bien docteur.

Elle me fit jouir plusieurs fois grâce à l’agilité de sa langue dans mon fourreau. Je la repoussais doucement.

- Attends ma belle ! On n’a pas encore fini.

Je pris le godemiché qui l’avait surpris lors de l’inventaire.

- J’ai une autre thérapie pour toi. Veux-tu l’essayer ?

- Oh oui ! ho oui !

Je le fixais à ma taille et allais m’asseoir dans le canapé.

- Allez ! Il faut me lubrifier cela. Viens mon amour !

Elle ne se fit pas prier deux fois. Elle s’agenouilla sur le canapé et entama une superbe fellation sur l’engin en plastique. Je glissais ma main sous son ventre et allais la masturber doucement. Son sexe était humide à souhait.

- C’est bon. Je crois que tu peux t’empaler dessus.

Elle se redressa, me tourna le dos et descendit doucement sur le pénis en plastique alors que je posais mes mains sur sa taille. Son corps trembla sous l’effet de la pénétration. Je l’aidais alors à chevaucher et se fut la charge de la cavalerie. Son corps devint désarticulé sous les assauts du plaisir. Elle se raidit brusquement et un long cri, gutturale, sortit de sa bouche. Elle s’abandonna au creux de me bras, sans que le godemiché ne quitte sa grotte. Je lui caressais les seins et le clitoris, pendant que je lui léchais le cou.

Elle désira par la suite connaître toutes les pratiques que permettait le bel engin.

Mes nuits furent moins tristes à partir de ce jour là.

Son départ fut une véritable torture. J’eus du mal à l’oublier.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Et bien docteur... après une si longue absence... et j'aimerai bien aussi venir en consultation, je soupçonne d'avoir les mêmes symptômes!

Anonyme a dit…

Magique ton récit, comme toujours. L'impatience de mes prochaines vacances estivales dans le sud de la France se fait plus ardente.

Bises
vic.

Romane BONY a dit…

Val : Je possède les remèdes pour te soigner ma chérie. Mon cabinet est ouvert.

Vicky : Je suis heureuse de savoir que tu passes encore chez moi. Je te fais de gros bisous en souvenir du bon vieux temps. (Ps : tjs amoureuse des string?)

Romy

Anonyme a dit…

Je n'ai jamais cessé de te suivre au travers de tes blogs et tes histoires qui me font vibrer à chaque lecture. Je te fais plein de tendres bisous sucrés salés.
PS: oui toujours plus que jamais.

Vicky