05 février 2006


Vacance Vendéenne (suite III)

Je prodiguais la même caresse à son autre sein. Les pointes dardèrent de plus belle. Elle gémissait à chaque fois que je glissais ma langue dessus.
- Ouiiii. Tu les aimes mes seins ? Hein tu les aimes ? »
En guise de réponse je les suçais de plus belle.
Sa main caressait vigoureusement mon sexe en liquéfaction. Son bas ventre allait et venait sur mon ventre.
Elle descendit et repris ma bouche dans la sienne en un baiser torride. Elle abandonna ma bouche pour s’occuper de ma poitrine.
Je sentis un doigt inquisiteur glisser entre mes pétales. Un deuxième alla le rejoindre et ma douce Thallia commença à me masturber avec douceur.
Je m’abandonnais à ses douces caresses. Elle quitta mes seins glissant sa langue sur mon ventre, cueillant au passage sa liqueur qu’elle y avait déposé. Je frémis quand elle arriva sur mon pubis. Elle retira ses doigts de ma grotte et y plongea sa langue.
Instinctivement, je soulevais mon bassin, laissant échapper un râle du fond de ma gorge. Elle me dévora la chatte avec gourmandise, aspirant de temps en temps mon clitoris afin qu’il sorte de ses replis.


Elle replongea à nouveau ses doigts en moi. Mon bassin ondulait sous les vagues du plaisir. Je n’avais plus ma boule au ventre. J’avais autre chose. Je me caressais les seins, un peu oubliés par mon amante.
Sa langue cherchait mon clitoris entre les plis de mes lèvres qu’elle écartait des doigts de son autre main.
Ses doigts quittèrent à nouveau ma grotte. Sa bouche les remplaça. Je sentis un doigt encore plein de ma liqueur descendre vers mon antre secrète. Je tremblais lorsqu’il glissa dessus le muscle. Elle y déposa de ma mouille et remonta en chercher encore et encore, jusqu’à ce qu’il soit suffisamment lubrifié à son gout.
Elle glissa alors son doigt dans mon petit œillet bleu. Je jouis sous l’assaut.
La belle n’arrêta pas pour autant sa caresse buccale et sa sodomie. Cela l’encouragea encore plus dans sa quête de mon plaisir.
Je ne contrôlais plus mon corps. Je coulais dans sa bouche, je jouissais autour de son doigt. Elle plaça une main pleine de mes liqueurs sur ma bouche afin que mes cris ne réveillent pas les voisins. Je les léchais instinctivement.
Elle finit par arrêter sa douce torture.

Elle remonta prés de moi, me caressa doucement le ventre et m’embrassa avec douceur. Elle avait mon odeur dans sa bouche. Je reprenais peu à peu mes esprits.
Ma main glissa sur son ventre et alla se blottir entre ses cuisses. Elle mouillait abondement. Je la caressais à mon tour. Je glissais deux doigts en elle. Elle gémit dans ma bouche.
- Attends, attends ma chérie ! » dit elle.
- Oui, qu’y a t’il ? »
Elle se leva et alla chercher quelque chose dans son sac. Elle en sortit un superbe godemiché ceinture.
- Mets-toi ceci et fais-moi l’amour ! »
- Tout ce que tu veux. »
J’enfilais l’objet sous son regard. Je la regardais avec défis, le phallus de plastique noir pendant entre mes jambes…