22 décembre 2005


Mercredi soir 21 Décembre premier jour de l’hiver

J’ai retrouvé mon amie sur Internet.
J’étais connectée sur un forum à la recherche de ses dernières interventions déjà un peu émoustillée par la lecture de quelques échanges entre personne du Forum.
Soudain, une icône apparut m’annonçant sa connexion. J’ai alors senti que ma soirée allait bien se terminer.
Par contre, il fallait maintenant que je l’amène sur mon terrain de jeu.
Dimanche on avait échangé sur le fait de se caresser face à un miroir. Je ne l’avais jamais fait jusqu’à Dimanche après-midi. Je lançais alors la conversation la dessus avec des mots bien léchés. Je pensais que la mayonnaise prenait, quand soudain elle me parla de ma série de « prune » sur le blog. Grrr, il n’y avait pas assez d’huile.
Je sais qu’elle aime les mots crus et surtout que l’on parle de ses seins. On est arrivée à parler de mes deux petits anges. Elle s’est trompée entre « pudique » et « lubrique ». J’ai pris alors son erreur au bond.
Je l’ai alors flatté avant de la traiter de « cochonne lubrique », des coups de langue que je passerais sur ses seins, ses tétons…
- Ils durcissent là. »
Cette fois la mayonnaise prit. Elle répondait positivement :
- Tu cherche à me faire grimper là. »
- Mwaaa, ha bon ! »
Petite diablesse que j’étais. Je mouillais de plus en plus en la sentant monter rien qu’avec des mots.
- Écartes-toi, je vais lécher ta petite chatte. » dis je
- Mouiiii. »
- T’as une culotte ? »
- Oui. »
- Retires là ! »
- ……
- C’est fait »
Ho, je mouillais de plus en plus.
On est alors parti sur une bonne séance de masturbation, elle, à des kilomètres de moi.
J’ai joui trop vite, trop tôt. J’ai alors eu le loisir de m’occuper de son plaisir. De la faire grimper jusqu’au spasme.
J’ai passé une excellente soirée, grâce à elle. Le sommeil ne tarda pas à arriver un fois au lit.
Merci ma chérie

21 décembre 2005


Deux anges

L’occasion des fêtes m’amène à vous présenter mes deux anges. En chacun(e) de nous habite deux anges : la raison et la déraison, la pudique et la délurée, etc…
Il y a toujours l’un(e) des deux qui domine l’autre.
A votre avis, lequel des deux domine plus en moi….


« Les anges dans nos campagnes, ont entonné l’hymne des cieux… »

Joyeux Noël


"la pudique"

"la délurée"

18 décembre 2005


Boules de Geisha

L'expérience de Vicky (Illustration : Didier CARRE )

Ce soir là, j'étais vraiment au bout du rouleau, mes enfants avaient été méga insupportables toutes la journée, donc je n'aspirais qu'à un peu de tranquillité.

Donc une fois données les instructions à mon mari pour les enfants, j'ai fermé les portes pour avoir la paix et pour pouvoir me relaxer dans mon bain. Au bout d'une demi-heure, mon corps était massé et détendu par les buses que j'avais préalablement ouvertes quasi au maxi. Il flottait une douce odeur de vanille, distillée par la bougie et la douce voix de Phil Collins me berçait aux rythmes de son dernier album de slows.

J'étais déjà plongée dans une douce torpeur quand j'ai eu l'idée d’essayer mes boules.

Donc une fois les boules dans la main gauche, je fis glisser mes doigts sur mes lèvres lisses, et enfilai deux doigts de ma main droite dans ma chatte, cette nouvelle sensation que me procure mes longs ongles aux bouts carrés est déjà un délice. Doucement je l'écartai pour pouvoir faire glisser les boules de geisha ovales. Elles entrèrent toute seule tellement j'étais déjà excitée.

Je me recouchai dans la baignoire et montai les buses au maxi cette fois. Les vibrations des jets se transmettaient aux boules, faisant monter en moi un désir grandissant.

En analysant la position des buses, je me dis qu'à 4 pattes je devais pouvoir encore accroître mon plaisir, donc aussitôt pensé, aussitôt fait.

Le temps de diriger parfaitement les deux jets en direction de ma chatte complètement épilée me procuraient déjà un plaisir d'enfer.

Je reculai pour m'approcher des jets, et j'avançai pour m'en éloigner, ces va et vient me faisaient tourner la tête je sentais les boules vibrer et mon clito prêt à exploser de jouissance, alors j'enfilai vite mon majeur près des boules, et commençai à titiller cet endroit que je connais par cœur et qui me provoque des orgasmes d'enfer. Quelques minutes de ce traitement de choc et mon orgasme c'est pointé avec une déferlante de contractions qui enserraient les boules et mon doigt.

Vraiment un pur bonheur.

Et c'est vrai qu’à 4 pattes sur le lit avec les boules c'est divin aussi. Cambrer le dos au maximum pour les sentir juste là sur le point le plus sensible et qui nous procure tant de plaisir. Onduler du bassin et resserrer les parois autour des boules pour les sentir vibrer.

Ressentir ces ondes dans tout le ventre.

Mmm un vrai délice, bon ben je crois que je vais allez chercher mes petites vicieuses.

17 décembre 2005




La prune, serait ce le fruit défendu?



Pour Bilitis qui aime beaucoup la chose

06 décembre 2005



Bonne

SAINT-NICOLAS

à vous.

30 novembre 2005


Detends toi. J'ai traversé l'écran pour venir m'occuper de toi.
Fétichiste, moi???


Je suis à toi, tout à toi


Qu'est ce que tu nous cache la dessous, ma chère Thallia


La douceur d'être avec toi

Certain jour, dans les toilettes de certaines entreprises, il y a des femmes qui...

23 novembre 2005



Qui veux me rejoindre sur Messenger ?


Laisse moi t'apprendre les subtilités du billard ma chérie.


Belle et lesbienne


Je vous présente Dalhia, l'égérie de Andrew Black. Cette femme est une pure ... beautée.


Je suis et reste ouverte à vos sugestions.


Merci à Sappho de me souhaiter la bienvenu dans le monde des blogger. J'espère en être digne.

06 novembre 2005



Manara

Je n'ai jamais vu un homme dessiner aussi bien les femmes. Enfin, cela n'engage que moi.

22 octobre 2005

Rêves étranges

Il m’arrive de temps en temps de faire des rêves très étranges. Ces rêves ont toujours lieu lorsque la lune se trouve à son apogée. Je vais sous raconter le dernier rêve que j’ai eu.

Je suis une femme célibataire, assez libre sexuellement d’ou mon célibat. Je couche avec qui me plait, homme ou femme, cela dépend du moment. En ce moment ce serait plutôt rien du tout, un repos bien venu après une aventure assez tumultueuse. Cela fait du bien de temps en temps.

Venons en à mon rêve.

C’était un dimanche après-midi. Je m’étais assoupie dans le canapé. Je portais un chemisier blanc fermé par un bouton au niveau de la poitrine et une longue jupe blanche. J’étais nue dessous, comme toujours à la maison. J’adore faire la sieste le dimanche après-midi, le corps légèrement réchauffé par les rayons de soleil automnale. J’étais totalement détendu.

Ca commence toujours de la même façon. Je me sens quitter mon corps charnel. Je flotte au dessus de lui et le regarde.

Je sais que je plais aux hommes ainsi qu’à certaine femme. Pour cela il faut être un peu narcissique et beaucoup s’aimer. Quand je suis au dessus de lui, j’éprouve un violent désir de lui faire l’amour à ce corps mais je ne suis qu’un spectre. Je voudrais tant toucher cette superbe poitrine, caresser ce corps.

J’ai alors entendu un bruit sur ma droite. Je tourne la tête et remarque que l’un des tiroirs de la commode est ouvert. Je fus surprise de voir cela car dans ce tiroir, je range les préservatifs et surtout le matériel nécessaire à mes plaisirs solitaires.

C’est alors que je vis trois préservatifs de tailles différentes sortir de ce tiroir. J’hallucinais grave. Ils se dirigèrent vers moi. Deux d’entre eux se mirent en devoir de faire remonter ma jupe le long de mes jambes alors que le troisième vint admirer ma poitrine en soulevant l’échancrure de mon chemisier.

J’avais replié mes jambes en hauteur. Ils arrivèrent à passer mes genoux. L’un deux embrassait mon genoux avec ferveur. Celui que avait reluqué ma poitrine, grimpa sur ma bouche afin de l’embrasser. Le plus bizarre et que je ressentais sur mon corps leur travail.

Ils continuèrent à repousser le bas de ma jupe. Celle-ci fut vaincu par l’apesanteur et leurs efforts et glissa à ma taille.

C'est alors que je me mis sur le côté, les fesses nues. L’un des préservatifs se mit à gonfler en voyant ma petite chatte. Il se calma grâce à l’intervention de ses complices. Ils défirent ensuite le lien qui maintenait la jupe à ma taille. A force de persévérance, ils réussirent à me dégager de la jupe.

Ils voulaient me remettre sur le dos maintenant. C’est alors que celui qui avait reluqué ma poitrine vint me causer dans l’oreille. Je ne sais se qu’il me dit mais, je fis ce qu’ils attendaient, les cuisse légèrement ouvertes.

Celui qui semblait être le chef de la bande, s’installa devant ma chatte et se mit en devoir de la lubrifier à coup de langue.

Son complice finit par faire sauter le bouton qui fermait mon chemisier. Il dégagea ma poitrine du tissus et embrassa et lécha mes tétons avec ferveur.

Malgré tout cela mon corps ne voulait par réagir. Le chef siffla et je vis mon vibromasseur s’approcher. Il lui demanda de réveiller mes sens. C’est alors qu’il se mit en route et se frotta sur mes lèvres intimes. Mon corps ne tarda pas à répondre.

Le préservatif qui embrassait ma poitrine se trouva prit entre mes seins. Je tenais chacun d’eux et pratiquais une cravate de notaire au préservatif. Je jouais avec mes tétons et gémissais sous le plaisir naissant.

Le chef me déclara prête et remercia le vibromasseur. Mon corps tanguait maintenant sous les vague du plaisir. Je me caressais les seins et gémissais de plus belle.

Le chef demanda au plus fin des préservatifs de glisser en moi. Il essaya mais je n’étais pas assez humide pour qu’il puisse entrer et lui pas assez dur. Ce fut alors qu tour du chef de tenter sa chance, mais il fut devancé par ma main. Il buta sur celle-ci alors que je me caressais langoureusement.

Le petit préservatif qui avait manqué son premier coup, se retrouva sur mon menton. Je le pris et le suçais comme si il s’était s’agit d’un godemiché. Il semblait aux anges.

Le chef n’arrivais toujours pas à ces fins. Il siffla à nouveau.

Mon godemiché léopard arriva à son tour. Je l’aimais bien celui là. Le chef des préservatifs lui demanda de me pénétrer. Je crus éclater de rire en le voyant courir sur ses deux boules, mais le plaisir était trop important. Je gémis plus fort lorsqu’il me pénétra.

Il s’acharna entre mes cuisses pour mon plus grand bonheur. Je gémissais de plus belle.Je jouis une première fois sous l’assaut du godemiché.

Je m’agenouillais alors sur le canapé et me caressais fiévreusement l’intimité. Ma poitrine était encore accessible mais se n’était plus le cas de ma chatte humide. Un préservatif me mordillait délicieusement les tétons alors que mon gode léopard sautait pour essayer d’atteindre ma chatte.

C’était sans compter sur mon imagination. Le préservatif que j’avais sucé arriva chevauchant un godemiché aillé. Celui-ci plongea dans mon cul. Je criais sous l’assaut. Ils trouvèrent un autre ustensile plus long afin s’occuper de ma grotte. Je m’emparais du gode léopard et le suçais avidement comme si il s’était s’agit d’un belle queue.

J’eus enfin mon orgasme. Je m’écroulais sur le canapé. Je me sentis réintroduire mon corps.
Je me réveillais alors, totalement nue, mes gadgets de plaisir jonchant autour de moi, vibromasseur, godemiché léopard, et … trois préservatifs, vert, rouge et bleue.

Quel rêve étrange!!!

19 octobre 2005


La soubrette (Extrait)

Je les vis partir, la main de la patronne à nouveau sur le postérieur de la jeune fille. Je continuais à me poser la question : string ou pas string?

Mon amie alla se coucher à son tour me disant de prendre la chambre d'amie. Je restais donc seule à méditer sur les relations entre la mère de ma copine et la jeune soubrette. J'étais très excitée par ce que j'avais vu durant la soirée.

Je décidais alors d'aller me coucher à mon tour afin de calmer la tension que j'éprouvais.

J'arrivais dans le couloir menant aux chambres. Mon amie avait oublié de me montrer la chambre d'ami et Bénédicte devait être couchée maintenant. Quelle porte était la chambre d'ami?

Et pourquoi ne pas prendre une bonne douche afin de calmer mes ardeurs.

J'ouvris la porte de la salle de bain et je fus surprise par ce que je trouvais. La mère de mon amie était dans la baignoire et se faisait laver par la ravissante soubrette. Celle-ci était penchée sur la baignoire et j'eus enfin ma réponse…

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17 octobre 2005