01 juillet 2007


Correspondance érotique avec une douce jeune fille

En passant devant ta boutique, j’avais remarqué une splendide paire de chaussures et une ravissante vendeuse. J’entrais dans la boutique, plus pour la ravissante vendeuse que pour la paire d’escarpin.
J’entrais alors dans la boutique et je fus accueilli par toi. Tu étais ravissante, mignonne et accueillante.
Je te montrais la paire qui me faisait tant plaisir. Tu me félicita sur mon choix et partit dans les réserves chercher l’autre pied après m’avoir invité à m’asseoir dans le canapé.
Tu revins, tout souriante et t’accroupis à mes pieds.
Involontairement ta jupe remonta sur tes belles cuisses gainées de soie. J’eus le temps de voir une mignonne petite culotte en dentelle blanche.
Tu rougis en te relevant afin de remettre ta jupe en place. Tu cherchais quelqu’un du regard, avec une légère angoisse, mais tu te calmas et repris ta position en retenant ta jupe.
Dommage, j’avais trouvé cela très mignon. Je te souris, un peu complice.
Moi je ne portais rien ce jour là sous ma jupe en daim. Alors que tu te concentrais à la mise en place de mes escarpins, j’ouvris légèrement mes cuisses. En relevant la tête, tu vis ce que je voulais t’offrir. Tu rougis à nouveau. Je te souriais encore plus de ta gêne.
Tu te relevas évitant mon regard.
- Voulez-vous marcher afin de voir si cela vous convient. »
Je me levais et marchais. Je fis exprès de trébucher. Tu volas à mon secours et me pris par la taille. Je frissonnais au contact de ta main sur ma hanche. Tu m’aidas à marcher un peu et dès que je sentais que tu allais me lâcher, je trébuchais à nouveau.
- Vous n’avez jamais porté de chaussure avec de si haut talon. »
Si tu avais vu ma collection de chaussures.
- Non ! »
- Je comprends. »
Il y avait une glace par terre en biais afin de se voir chaussé. On s’en approcha. Est ce une chance, mais se jour là, la glace avait un angle plus prononcé et nous trouvant suffisamment proche, j’eus à nouveau une belle vision sur ta culotte.
- Ravissant ! » dis je.
- Oui, les chaussures sont très belle. »
- Je parlais de vous. »
Tu rougis à nouveau et finit par voir ce que je voyais dans la glace.
- Merci. »
- Je prends les chaussures. »
- Vous êtes sûre ? »
Je posais une main discrète sur tes fesses et les caressais rapidement.
- Oui ! »
Je me dirigeais alors vers mes affaires dans une démarche assurée. Ton regard me brûlait les fesses.
- A bientôt, » dis je en quittant la boutique après t’avoir adressé un clin d’œil.
Tu ne me quitta pas des yeux jusqu’à ce que je quitte la boutique.

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Je me suis rasée la chatte ce matin. Je suis aussi nue qu’un caillou. C’est lisse et très doux. Tu veux toucher ?
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Je suis entrée dans ce pub, histoire de boire un bon whisky et de profiter de l’ambiance.
J’ai senti un moment un regard sur moi. C’est alors que je la vis, quelques tabourets plus loin.
Elle était blonde, cheveux mi-long. Elle portait un pull et une jupe ouverte très haut sur sa cuisse. Elle avait une superbe jambe gainée de résille et une petite bottine comme tu dois les aimer. D’où je me trouvais, je voyais la lisière de son bas.
Elle me jetait de temps en temps un regard.
Je ne pouvais laisser passer cette occasion, surtout que je sentais un léger émoi dans ma culotte.
Je me suis approchée d’elle et me suis présentée. Elle ne me repoussa pas. On discuta longuement du comment et du pourquoi de notre présence dans ce pub et dans cette région. Je buvais ses paroles et mouillais de plus en plus.
Après s’être payé un verre mutuellement, je me lançais.
Je me suis penchée vers elle et lui ai dit doucement.
- Tu me plais, j’ai envi de toi. »
Elle me sourit le visage un peu rouge et but une gorgé. Elle se pencha alors à son tour.
- Moi aussi, j’ai envi de toi. »
Alors qu’elle me regardait, à nouveau droite sur son tabouret, elle passa sa langue sur ses lèvres. Ce fut trop pour moi. J’avais une envi furieuse de l’embrasser, mais il y avait trop de monde.
Je payais et sortis du Pub avec elle.
Je lui proposais de venir chez moi. Elle me suivit dans sa voiture.
J’ouvris ma porte avec fébrilité et une fois chez moi, je la pris dans mes bras et on s’embrassa fougueusement sur la bouche.
Humm.
Je glissais une main sous sa jupe et constatais qu’elle était tout aussi excitée que moi. Je ne sais plus comment, mais on se retrouva dans mon lit, nue, nous caressant langoureusement et nous embrassant délicieusement.
Elle est blonde et sa petite chatte me l’a prouvé. Elle a des seins bien fermes qui appel les caresses et la bouche. Elle a un petit tatouage entre le nombril et sa toison que je vais raser ce soir. C’est un papillon. Des fesses… Sa liqueur est légèrement salée.
On s’est broutée et cela faisait longtemps qu’une fille ne m’avait brouté le minou.
J’ai passé un excellent Week-end et un Dimanche de rêve. On n’a presque pas quitté le lit, sauf moi pour t’écrire entre deux ébats.

(A suivre)

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Rien depuis janvier
le temps etait long

Maintenant la suite

Anonyme a dit…

Oh oui ce fût long !!!!

Voilà donc où tu te cachais ma belle.

Bisous délicats

V.

Anonyme a dit…

C'est beau
c'est bien écrit
que demande le peuple?
Bravo ma chère et poursuivez
vous avez du talent

SapphoetBilitis a dit…

Mais c'est très bien, ma belle...