22 octobre 2005

Rêves étranges

Il m’arrive de temps en temps de faire des rêves très étranges. Ces rêves ont toujours lieu lorsque la lune se trouve à son apogée. Je vais sous raconter le dernier rêve que j’ai eu.

Je suis une femme célibataire, assez libre sexuellement d’ou mon célibat. Je couche avec qui me plait, homme ou femme, cela dépend du moment. En ce moment ce serait plutôt rien du tout, un repos bien venu après une aventure assez tumultueuse. Cela fait du bien de temps en temps.

Venons en à mon rêve.

C’était un dimanche après-midi. Je m’étais assoupie dans le canapé. Je portais un chemisier blanc fermé par un bouton au niveau de la poitrine et une longue jupe blanche. J’étais nue dessous, comme toujours à la maison. J’adore faire la sieste le dimanche après-midi, le corps légèrement réchauffé par les rayons de soleil automnale. J’étais totalement détendu.

Ca commence toujours de la même façon. Je me sens quitter mon corps charnel. Je flotte au dessus de lui et le regarde.

Je sais que je plais aux hommes ainsi qu’à certaine femme. Pour cela il faut être un peu narcissique et beaucoup s’aimer. Quand je suis au dessus de lui, j’éprouve un violent désir de lui faire l’amour à ce corps mais je ne suis qu’un spectre. Je voudrais tant toucher cette superbe poitrine, caresser ce corps.

J’ai alors entendu un bruit sur ma droite. Je tourne la tête et remarque que l’un des tiroirs de la commode est ouvert. Je fus surprise de voir cela car dans ce tiroir, je range les préservatifs et surtout le matériel nécessaire à mes plaisirs solitaires.

C’est alors que je vis trois préservatifs de tailles différentes sortir de ce tiroir. J’hallucinais grave. Ils se dirigèrent vers moi. Deux d’entre eux se mirent en devoir de faire remonter ma jupe le long de mes jambes alors que le troisième vint admirer ma poitrine en soulevant l’échancrure de mon chemisier.

J’avais replié mes jambes en hauteur. Ils arrivèrent à passer mes genoux. L’un deux embrassait mon genoux avec ferveur. Celui que avait reluqué ma poitrine, grimpa sur ma bouche afin de l’embrasser. Le plus bizarre et que je ressentais sur mon corps leur travail.

Ils continuèrent à repousser le bas de ma jupe. Celle-ci fut vaincu par l’apesanteur et leurs efforts et glissa à ma taille.

C'est alors que je me mis sur le côté, les fesses nues. L’un des préservatifs se mit à gonfler en voyant ma petite chatte. Il se calma grâce à l’intervention de ses complices. Ils défirent ensuite le lien qui maintenait la jupe à ma taille. A force de persévérance, ils réussirent à me dégager de la jupe.

Ils voulaient me remettre sur le dos maintenant. C’est alors que celui qui avait reluqué ma poitrine vint me causer dans l’oreille. Je ne sais se qu’il me dit mais, je fis ce qu’ils attendaient, les cuisse légèrement ouvertes.

Celui qui semblait être le chef de la bande, s’installa devant ma chatte et se mit en devoir de la lubrifier à coup de langue.

Son complice finit par faire sauter le bouton qui fermait mon chemisier. Il dégagea ma poitrine du tissus et embrassa et lécha mes tétons avec ferveur.

Malgré tout cela mon corps ne voulait par réagir. Le chef siffla et je vis mon vibromasseur s’approcher. Il lui demanda de réveiller mes sens. C’est alors qu’il se mit en route et se frotta sur mes lèvres intimes. Mon corps ne tarda pas à répondre.

Le préservatif qui embrassait ma poitrine se trouva prit entre mes seins. Je tenais chacun d’eux et pratiquais une cravate de notaire au préservatif. Je jouais avec mes tétons et gémissais sous le plaisir naissant.

Le chef me déclara prête et remercia le vibromasseur. Mon corps tanguait maintenant sous les vague du plaisir. Je me caressais les seins et gémissais de plus belle.

Le chef demanda au plus fin des préservatifs de glisser en moi. Il essaya mais je n’étais pas assez humide pour qu’il puisse entrer et lui pas assez dur. Ce fut alors qu tour du chef de tenter sa chance, mais il fut devancé par ma main. Il buta sur celle-ci alors que je me caressais langoureusement.

Le petit préservatif qui avait manqué son premier coup, se retrouva sur mon menton. Je le pris et le suçais comme si il s’était s’agit d’un godemiché. Il semblait aux anges.

Le chef n’arrivais toujours pas à ces fins. Il siffla à nouveau.

Mon godemiché léopard arriva à son tour. Je l’aimais bien celui là. Le chef des préservatifs lui demanda de me pénétrer. Je crus éclater de rire en le voyant courir sur ses deux boules, mais le plaisir était trop important. Je gémis plus fort lorsqu’il me pénétra.

Il s’acharna entre mes cuisses pour mon plus grand bonheur. Je gémissais de plus belle.Je jouis une première fois sous l’assaut du godemiché.

Je m’agenouillais alors sur le canapé et me caressais fiévreusement l’intimité. Ma poitrine était encore accessible mais se n’était plus le cas de ma chatte humide. Un préservatif me mordillait délicieusement les tétons alors que mon gode léopard sautait pour essayer d’atteindre ma chatte.

C’était sans compter sur mon imagination. Le préservatif que j’avais sucé arriva chevauchant un godemiché aillé. Celui-ci plongea dans mon cul. Je criais sous l’assaut. Ils trouvèrent un autre ustensile plus long afin s’occuper de ma grotte. Je m’emparais du gode léopard et le suçais avidement comme si il s’était s’agit d’un belle queue.

J’eus enfin mon orgasme. Je m’écroulais sur le canapé. Je me sentis réintroduire mon corps.
Je me réveillais alors, totalement nue, mes gadgets de plaisir jonchant autour de moi, vibromasseur, godemiché léopard, et … trois préservatifs, vert, rouge et bleue.

Quel rêve étrange!!!

19 octobre 2005


La soubrette (Extrait)

Je les vis partir, la main de la patronne à nouveau sur le postérieur de la jeune fille. Je continuais à me poser la question : string ou pas string?

Mon amie alla se coucher à son tour me disant de prendre la chambre d'amie. Je restais donc seule à méditer sur les relations entre la mère de ma copine et la jeune soubrette. J'étais très excitée par ce que j'avais vu durant la soirée.

Je décidais alors d'aller me coucher à mon tour afin de calmer la tension que j'éprouvais.

J'arrivais dans le couloir menant aux chambres. Mon amie avait oublié de me montrer la chambre d'ami et Bénédicte devait être couchée maintenant. Quelle porte était la chambre d'ami?

Et pourquoi ne pas prendre une bonne douche afin de calmer mes ardeurs.

J'ouvris la porte de la salle de bain et je fus surprise par ce que je trouvais. La mère de mon amie était dans la baignoire et se faisait laver par la ravissante soubrette. Celle-ci était penchée sur la baignoire et j'eus enfin ma réponse…

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17 octobre 2005